• Vendredi 16 Février 2024

    Job répondit à l’Éternel : Je t’interrogerai, et tu m’instruiras. Job 42. 1, 4

    [Jésus] leur ouvrit l'intelligence afin qu'ils comprennent les Écritures. Luc 24. 45 Version Segond 21

    Mes questions et les réponses de la Bible

    - Qu'y a-t-il après la mort ?

    Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement (Hébreux 9. 27).

    - Ai-je des comptes à rendre à Dieu ?

    Chacun de nous rendra compte à Dieu pour lui-même (Romains 14. 12).

    - Dieu connaît-il tout ma vie ?

    Tout est à nu et à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte (Hébreux 4. 13).

    - Dieu me tient-il pour coupable ?

    Il n'y a pas de juste, pas même un seul (Romains 3. 10 Version Segond 21).

    - De quoi suis-je passible selon la justice de Dieu ?

    Le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, de même la mort a atteint tous les hommes parce que tous ont péché (Romains 5. 12 version Segond 21).

    - Dieu veut-il ma perte ?

    Le Seigneur... fait preuve de patience envers nous, voulant qu’aucun ne périsse mais que tous parviennent à la repentance (2 Pierre 3. 9 Version Segond 21).

    Peut-il me sauver ?

    Le sang de Jésus-Christ son Fils nous purifie de tout péché. Jésus-Christ le Juste... Il est lui-même la victime expiatoire pour nos péchés, et non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier (1 Jean 1. 7 ; 2. 2 Version Segond 21).

    - Comment puis-je bénéficier de ce salut ?

    Crois au Seigneur Jésus-Christ et tu seras sauvé (Actes 16. 31 Version Segond 21).

    Source (La Bonne Semence)

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  • Jeudi 15 Février 2024

    [Jésus] ajouta : Je vous le déclare, c'est la vérité : aucun prophète n'est bien reçu dans son pays. Luc 4. 24 Version Nouvelle Français Courant

    Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Jean 6. 68 Version Segond 21

    Nul n'est prophète en son pays

    Ce dicton signifie que c'est parmi ses proches qu'on a le moins de chance d'être écouté, pris au sérieux.

    Cette expression est issue des évangiles. Ce constat, rapporté par les quatre évangélistes, Jésus l'a fait sur la façon dont son message a été reçu à Nazareth, la ville où il a grandi. Lorsqu'il est revenu dans sa ville d'origine pour exercer son ministère de grâce et de guérison, la foule se moquait de lui, et ne voyant en lui que le fils de Joseph le charpentier, alors qu'il était le Fils de Dieu. "Venu dans son pays, il les enseignait dans leur synagogue, si bien qu'ils étaient frappés d'étonnement et disaient : D'où lui viennent cette sagesse et ces miracles ? Celui-ci n'est-il pas le fils du charpentier ? Sa mère ne s'appelle-t-elle pas Marie... ? Et ils étaient scandalisés à son sujet. Mais Jésus leur dit : Un prophète n'est sans honneur, si ce n'est dans son pays et dans sa maison" (Matthieu 13. 54-57).

    Nous sommes peut-être surpris par la réaction de ces gens qui ne reconnaissaient pas dans l'humble Jésus, si proche d'eux, le Messie qu'ils attendaient. Leur incrédulité les faisait trébucher  (c'est le sens du mot "scandalisés") et les empêchait de reconnaître la grandeur du Fils de Dieu. Mais qu'en est-il de nous ? Jésus n'est-il pour nous un bienfaiteur, un humaniste, le promoteur d'une bonne morale ? Ou bien l'accueillons-nous comme notre Sauveur, l'Homme de Dieu venu tout près de nous pour nous apporter le message de l'amour divin  ? Quelle place lui faisons-nous dans notre vie ?

    Source (La Bonne Semence)

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  • Mercredi 14 Février 2024

    Le ciel raconte la gloire de Dieu, et l'étendue révèle l'oeuvre de ses mains. Psaume 19. 2 Version Segond 21

    Dieu... nous a parlé par le Fils. Hébreux 1. 2

    Il n'avait pas vu Dieu

    Alain, propriétaire d'un manoir, reçut un jour la visite d'une connaissance donc le langage blasphématoire le blessa fortement.

    - Ne craignez-vous pas d'offenser Dieu, en parlant ainsi ?

    - Non, je ne l'ai jamais vu, fut la réponse.

    Le lendemain, le visiteur fit le tour du domaine, et un tableau attira son attention.

    - Qui est le peintre ?

    - C'est mon fils, répondit l'hôte. Puis ils parcoururent les jardins aménagés par le fils du propriétaire, avec ses parterres magnifiques. Ils se rendirent ensuite au village voisins, où il visitèrent un bâtiment d'école restauré bénévolement par le même fils.

    - Votre fils a beaucoup de qualités ! s'exclama le voyageur.

    - Comment le savez-vous ? Vous ne l'avez jamais vu.

    - Mais je vois ce qu'il a fait !

    - Eh bien, regardez cette rivière, ces collines, les montagnes au loin, le soleil qui nous donne sa chaleur et sa lumière ; vous n'avez pas vu Dieu, mais vous voyez toutes ses oeuvres.

    Dieu nous parle par la nature, qui nous montre sa puissance, mais aussi sa grâce et son amour. "Tiens-toi là, et discerne les oeuvres merveilleuses de Dieu" (Job 37. 14 Version Darby). Plus encore, Dieu s'est révélé dans son Fils Jésus-Christ, qu'il a envoyé sur la terre pour nous pardonner nos péchés et nous donner la vie éternelle. Par ses actes, ses paroles, son comportement, Jésus nous a montré qui était Dieu. Il a dit : "Celui qui m'a vu, a vu le Père" (Jean 14. 9). Devant toutes ces preuves de la puissance et de l'amour de Dieu, ne voulez-vous pas venir à lui ?

    Source (La Bonne Semence)

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  • Mardi 13 Février 2024

    Invoque-moi au jour de la détresse ; je te délivrerai, et tu me glorifieras. Psaume 50. 15

    Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d'obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins. Hébreux 4. 16

    La barque au bon moment

    Un jeune livre un combat acharné contre un cancer qui progresse. Ses forces déclinent, il souffre de ne plus pouvoir aider ses frères et soeurs chrétiens. Son corps ne suit plus, et c'est douloureux.

    Il réalise alors que Dieu lui donne la force, non pour ce qu'il aimerait faire, mais pour ce qu'il doit faire. Et cette pensée le libère. Si Dieu ne lui en donne pas la force, c'est donc que quelqu'un d'autre doit s'en charger, ou que cela peut attendre. Ainsi, il demande à Dieu de lui montrer comment employer ses faibles capacités pour faire exactement ce qu'il a prévu pour lui. Lorsqu'il ne peut plus rien faire, il pense à cette déclaration d'Hudson Taylor : "Je suis trop faible pour réfléchir et pour prier, mais je peux lui faire confiance".

    Quel réconfort pour lui de savoir que Dieu ne le juge pas selon ses performances ! Dieu attache bien plus d'importance à ce qu'il est, et désire qu'il devienne toujours plus semblable à Jésus-Christ.

    Étant chrétien, il ne redoute pas la mort elle-même, mais les souffrances qui peuvent la précéder. Il craint de mourir d'étouffement, de souffrir beaucoup. Mais, quand ces craintes se présentent, il se rappelle les paroles de Charles Spurgeon : "Frère, le courage de mourir, tu n'en a pas besoin avant que l'heure soit venue. Á quoi te servirait ce courage tant que tu es vivant ? Tu n'as besoin d'une barque qu'au moment où tu arrives près du fleuve. Demande plutôt à Dieu le courage de vivre, honore ainsi Jésus, et tu auras aussi le courage de mourir lorsque ton heure sera venue".

    d'après Norbert Ammon

    Source (La Bonne Semence)

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  • Lundi 12 Février 2023

    Les pharisiens allèrent tenir conseil sur les moyens de prendre Jésus au piège de ses propres paroles. Matthieu 22. 15 Version Segond 21

    Ils ne purent pas le prendre en défaut dans ce qu'il disait devant le peuple ; étonnés de sa réponse, ils gardèrent le silence. Luc 20. 22 Version Segond 21

    Je vous donne ma paix (6) - Lecture proposée : Jean 8. 2-11

    Jésus a rencontré l'opposition  des chefs religieux. Son enseignement et sa conduite les condamnaient, et ils étaient jaloux de l'attrait qu'il avait auprès des foules.

    Ces responsables se sont toujours efforcés de réfuter ce qu'il disait, refusant d'admettre qu'il était le Fils de Dieu, donc Dieu lui-même (Jean 5. 18). Ils l'on même traité de démoniaque et de fou (Jean 10. 20).

    Ils ont essayé en vain, de le mettre dans l'embarras et de le prendre en défaut dans ses paroles : un jour, on lui amène une femme surprise en adultère, dans l'espoir de le mettre en porte-à-faux avec la loi de Moïse. Si Jésus ordonne de la lapider comme la loi l'exigeait (Lévitique 20. 10), où est la grâce ? Mais s'il épargne, il contredit la loi. Paisible, Jésus donne une réponse sage : "Que celui d'entre vous qui est sans péché, qu'il jette le premier la pierre contre elle". Ses adversaire s'en vont, tout confus.

    Á la fin de ses service public, il nous livre le secret de ses réponses : "Le Père, qui m'a envoyé, m'a prescrit lui-même ce que je dois dire  et annoncer" (Jean 12. 49).

    Chrétiens, face à des personnes opposées à la foi et contestataires, cette attitude paisible de Jésus peut être la nôtre. Car il nous promet de nous donner la sagesse et la bonne réponse (Luc 21. 14, 15).

    "Pensez en effet à celui qui a supporté une telle opposition contre lui de la part des pécheurs, afin de ne pas vous laisser abattre par le découragement" (Hébreux 12. 3).

    Source (La Bonne Semence)

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  • Dimanche 11 Février 2024

    Cet amour ne consiste pas dans le fait que nous, nous avons aimés Dieu, mais dans le fait qui lui nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés. 1 Jean 4. 10 Version Segond 21

    Voici comment nous avons connu l'amour : Christ a donné sa vie pour nous. 1 Jean 3. 16 Version Segond 21

    Le message de la croix

    La Loi donnée autrefois par Moïse était une série de commandements. Elles se résumait à ceci : "Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée", et "ton prochain comme toi-même" (Luc 10. 27).

    Quand Jésus est venu, la capacité de l'homme à aimer Dieu a été testée comme elle ne l'avait encore jamais été. En effet, Dieu lui-même était là, vivant au milieu des hommes dans la personne de son Fils. La conclusion du test a été claire : non seulement l'homme n'aime pas Dieu, mais il le déteste positivement. Peu avant sa mort, Jésus fait ce triste constat : "Celui qui me déteste, déteste aussi mon Père... maintenant, ils les ont vues et il nous ont détestés, moi et mon Père" (Jean 15. 23, 24).

    Cette haine s'est exprimée clairement au moment où les hommes se sont débarrassés de Jésus en le crucifiant comme un malfaiteur. Les chefs religieux de l'époque ont été les premiers à le haïr et à vouloir sa mort. La crucifixion de Jésus met donc en évidence la haine de l'homme envers Dieu.

    Mais la croix a aussi un autre message. En réponse à cette haine, elle proclame l'amour inconditionnel de Dieu envers l'homme ; Dieu aime les humains, révoltés et haïssables (Romains 1. 30 ; Tite 3. 3). Il les aime assez pour avoir sacrifié son Fils bien-aimé, et lui avoir fait porter à leur place la condamnation que méritent leurs péchés. "Dieu est amour", voilà donc le message bouleversant de la croix (1 Jean 4. 8). Recevez-le avec foi, émerveillement et reconnaissance. C'est le plus extraordinaire des messages !

    Source (La Bonne Semence)

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  • Samedi 10 Février 2024

    Le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur. Romains 6. 23

    Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. Romains 8. 1

    Délai entre la sentence et son application

    Entre le moment où un tribunal prononce un jugement et l'application de la peine, il y a souvent un délai.

    C'est ce qui s'est passé dans l'histoire du monde. Adam, le premier homme, a désobéi à un ordre divin. En conséquence, le péché s'est transmis à tous de génération en génération., un peu comme le ferait un patrimoine génétique abîmé, et chacun, dans sa vie, pèche (Romains 5. 12). Peut-être n'avons-nous pas tué, ni volé, mais que dire de tout ce dont nous ne sommes pas fiers en actes, paroles ou pensées ?

    Alors, la sentence divine tombe sur chaque humain, sans exception : "Il est réservé aux hommes de mourir une fois - et après cela le jugement" (Hébreux 9. 27). Ce jugement, c'est l'éloignement éternel de Dieu, ce que la Bible appelle "la seconde mort" (Apocalypse 21. 8).

    Heureusement, entre cette terrible condamnation et son application, un événement capital s'est déroulé sur la terre : Dieu a envoyé dans le monde son Fils Jésus-Christ. Celui-ci n'est pas venu pour remettre en cause la sentence divine : il fallait que la condamnation s'applique. Alors Jésus l'a subie à notre place en mourant sur la croix pour nous délivrer. C'est l'amour divin... La justice de Dieu ne pouvait passer à la légère sur aucune de nos fautes, et en même temps son amour désirait libérer chacun de la terrible condamnation.

    Désormais tous ceux qui ont mis leur confiance en Jésus savent que la sentence divine ne leur sera jamais appliquée (Romains 8. 1). Le juge est devenu leur Père. Ils peuvent goûter son amour éternel. Quel bonheur !

    Source (La Bonne Semence)

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  • Jeudi 8 Février 2024

    Le Seigneur... use de patience envers vous, ne voulais pas qu'aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance. 2 Pierre 3. 9

    Regrets ou repentance ?

    Ces termes peuvent paraître synonymes. Mais en réalité, il n'en est rien. Tout le monde peut éprouver des regrets. Chacun de nous reconnaît qu'il n'agit pas toujours bien. Nous espérions être capables de mieux...

    Ces regrets sont souvent très proches de l'orgueil, un des défauts les plus répandus. On est déçu de sois-même : on se croyait "guéri" de telles attitudes, capables de mieux gérer une situation, mais on n'a pas fait mieux que d'habitude, ou on a mal réagi.

    Mais quand prendrons-nous conscience de notre incapacité foncière à nous changer nous-mêmes ? Les remarques de l'entourage, les bonnes résolutions, rien n'y fait : j'ai une addiction aux attitudes mauvaises. L'égoïsme, l'orgueil, l'insensibilité, le manque de contrôle de soi, la violence même, reviennent régulièrement dans ma vie.

    Seul Dieu peut agir en moi pour mettre en lumière, par la lecture de sa Parole, ce que je dois juger, et l'aider à changer. Pour cela, je dois reconnaître mon état de pécheur, et accepter la solution qu'il propose : le péché mérite la mort, mais Jésus est mort à ma place. Cette attitude, la Bible ne l'appelle pas "regret", elle lui donne le nom de "repentance". Cet élan vers lui, elle l'appelle "conversion". Et quand je lui confie ma vie, je deviens un enfant de Dieu. Le Saint-Eprit va alors travailler en moi pour développer des qualités nouvelles : "l'amour, la joie, la paix, la patience, la bienveillance, la bonté, la fidélité, la douceur, la maîtrise de soi" (Galates 5. 22).

    Source (La Bonne Semence)

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  • Mercredi 7 Février 2024

    Celui qui cache ses transgressions ne réussira pas, mais on aura compassion de celui qui les reconnaît et les abandonne. Proverbes 28. 13 Version Segond 21

    (Jésus dit) : Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. Marc 2. 17 Version Segond 21

    Aux galères

    Sous les derniers rois de France, on envoyait des criminels aux galères pour de nombreuses années. Les condamnés enchaînés à leur banc avaient juste assez de place pour actionner leurs rames. Les conditions de vie et d'hygiène étaient déplorables.

    Un jour, un diplomate étranger fut autorisé à visiter les galères qui étaient à l'ancre à Toulon et, selon la coutume de l'époque, il avait le droit de faire libérer un condamné de son choix. Le visiteur interrogea plusieurs forçats afin de connaître les raison qui les avaient amenés dans ce terrible endroit. Leurs explications se ressemblaient toutes : leur condamnation était injuste, ils avaient été faussement accusés, etc.

    Il arriva toutefois devant un galérien qui lui répondit : "Monsieur, j'ai été un criminel, j'ai mérité la mort et c'est à la grâce de Dieu que je dois être encore en vie". Le diplomate le regarda dans les yeux et lui dit : "Vous êtes donc un misérable au milieu de braves gens ! Ce n'est pas bon pour eux de vous laisser dans leur compagnie". Puis, s'adressant a son escorte avec un sourire, il déclara : "Messieurs, voici l'homme que je veux gracier".

    De nombreuses personne s'estiment tout à fait honorables, et pensent obtenir la faveur de Dieu par leur bonne conduit. Or la Bible déclare : "Il n'y a pas de justes, pas même un seul" (Romains 3. 10). Se reconnaître pécheur perdu est le seul moyen de profiter de la grâce de Dieu, cette grâce qui pardonne, libère, et offre la vie éternelle par Jésus-Christ.

    Source (La Bonne Semence)

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  • Mardi 6 Février 2024

    Ainsi parle l’Éternel, le Saint d’Israël... C’est moi qui ai fait la terre, et qui sur elle ai créé l’homme ; c'est moi, ce sont mes mains qui ont déployé les cieux, et c’est moi qui ai disposé toute leur armée. Ésaïe 45. 11, 12

    Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement. Hébreux 9. 27

    Deux questions

    "Au moins une fois dans la vie de chacun d'entre nous, deux questions - et deux questions seulement - toutes semples et peut-être sans réponse, mais auxquelles il est difficile de se soustraire... ne peuvent pas manquer de se poser. La première : Dieu existe-t-il ? Le seconde : Qu'y a-t-il après la mort ?" Comme Jean d'Ormesson, auteur de ses lignes, aucun philosophe ou scientifique n'a la réponse. Où la trouver si ce n'est dans la Bible qui est la Parole du Dieu qui nous a créés, nous et l'univers qui nous entoure ? Le croyant qui se fonde sur ce que Dieu dit peut répondre avec certitude.

    - Oui, Dieu existe. S'il habite la lumière inaccessible, il se fait connaître aussi par la nature, ce qui rend l'homme inexcusable (Romains 1. 20). Par-dessus tout, il est venu sur cette terre en envoyant son Fils Jésus. Lui a été la pleine révélation de Dieu. Pourtant il a été condamné par les hommes et il est mort sur une croix. Mais, vainqueur de la mort, il est ressuscité, démontrant sa divinité.

    Qu'y a-t-il après la mort ? La mort est la conséquence des péchés que tout homme commet (Romains 6. 23). Et après la mort, il y a le jugement (verset du jour). Quelle paix de savoir que Jésus est entré volontairement dans la mort pour nous en délivrer ! Il communique sa vie à celui qui croit en lui. Croyons ce que Dieu nous dit : il offre le pardon des péchés et la vie éternelle, une vie en relation avec un Dieu qui nous aime.

    Lisons la Bible, nous trouverons bien plus que les réponses à ces deux questions : la révélation des pensées du Dieu d'amour.

    Source (La Bonne Semence)

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