• Let me put the points on the "i". As long as this fundamental command is not applied, everything else is irrelevant.

    For my part, I believe that we should approach things with humility and pray so that the garment of the men and women of God of the past rests on us. There would be no Church today if it was not their waking power. Many of them were true Elijahs. They took charge of the Great Mission and became the brightest torches of God.

    John had the thought of Jesus writing : "Brothers and sisters, I am not writing a new commandment, but an old commandment, the one you have received from the beginning. This ancient commandment is the word that you have heard from the beginning" (1 John 2:7). Jesus does not spend his time enacting new laws, like governments today. What he said once, he said it once and once and for all. His word is still his will.

    All he could say about "new" is already in his Word. There are no hidden secrets for higher saints. His instructions are simply : "Go !"

    A motorist waiting at the red light did not pay attention when it turned green. Behind him, an irritated driver jumped out of his car and said : "This fire says, Come on! Do you expect personal confirmation from the Minister of Transport ?"

    We have the green light of God. Let's go ahead !

    Jeremy Sourdril

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  • Laissez-moi mettre les poins sur les « i ». Tant que ce commandement fondamental n'est pas appliqué, tout le reste est hors de propos.

    De mon côté, je crois que nous devrions aborder les choses avec humilité et prier afin que le vêtement des hommes et des femmes de Dieu du passé repose sur nous. Il n'y aurait aujourd'hui aucune Église si ce n'était pas leur puissance de réveil. Un grand nombre d'entre eux furent de véritables Élie. Ils prirent en main la Grande Mission et devinrent les plus brillants flambeaux de Dieu.

    Jean avait la pensée de Jésus en écrivant : « Frères et soeurs, ce n'est pas un commandement nouveau que je vous écris, mais un commandement ancien, celui que vous avez reçu depuis le début. Ce commandement ancien, c'est la parole que vous avez entendue dès le commencement » (1 Jean 2:7). Jésus ne passe pas son temps à promulguer de nouvelles lois, comme les gouvernements aujourd'hui. Ce qu'il a dit une fois, il l'a dit une fois et une fois pour toutes. Sa Parole est encore sa volonté.

    Tout ce qu'il pourrait dire de « nouveau » est déjà dans sa Parole. Il n'existe pas de secrets cachés pour des saints supérieurs. Ses instructions sont tout simplement : « Allez ! »

    Un automobiliste attendant au feu rouge ne fit pas attention quand celui-ci passa au vert. Derrière lui, un conducteur irrité bondit de sa voiture et lui dit : « Ce feu dit : Avancez ! Attendez-vous la confirmation personnelle du Ministre des Transports ? »

    Nous avons le feu vert de Dieu. Avançons !

    Jérémy Sourdril

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  • "Go then, make disciples of all nations, baptize them in the name of the Father, the Son, and the Holy Spirit, and teach them to put into practice all that I have commanded you. And I am with you every day until the end of the world" (Matthew 28:19-20). Note that it says : "until the end of the world." What includes today, tomorrow, and beyond.

    It means that if Jesus appeared today to speak to us, he would say the same thing. He never changed.

    People want to know what the Lord says to the Church. There is no doubt that he has many things to say, as in the "letters of Jesus" to the seven churches in the Apocalypse. But if we are not already doing what he has ordered us to do, he will say only one thing : "Go to work !". So : "Hear what the Spirit says to the churches" (Revelation 2:29).

    Why wait for another letter when you have not opened the first one yet ? Jesus has nothing more to say to us as long as his orders are not carried out.

    Many are waiting for God to speak to them, but only to hear what they want to hear. They are waiting and still waiting for God to give them a new direction. But how can they know if he has a new direction for them ? Or that he has a tremendous revelation for them ? Or that he will give them radical instructions ?

    The Word of God that I hold is this one, it wants the old direction, a Church that testifies, with evangelization in and through the churches (1 John 2:7).

    Jeremy Sourdril

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  • « Allez donc, faites de toutes les nations des disciples, baptisez-les au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit et enseignez-leur à mettre en pratique tout ce que je vous ai prescrit. Et moi, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde » (Matthieu 28:19-20). Notez qu’il est dit : « jusqu’à la fin du monde ». Ce qui inclut aujourd’hui, demain, et au-delà.

    Cela signifie que si Jésus apparaissait aujourd’hui pour nous parler, il dirait la même chose. Il n’a jamais changé.

    Les gens veulent savoir ce que le Seigneur dit à l’Église. Il ne fait aucun doute qu’il a beaucoup de choses à dire, comme dans les « lettres de Jésus » aux sept églises dans l’Apocalypse. Mais si nous ne sommes pas déjà occupés à faire ce qu’il nous a ordonné de faire, il ne dira qu’une seule chose : « Allez, au travail ! ». Donc : « Écoutez ce que l’Esprit dit aux églises » (Apocalypse 2:29).

    Pourquoi attendre une autre lettre quand vous n’avez pas encore ouvert la première ? Jésus n’a rien à nous dire de plus tant que ses ordres ne sont pas menés à bien.

    Nombreux sont ceux qui attendent que Dieu leur parle, mais seulement pour l’entendre dire ce qu’ils désirent entendre. Ils attendent et attendent encore que Dieu leur donne une nouvelle direction. Mais comment peuvent-ils savoir s’il a une nouvelle direction pour eux ? Ou qu’il a pour eux une formidable révélation ? Ou encore qu’il leur donnera des instructions radicales ?

    La Parole de Dieu que je détiens est celle-ci, il veut l’ancienne direction, une Église qui témoigne, avec l’évangélisation dans et par les églises (1 Jean 2:7).

    Jérémy Sourdril

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  • According to statistics, if 10,000 people live near your church, four of them die every week. It is therefore not satisfactory that one is saved every month or even once a week.

    The need for the Gospel is so blatant that anything I could say would only reinforce the evidence. Yet, I find that the devil has some tricks to hide the evidence. First, Satan tried to prevent the birth of the Savior. He arranged the murder of Abel and then launched all his missiles against the ancestors of Christ, to finally massacre innocent people in Bethlehem. With murder and genocide failing, the only alternative left was to prevent proclamation of the Gospel.

    At first the devil used only persecution and false gospels, but now he has a real armory. One of his weapons is to give believers other priorities. It does not bother him if we work hard for our church, as long as it keeps us away from the disaster that the Gospel can accomplish in its evil realm.

    We can specialize in doctrine, in fraternal communion, in the path of prosperity or in the maintenance of our soul, in ways that have no relation or consequence to the proclamation of the Gospel to every creature. These are good activities that, however, leave no room for the most urgent task.

    We can even develop interpretations of Scripture that grace us with this task and soothe our conscience towards the lost. Prayer itself, though so vital, can become a substitute for evangelization. But, as Suzette Hattingh says : "Prayer without evangelization is an arrow sent for nothing !". If we organize prayer gatherings, they must be directly involved in an evangelistic effort, and not take place to present general queries.

    Jeremy Sourdril

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  • Selon les statistiques, si 10 000 personnes vivent près de votre église, quatre d’entre eux meurent chaque semaine. Il n’est donc pas satisfaisant qu’une soit sauvée par mois, ni même une par semaine.

    Le besoin de l’Évangile est si flagrant que tout ce que je pourrais dire ne ferait que renforcer l’évidence. Pourtant, je constate que le diable possède des ruses pour masquer l’évidence. Premièrement, Satan a essayé d’empêcher la naissance du Sauveur. Il a arrangé le meurtre d’Abel puis lancé tous ses missiles contre les ancêtres de Christ, pour finalement massacrer des innocents à Bethléem. Le meurtre et le génocide ayant échoué, la seule alternative qui restait était d’empêcher la proclamation de l’Évangile.

    Au début, le diable n’utilisa que la persécution et de faux évangiles, mais maintenant il possède une véritable armurerie. L’une de ses armes consiste à donner aux croyants d’autres priorités. Cela ne le dérange pas si nous travaillons dur pour notre église, tant que cela nous tient éloignés du désastre que l’Évangile peut accomplir dans son royaume maléfique.

    Nous pouvons nous spécialiser dans la doctrine, dans la communion fraternelle, dans la voie de la prospérité ou dans l’entretien de notre âme, par des manières qui n’ont aucune relation ni conséquence sur la proclamation de l’Évangile à toute créature. Ce sont de bonnes activités qui, néanmoins, ne laissent aucune place à la tâche la plus urgente.

    Nous pouvons même mettre au point des interprétations de l’Écriture qui nous font grâce de cette tâche et apaisent notre conscience vis-à-vis des perdus. La prière elle-même, pourtant si vitale, peut devenir un substitut à l’évangélisation. Mais, comme le dit Suzette Hattingh : « La prière sans évangélisation est une flèche envoyée pour rien ! ». Si nous organisons des rassemblements de prière, ils doivent être associés directement à un effort d’évangélisation, et non pas avoir lieu pour présenter des requêtes générales.

    Jérémy Sourdril

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  • The pressure has reached a critical threshold. One day, I locked myself in a hotel room in Lesotho to pray. I was determined not to let God go without him giving me a clear word from him.

    With boldness, I placed my feelings before God and explained to him how tired and sick I was of tension, forced to evangelize, but restrained by men. Was all this his will for me, this constant impulse to lead campaigns? Other workers did not seem to believe that mass evangelism could be the right way to go.

    That day, God clarified things for me. He also answered me directly that I had spoken to him. He said to me : "If you give up the vision I gave you, I should call on another man who will accept and do what I want."

    I immediately repented of my hesitations. I made my decision once and for all. God began to show favor and give me encouragement.

    Since that day, I have never looked back. I learned how to treat critics and their critics by letting God himself take my defense. May they see the direction of the Lord by the fruits that it bears, I decided. I focused on what he expected of me and the ministry and the results grew, step by step, dimension by size, sometimes even dramatically.

    Jeremy Sourdril

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  • La pression a atteint un seuil critique. Un jour, je me suis enfermé dans une chambre d'hôtel au Lesotho pour prier. J'étais déterminé à ne pas laisser Dieu aller sans qu'il ne m'ait donné une parole claire de sa part.

    Avec hardiesse, j'ai placé devant Dieu mes sentiment et lui ai expliqué combien j'étais fatigué et malade de la tension, contraint d'évangéliser, mais freiné par les hommes. Tout cela était-il sa volonté pour moi, cette impulsion constante à mener des campagnes ? D'autres ouvriers ne semblaient pas croire que l'évangélisation de masse puisse être la bonne marche à suivre.

    Ce jour-là, Dieu clarifia les choses pour moi. Il me répondit aussi directement que je lui avait parlé. Il me dit ceci : « Si tu abandonnes la vision que je t'ai donné, je devrais faire appel à un autre homme qui, lui, acceptera et fera ce que je désire ».

    Je me repentis immédiatement de mes hésitations. Je pris ma décision une fois pour toutes. Dieu commença alors à se montrer favorable et à me donner des encouragements.

    Depuis ce jour-là, je n'ai jamais regardé en arrière. J'ai appris comment traiter les critiqueurs et leur critiques en laissant Dieu lui-même prendre ma défense. Qu'ils voient la direction du Seigneur par les fruits que cela porte, décidai-je. Je me concentrai sur ce qu'il attendait de moi et sur le ministère et les résultats prirent de l'ampleur, pas à pas, dimension après dimension, quelquefois même de façon dramatique.

    Jérémy Sourdril

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  • A man with a mission needs a vision. Isaiah and Jeremiah needed it too. Without it, they would never have gone ahead. To be called by God costs nothing, since it is God who calls. But giving birth to this call is entirely another matter. Unless called, every man gives up.

    I was a hard working missionary in Lesotho, but the dream of a blood-washed Africa was chasing me. The vision became more alive and insistent. A burning desire led me to start my first ventures. But I was still hesitating. The members of the missionary committee disapproved, good and witty men that they were. Karl Barth wrote : "Faith is never the same as piety". Normal missionary work was, for them, the approach most likely to produce fruit for the sake of Africa, not mass evangelism. How could I think I could act differently ? If this was God's plan, why did not other men do it ? The missionaries were satisfied with the traditional mission, were they wrong and I right ?

    I felt isolated. Then, I met a group of evangelists to share my vision, and everyone had a story to tell similar to mine. They shared a common and common experience of administrative discouragement. They had the devouring fire of the Spirit in them, the challenge of the immense possibilities around them, but the criticisms from the outside. During these birth pains, I had to spend hours in prayer, very often in agony in my mind, in order to keep my balance and my peace.

    How long would it take to produce a blood-washed Africa without aggressive evangelistic campaigns ? We only have one generation to save a generation. Every generation needs regeneration.

    Jeremy Sourdril

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  • Un homme avec une mission a besoin d’une vision. Ésaïe et Jérémie en avaient besoin aussi. Sans elle, ils ne seraient jamais allés de l’avant. Être appelé par Dieu ne coûte rien, puisque c’est Dieu qui appelle. Mais donner naissance à cet appel, est entièrement une toute autre affaire. À moins d’être appelé, tout homme abandonne.

    J’étais un missionnaire travaillant dur au Lesotho, mais le rêve d’une Afrique lavée par le sang me poursuivait. La vision devint plus vivante et insistante. Un désir brûlant me conduisit à me lancer dans mes premières entreprises. Mais j’hésitais encore. Les membres du comité missionnaire désapprouvaient, hommes bons et spirituels qu’ils étaient. Karl Barth a écrit : « La foi n’est jamais identique à la piété ». Le travail missionnaire normal était, pour eux, l’approche la plus susceptible de produire du fruit pour le salut de l’Afrique, et non pas l’évangélisation de masse. Comment pouvais-je penser pouvoir agir différemment ? Si c’était là le plan de Dieu, pourquoi d’autres hommes ne le faisaient-ils pas ? Les missionnaires étaient satisfaits de la mission traditionnelle, avaient-ils tort et moi raison ?

    Je me sentais isolé. Puis, je rencontrai un groupe d’évangélistes pour partager ma vision, et chacun avait une histoire à raconter similaire à la mienne. Ils partageaient une expérience fréquente et commune de découragement administratif. Ils avaient le feu dévorant de l’Esprit en eux, le défi des immenses possibilités autour d’eux, mais les critiques de l’extérieur. Pendant ces douleurs d’enfantement, je dus passer des heures dans la prière, très souvent en agonie dans mon esprit, afin de garder mon équilibre et ma paix.

    Combien de temps faudrait-il pour produire une Afrique lavée par le sang sans campagnes d’évangélisation agressives ? Nous n’avons qu’une génération pour sauver une génération. Chaque génération a besoin de régénération.

    Jérémy Sourdril

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