• Samson, the designated victim of the lion, did not flee. Chasing his victims sharpens the lion's appetite. But this man faced the lion. This fierce animal has been confronted by a ferocious man. Roaring over his shoulder, the lion tried to sneak away, but it was too late. Powerful hands grabbed him. Later, his carcass served as a hive. Samson, with his bare hands, "tore him as one tears a lamb" (Judges 14: 6). The Church is not built to stay on the defensive. We must seize the gates of hell. The offensive is the best defense. Instead of waiting to parry the enemy's blows, we should change the direction of the fight and launch an attack against the devil's territory.

    Jesus came into the world, not to defend heaven, but as a victorious man of war "to destroy the works of the devil" (1 John 3: 8). Christ engaged the battle in the camp of the enemy ; he invaded hell, implacably chased the enemy, pursuing him, cornering him, not giving him a single chance, he crushed his snake's head, which ended up being defeated and helpless. Satan is not "alive and healthy on the planet earth". Jesus fatally wounded him.

    It is the work of evangelization, in the name of Jesus. Wherever the slimy serpent sneaks, the people of God should chase the devil with sharpened swords. Let him not rest, for we are "more than conquerors through him who loved us" (Romans 8:37). The best way to defend the truth is to proclaim it without compromise. We have not been called to justify what God says but to proclaim it. "The sword of the Spirit is the word of God" (Ephesians 6:17). As David said in speaking of the sword with which he killed Goliath : "There is none like it" (1 Samuel 21: 9). To defeat the devil, proclaim the gospel. The sound of your preaching appeals to him. Use your sword.

    Jeremy Sourdril

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Samson, victime désignée du lion, n’a pas fui. Poursuivre ses victimes aiguise l’appétit du lion. Mais cet homme a fait face au lion. Cet animal féroce s’est trouvé confronté à un homme féroce. Rugissant par-dessus son épaule, le lion essaya de partir furtivement, mais c’était trop tard. Des mains puissantes se saisirent de lui. Plus tard, sa carcasse servit de ruche. Samson, à mains nues « le déchira comme on déchire un agneau » (Juges 14:6). L’Église n’est pas édifiée pour rester sur la défensive. Nous devons nous emparer des portes de l’enfer. L’offensive est la meilleure défense. Au lieu d’attendre de parer les coups de l’ennemi, nous devrions changer la direction du combat et lancer une attaque contre le territoire du diable. 

    Jésus est venu dans le monde, non pour défendre le ciel, mais comme un homme de guerre victorieux « pour détruire les œuvres du diable » (1 Jean 3:8). Christ a engagé le combat dans le camp de l’ennemi ; il a envahi l’enfer, implacablement chassé l’adversaire, le pourchassant, l’acculant dans un coin, ne lui laissant pas une seule chance, il a écrasé sa tête de serpent, qui pour finir s’est retrouvé vaincu et impuissant. Satan n’est pas « vivant et en bonne santé sur la planète terre ». Jésus l’a mortellement blessé.

    C’est l’œuvre de l’évangélisation, au nom de Jésus. Où que le serpent visqueux se faufile, le peuple de Dieu devrait pourchasser le diable avec des épées aiguisées. Ne lui laissons pas de repos, car nous sommes « plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés » (Romains 8:37). La meilleure façon de défendre la vérité c’est de la proclamer sans compromis. Nous n’avons pas été appelés pour nous justifier de ce que Dieu dit mais pour le proclamer. « L’épée de l’Esprit c’est la Parole de Dieu » (Éphésiens 6:17). Comme l’a dit David en parlant de l’épée avec laquelle il tua Goliath : « Il n’y en en a point de pareille » (1 Samuel 21:9). Pour vaincre le diable, proclamez l’Évangile. Le bruit de votre prédication l’apeure. Utilisez votre épée.

    Jérémy Sourdril

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Sometimes a person has real enemies raised by Satan. It's the demonic opposition. Then the anointing of God "breaks the yoke," that anointing is the protection of the servants of God. Often, as I go to fight beyond the gates of the enemy, I realize that the forces of the devil surround me but that these demonic armies are also encircled by the angels of God. I know that if the anointing were to disappear, these forces would devour me like ferocious wolves, ready to shred me in an instant. The enemies, the critics, the discouraging ones, will come, but the one who is anointed is invincible.

    We read that the devil is a roaring lion and that reminds me of the roaring lion that was ready to devour Samson. Samson, on his way to Thimna (Judges 14:5-6), met this young predator. The lion did not know Samson, the anointed judge of Israel. It was the surprise of his life, and indeed the last. Normally, the roar of the lion terrifies the human being running away. It is then easier to catch. But when Samson heard the roars, something happened that the lion was not aware of at all ; "The Spirit of the Lord took Samson" (Judges 14:6).

    When the Spirit of the Lord takes hold of men, new things are put in place. People start to resist the devil and he flees away from them.

    Are you shy ? By the Spirit you will be bold. We are like lambs among wolves, but lambs are on the offensive. We have the power to stomp the scorpions, to walk on agitated waves. Through the experience of the Spirit, we are able to fight against doubt and intellect. If we live in him, we can command, cast out demons, and deliver the deliverance of body, soul, and spirit.

    Jeremy Sourdril

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Quelquefois une personne a de vrais ennemis suscités par Satan. C’est l’opposition démoniaque. Alors, l’onction de Dieu « brise le joug », cette onction est la protection des serviteurs de Dieu. Souvent, alors que je pars combattre au-delà des portes de l’ennemi, je réalise que les forces du diable m’entourent mais que ces armées démoniaques sont aussi encerclées, par les anges de Dieu. Je sais que si l’onction venait à disparaître, ces forces me dévoreraient comme des loups féroces, prêts à me déchiqueter en un instant. Les ennemis, les critiques, ceux qui découragent, viendront mais celui qui est oint est invincible.

    Nous lisons que le diable est un lion rugissant et cela me rappelle le lion rugissant qui était prêt à dévorer Samson. Samson, en route pour Thimna (Juges 14:5-6), rencontra ce jeune prédateur. Le lion ne connaissait pas Samson, le juge oint d’Israël. Ce fut la surprise de sa vie, et d’ailleurs la dernière. Normalement, le rugissement du lion terrifie l’être humain qui part en courant. Il est alors plus facile à attraper. Mais lorsque Samson a entendu les rugissements, il s’est passé quelque chose dont le lion n’était pas du tout conscient ; « l’Esprit de l’Éternel se saisit de Samson » (Juges 14:6).

    Quand l’Esprit de l’Éternel se saisit des hommes, des choses nouvelles se mettent en place. Les gens commencent à résister au diable et il fuit loin d’eux.

    Êtes-vous timide ? Par l’Esprit vous serez hardi. Nous sommes comme des agneaux parmi des loups, mais les agneaux sont sur l’offensive. Nous avons la puissance de piétiner les scorpions, de marcher sur des flots agités. Par l’expérience de l’Esprit, nous sommes de taille à lutter contre le doute et l’intellect. Si nous vivons en lui, nous pouvons commander, chasser les démons et procurer la délivrance du corps, de l’âme et de l’esprit.

    Jérémy Sourdril

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Jesus Christ has already crossed the castle of the giant Despair. he holds the keys to death and hell, and he has opened the doors. So, why are millions there to sweat, to try every possible thing to get rid of their bad habits and slavery ? They become members of new sects or ancient pagan religions, hear new theories, go see psychiatrists. But why ? Jesus frees men. He does it all the time.

    This is the Gospel ! You do not preach about it, or present its content to the discussion. The gospel is not a subject of discussion. It is a proclamation of deliverance. The dialogue ? The gospel is not open to modification. It is obligatory, it is a royal and divine edict. Some deliverance systems and theories are links in themselves, full of ongoing demands and duties. Only Jesus saves.

    I remember a man who tells me he is a "spiritual advisor".

    However, he did not believe that Jesus Christ was the Son of God, nor that the Bible was the Word of God. As a result, I wondered how this "counselor" could advise anyone. I asked him : "Do they come to see you and then go away with broken hearts ?".

    "Oh, no," he assured me, "I just calm them down." I looked into his eyes and said : "Sir, a man on a sinking ship needs more than a tranquilizer. Do not give him a tablet, he is already compressed. When Jesus comes to a man in a shipwreck, he does not give him a stamp of Valium saying : "Die in peace." He holds out his hand marked by the nail, seizes it, lifts it up and tells him : "I live and you will live too".

    It is the Gospel of Jesus Christ that is to be preached. Jesus is the Savior of our world. This message is life, peace and health for the mind, the soul and the body.

    Jeremy Sourdril

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Jésus-Christ a déjà traversé le château du géant Désespoir. il détient les clés de la mort et de l’enfer, et il a ouvert les portes. Alors, pourquoi des millions sont-ils là à transpirer, à essayer chaque truc possible Pour se débarrasser de leurs mauvaises habitudes et de leurs esclavages ? Ils deviennent membres de nouvelles sectes ou d’anciennes religions païennes, entendent de nouvelles théories, vont voir les psychiatres. Mais pourquoi ? Jésus libère les hommes. Il le fait sans cesse.

    C’est cela l’Évangile ! Vous ne prêchez pas à son sujet, ou ne présentez pas son contenu à la discussion. L’Évangile n’est pas un sujet de discussion. C’est une proclamation de délivrance. Le dialogue ? L’Évangile n’est pas ouvert à la modification. Il est obligatoire, c’est un édit royal et divin. Certains systèmes et certaines théories de délivrance sont des liens en eux-mêmes, pleins d’exigences et de devoirs continuels. Seul Jésus sauve.

    Je me souviens d’un homme qui me dit être un « conseiller spirituel ».

    Cependant, il ne croyait ni que Jésus-Christ fût le Fils de Dieu, ni que la Bible fût la Parole de Dieu. Par conséquent, je me demandai comment ce « conseiller » pouvait conseiller qui que ce soit. Je lui demandai : « Viennent-ils vous voir pour s’en aller ensuite avec des cœurs brisés ? ».

    « Oh, non », m’assura-t-il, « je les calme tout simplement ». Je le regardai dans les yeux et lui dis : « Monsieur, un homme sur un bateau qui coule a besoin d’autre chose que d’un tranquillisant. Ne lui donnez pas de comprimé, il est déjà comprimé. Quand Jésus vient vers un homme dans un naufrage, il ne lui lance pas un cachet de Valium en lui disant : « Meurs en paix ». Il tend sa main marquée par le clou, le saisit, le soulève et lui dit : « Je vis et tu vivras aussi ».

    C’est l’Évangile de Jésus-Christ qui doit être prêché. Jésus est le Sauveur de notre monde. Ce message est vie, paix et santé pour l’esprit, l’âme et le corps.

    Jérémy Sourdril

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • I want to ask you a question. Do you find it hard to win souls for Jesus, and have you stopped trying ? Should not this problem be first on your calendar ? What ranks first in your church agenda, or on your personal agenda ? Is it a resolution saying that nothing can be done because times are difficult ? God has a way for you, by his Spirit.

    Dr. David H. C. Read spoke of a young man of God in a difficult neighborhood in New York, telling his misfortunes and difficulties to a local police officer. The officer tried to cheer him up, saying : "The fact is, Pastor, this is not the kind of place for a Christian church." These words woke him up. What is a Christian church supposed to do, he thought, if it does not operate where the need is greatest ? Skeptics like to be smart. They analyze the situation and bring out the impossibilities with a bombastic language. They "prove" that nothing can be done, using words like pluralism, hedonism, insularity, narcissism, showing, with resonant terms, that the situation is desperate. You would end up thinking that God did not take all that into consideration.

    Skeptics are wrong. It's God's time for the harvest. Something can be done, God has prepared everything, not by power, nor by force, but by His Spirit. That's what we can depend on, not on television, radio, money, or education, but on the miraculous power of Jesus.

    We only have one generation to reach this generation. The original Gospel mandate is impossible to accomplish without the original power. The perfect strategy of God is complete. There are you and me included. We are woven and intertwined in his plans, plans that can not fail. If we know this, then we can carry it out... hold on... go all the way... whatever happens.

    Jeremy Sourdril

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Je veux vous poser une question. Trouvez-vous difficile de gagner des âmes pour Jésus, et avez-vous donc cessé d’essayer ? Ce problème ne devrait-il pas figurer en premier sur votre agenda ? Qu’est-ce qui occupe la première place dans votre agenda d’église, ou sur votre agenda personnel ? Est-ce une résolution disant que rien ne peut être fait parce que les temps sont difficiles ? Dieu a un chemin pour vous, par son Esprit.

    Le Dr David H. C. Read a parlé d’un jeune homme de Dieu se trouvant dans un quartier difficile de New-York, racontant ses malheurs et ses difficultés à un policier local. L’officier essaya de l’égayer, disant : « Le fait est, Pasteur, ce n’est pas le genre d’endroit pour une église chrétienne ». Ces paroles le réveillèrent. Qu’est-ce qu’une église chrétienne est sensée faire, pensa-t-il, si ce n’est opérer là où le besoin est le plus grand ? Les sceptiques aiment être intelligents. Ils analysent la situation et font ressortir les impossibilités avec un langage ampoulé. Ils « prouvent » que rien ne peut être fait, utilisant des mots comme pluralisme, hédonisme, insularité, narcissisme, montrant, avec des termes résonnant bien, que la situation est désespérée. Vous finiriez par penser que Dieu n’a pas pris tout cela en considération.

    Les sceptiques ont tort. C’est l’heure de Dieu pour la moisson. Quelque chose peut être fait, Dieu a tout préparé, non par puissance, ni par force, mais par son Esprit. Voilà de quoi nous pouvons dépendre, non pas de la télévision, de la radio, de l’argent ou de l’éducation, mais de la puissance miraculeuse de Jésus.

    Nous n’avons qu’une génération pour atteindre cette génération. Le mandat évangélique originel est impossible à accomplir sans la puissance originelle. La parfaite stratégie de Dieu est complète. Il y a inclus vous et moi. Nous sommes tissés et entrelacés dans ses plans, des plans qui ne peuvent pas échouer. Si nous savons cela, nous pouvons alors les mener à bien... tenir le coup... aller jusqu’au bout... quoi qu’il arrive.

    Jérémy Sourdril

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Do not argue, shine ! You can not conquer darkness by chatting with them. Turn on the light. The Gospel is a power, a power for light. Proclaim it. You are then connected, the current passes, and the light comes. God's high-voltage lines draw their current from Calvary, the resurrection, and the throne, for the gospel is "the power of God," wrote the apostle Paul (Romans 1:16). He knew. He proved it. The world then could not be worse ; cruel, corrupt and cynical. Yet the Gospel has transformed it. This same gospel can still do it.

    How to unleash the power of the gospel on the world ? A preacher told me that he wanted a transformer to reduce the emotional appeal of the gospel, to turn the high voltage of the message to a low voltage. But to convert sinners requires the full power of the gospel. Preach to convince and convert. Your task is not to distract, to make people smile and let them go home feeling good about themselves. Salvation is not a soothing and soothing syrup. Save the souls, do not stroke them ! Happiness and smiles will follow.

    Read the story of Philip the Evangelist meeting the senior Ethiopian official. He was the Superintendent of Treasures of the Queen, a businessman, who had no time to waste in chatter. Philippe did not hesitate to ask him what his needs were so that he could advise him for hours. In fact, he knew his needs. The eunuch needed Jesus. Salvation is the need of everyone. Philippe devoted himself to the essentials. He "told him the good news of Jesus" (Acts 8:35). Jesus is the beginning and the end of every evangelical sermon, the Alpha and the Omega of all testimony. We are not doctrinal merchants. We are not resellers of religion. We are not enthusiasts. We are witnesses of Jesus Christ. He is the supreme goal of the message.

    What did Jesus preach ? He spoke of himself. On the road to Emmaus, walking with Cleopas and a friend, "he explained to them in all the Scriptures what concerned him" (Luke 24:27).

    Jeremy Sourdril

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Ne discutez pas, brillez ! Vous ne pouvez pas conquérir les ténèbres en discutant avec elles. Allumez la lumière. L’Évangile est une puissance, une puissance pour la lumière. Proclamez-le. Vous êtes alors branchés, le courant passe, et la lumière vient. Les lignes à haute tension de Dieu tirent leur courant du Calvaire, de la résurrection et du trône, car l’Évangile est « la puissance de Dieu » a écrit l’apôtre Paul (Romains 1:16). Il savait. Il l’a prouvé. Le monde alors ne pouvait pas être pire ; cruel, corrompu et cynique. Pourtant l’Évangile l’a transformé. Ce même Évangile peut encore le faire.

    Comment lâcher la puissance de l’Évangile sur le monde ? Un prédicateur m’a dit vouloir un transformateur pour réduire l’appel émotionnel de l’Évangile, pour faire passer la haute tension du message à une basse tension. Mais convertir les pécheurs exige la pleine puissance de l’Évangile. Prêchez pour convaincre et convertir. Votre tâche ne consiste pas à distraire, à faire sourire les gens et les laisser rentrer chez eux bien dans leur peau. Le salut n’est pas un sirop apaisant et adoucissant. Sauvez les âmes, ne les caressez pas ! Le bonheur et les sourires suivront.

    Lisez l’histoire de Philippe l’évangéliste rencontrant le haut fonctionnaire éthiopien. Celui-ci était le surintendant des trésors de la reine, un homme d’affaires, qui n’avait pas de temps à perdre en bavardages. Philippe ne s’est pas embarrassé à lui demander quels étaient ses besoins pour pouvoir le conseiller pendant des heures. En fait, il connaissait ses besoins. L’eunuque avait besoin de Jésus. Le salut est le besoin de tout un chacun. Philippe s’est consacré à l’essentiel. Il « lui annonça la bonne nouvelle de Jésus » (Actes 8:35). Jésus est le commencement et la fin de chaque sermon évangélique, l’Alpha et l’Oméga de tout témoignage. Nous ne sommes pas des marchands de doctrine. Nous ne sommes pas des revendeurs de religion. Nous ne sommes pas des enthousiastes. Nous sommes des témoins de Jésus-Christ. Il est le but suprême du message.

    Que prêchait Jésus ? Il parlait de lui-même. Sur la route d’Emmaüs, marchant avec Cléopas et un ami, « il leur expliqua dans toutes les Écritures ce qui le concernait » (Luc 24:27).

    Jérémy Sourdril

    Partager via Gmail

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique