• Mardi 9 Avril 2024

    Or, puisque nous sommes morts avec Christ, nous croyons que nous vivrons aussi avec lui. Romains 6.8 Version Bible du Semeur

    Jésus le Juste

    Le pasteur américain Tim Keller résume le message de la Bible en une phrase : « L’Évangile, c’est que Christ a vécu la vie que nous aurions dû vivre, et qu’il a subi la mort que nous aurions dû subir ». Comme tous les hommes, nous sommes par nature esclaves du péché et animés d’un esprit d’indépendance vis-à-vis de Dieu. En dépit de tous nos efforts, nous sommes incapables de mener une vie parfaitement juste. Combien de fois notre conscience nous accuse, constatant notre tendance à l’égoïsme, à l’orgueil, à la convoitise... Toutes nos bonnes actions ne peuvent nous racheter devant le Dieu Saint et Juste. Tous ont péché, et sont privés de la gloire de Dieu (Romains 3.23), affirme l’apôtre Paul.

    Seul Jésus a réussi là où nous échouons tous. Il est venu sur terre partager notre humanité et nous révéler l’amour de son Père. Tout au long de sa vie, il a eu une conduite parfaitement juste. Il a été tenté en tout point comme nous le sommes, mais sans commettre de péché (Hébreux 4.15). Par sa mort innocente sur la Croix, Jésus a subi à notre place le châtiment exigé par la justice divine. Ceux qui croient en lui sont déclarés justes par sa grâce ; c’est un don que Dieu leur fait par le moyen de la délivrance apportée par Jésus-Christ (Romains 3.24).

    En mourant à notre place, Jésus nous offre sa vie ! Si nous l’acceptons par la foi...

    Bernard Grebille

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    Lecture proposée : Lettre aux Romains, chapitre 5, versets 12 à 19.

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  • Lundi 8 Avril 2024

    Mon peuple, que t’ai-je fait ? En quoi t’ai-je fatigué, réponds-moi ! Michée 6.3

    Marcher avec Dieu comme il marche avec nous

    Dieu est en procès avec son peuple ; serait-ce Dieu le responsable de tous les malheurs, des injustices dans le pays ? Certes, cela est plutôt un signe que le Seigneur est absent dans nos cœurs et nos pensées ; la Bible est fermée ! Les églises ne font plus le plein. On dit que Dieu ne parle plus et n’agit plus, malgré tout, tel un Père qui attend son enfant.

    Notre société refuse la présence de Dieu : « nous ne voulons pas qu’il règne sur nous (Luc 19.14). » La même histoire se répète déjà lors du procès de Jésus. De nos jours, la société ne se trouve-t-elle pas confrontée à de nombreux défis ? Jésus fut victime et non bourreau, portant le fardeau dans ses souffrances. Il meurt mais est revenu à la vie.

    Comment enfin le trouver ? Avec quoi me présenterais je devant le Seigneur ? (Michée 6.6) Le prophète savait qu’il restait possible de « marcher avec Lui ; » il répond à la place de Dieu : Ce que le Seigneur demande de toi, c’est que tu pratiques la justice, que tu aimes la miséricorde et que tu marches humblement avec ton Dieu (Michée 6.8).

    En Jésus, Dieu a décidé envers et contre tout de marcher avec nous ; avons-nous fait le choix ?

    Willy Lehnherr

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    Lecture proposée : Livre du prophète Michée, chapitre 3, versets 6 à 8.

    3.6 Á cause de cela,  vous aurez la nuit..., et plus de visions ! Vous aurez les ténèbres..., et plus d'oracles ! Le soleil se couchera sur se prophètes, le jour s'obscurcira sur eux.

    3.7 Les voyants seront confus, les devins rougiront, tous se couvrirons la barbe ; car Dieu ne répondra pas.

    3.8 Mais moi, je suis rempli de force, de l'esprit de l'Éternel, je suis rempli de justice et de vigueur, pour faire connaître à Jacob son crime, et à Israël son péché.

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  • Dimanche 7 Avril 2024

    C’est un bien pour moi d’avoir été humilié, pour que j’apprenne quelle est ta volonté. Psaume 119.71

    Humbles pour l'écoute

    J’affectionne le verset de l’en-tête ! Parce qu’il est tellement à contre-courant des idées reçues !

    C’est le roi David qui l’a écrit. Habitué à ce qu’on l’honore, il a connu des temps plus difficiles. Réfugié dans une caverne, il lui était « bon d’être humilié ». Pourquoi ? Croyait-il cette souffrance méritoire ? Pas du tout ! C’était « afin d’apprendre quelle était la volonté de Dieu. »

    Oui, nous sommes ainsi faits que, si nous ne sommes pas dans une position d’humilité, nous ne pouvons pas comprendre la parole de Dieu. Alors, si des épisodes humiliants nous atteignent, accueillons-les comme autant d’opportunités de redevenir un humble apprenti. Et de nous mettre à l’écoute de Dieu en lisant la Bible, sa Parole, de nous laisser enseigner par elle.

    Quand nous passons par diverses épreuves, nous nous demandons souvent pourquoi. Dieu veut nous parler, mais notre oreille est encombrée. Et si elle est « réglée trop haut », nous ne pouvons entendre sa douce voix.

    Alors, courbons-nous et remercions Dieu de nous avoir rendus humbles pour l’écoute.

    Francis Schneider

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    Lecture proposée : Psaume 119, versets 64 à 77.

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  • Samedi 6 Avril 2024

    Son aspect n’avait rien pour nous plaire. Ésaïe 53.2

    L'homme qui ne plaisait pas

    Beaucoup ont suivi Jésus-Christ pour le sensationnel des miracles, et ils ont fini par le quitter. Ceux qui étaient vraiment attachés au Christ n’étaient qu’un peu plus d’une centaine.

    Pourquoi ne plaisait-il pas, malgré tout le bien qu’il faisait ?

    Non seulement pour son physique ordinaire, mais parce qu’il était tout ce que nous ne sommes pas. Spirituellement si différent, que même parmi les siens, il était incompris.

    Plein d’amour au milieu des gens violents. Compassionnel au milieu des rejetés et des malades. Marchant dans la lumière et la sainteté divine, sur une terre pleine de péchés.

    Rien pour nous plaire, car mettant en relief nos défauts, nos ténèbres.

    La demande des chefs à Pilate : À mort à mort ! Crucifie-le... (Jean 19.15) on ne le supporte plus ! On ne peut garder bonne conscience face à Dieu, même manifesté en chair. Le tuer devait ramener de la tranquillité...

    Il dérangerait autant aujourd’hui !

    Mais cet homme qui n’avait rien pour nous plaire est le seul qui plaisait vraiment et continuellement à Dieu : Celui-ci est mon fils bien-aimé, en qui j’ai trouvé mon plaisir, écoutez-le (Matthieu 17.5) (ou : en qui j’ai mis mon affection, suivant la traduction).

    Bien que nous ayons manqué d’amour pour lui, il nous aimé jusqu’à donner sa vie pour nous. Maintenant que nous savons qui il est et ce qu’il a fait pour nous, aimons le comme il en est digne !

    Francis Rivère

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    Lecture proposée : Livre du prophète Ésaïe, chapitre 53, versets 1 à 5.

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  • Vendredi 5 Avril 2024

    Moi, je suis l’Éternel, ton Dieu depuis l’Égypte. Tu ne connaîtras pas d’autre Dieu que moi, et il n’y a pas d’autre sauveur que moi. Osée 13.4 Version Segond 21

    Seul le Créateur est digne de vénération

    Le prophète Osée révèle ce message de l’Éternel : trop de croyants sont retournés à l’idolâtrie. C’est un réflexe de faire appel à Dieu quand on traverse le désert. Mais quand tout va bien à nouveau, c’est facile de l’oublier. L’ingratitude se double de la folie. Il s’agit de l’un des passages de la Bible qui rappelle une vérité fondamentale sur les religions : les « dieux » et les « déesses », quels que soient leurs noms, saints, patrons, vierges, idoles, ne sont que des statues, des objets façonnés par des artisans, périssables, cassants, comme nous. Pourquoi s’inventer des divinités, surtout quand on sait que tout est faux ?

    Les deux premiers Commandements nous le disent : tu ne te feras pas d’idole et tu ne t’inclineras pas devant elle. Si l’on accepte que cet auteur de la Bible, en tout cas sa source, est le Créateur de toute chose, y compris du temps, de l’espace, de la vérité, de l’harmonie, quel est l’intérêt d’aller imaginer vouer un culte à quoi que ce soit d’autre (Ésaïe 43.11) ? Á quelque chose qui au mieux est une créature comme nous, au pire, est notre propre fantaisie sur un bout de métal, de bois ou de pierre ?

    Tournons donc nos regards vers Dieu, et vers son Fils Jésus-Christ qui veut et peut véritablement nous sauver.

    Lionel Cavan

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    Lecture proposée : Psaume 119, versets 47 à 51.

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  • Jeudi 4 Avril 2024

    J’ai exaucé ceux qui ne demandaient rien, je me suis laissé trouver par ceux qui ne me cherchaient pas. Ésaïe 65.1

    Il y a 50 ans !

    Je m’appelle Hélène. Je suis née avec un papa non croyant, mais tolérant, et une maman qui croyait en Jésus de façon (je dirais) faussement particulière. En effet, ma mère pensait que pour approcher Dieu, il fallait répéter des prières dans un livre qu’on lui avait donné. Pour ma part, on m’avait baptisée enfant, mais je n’allais à l’église que rarement.

    À 16 ans, j’étais athée… Cependant, au lycée de Vichy, je rencontrai... Hélène ! Nous avions le même prénom, mais elle était bien différente, car elle témoignait de sa foi. Je me souviens qu’à l’époque je lui fis beaucoup de misères... Pourtant, sur son invitation, je suis allée à un week-end de rencontre de jeunes. Là, François et Gaëtan m’ont partagé leurs arguments qui s’opposaient à mon athéisme.

    De retour chez moi, j’ai commencé à y réfléchir honnêtement. Intérieurement, je fus convaincue de me repentir de mes péchés, et j’accueillis Jésus-Christ comme mon Sauveur et mon Dieu dans ma vie. Je le fis le 4 avril 1974, il y a 50 ans !

    Aussitôt, j’ai ressenti une paix immense, autant inexplicable que bienfaisante. Le lendemain, j’en ai parlé à mon amie Maryse qui, elle aussi, s’est convertie. En très peu de temps, un réveil spirituel souffla dans notre lycée et à Vichy. Bientôt, nous étions une quinzaine de jeunes filles à connaitre ce grand Dieu qui a changé nos vies.

    Recueilli par Isabelle Kozycki

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    Lecture proposée : Lettre aux Romains, chapitre 10, versets 14 à 21.

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  • Mercredi 3 Avril 2024

    Ressuscité le dimanche matin, Jésus apparut d’abord à Marie de Magdala, dont il avait chassé sept démons. Marc 16.9 Version Segond 21

    Votre espoir est-il déçu ?

    Les résultats du premier tour des Présidentielles françaises 2022 viennent de s’afficher au journal télévisé de 20 heures.

    C’est la liesse dans les deux camps finalistes. Mais aux Q.G. des candidat(e)s éliminé(e)s, des militantes éclatent en pleurs : leur champion(ne) est battu(e) ! Elles s’étaient investies à fond pour leur candidat(e), elles avaient tant cru à sa victoire !

    Cette désillusion amère avait aussi été celle de Marie de Magdala, dont nous parlent les Évangiles.

    Marie avait mené une vie désordonnée. Mais quand Jésus la rencontra et la délivra des forces démoniaques qui l’habitaient et la tourmentaient, elle trouva en lui sa raison de vivre et devint sa disciple dévouée, le suivant dans ses pérégrinations.

    Stupeur : le champion de Marie est battu, odieusement cloué sur une croix ! Quel terrible désappointement !

    Mais voici un nouveau coup de théâtre, qui fait renaître son espérance moribonde et lui donne une dynamique éternelle cette fois : Jésus est ressuscité, et c’est à elle, Marie, que le Seigneur triomphant de la mort se montre en premier ! Quel amour ! Envolée, sa désillusion !

    Oh, que chaque lecteur puisse rencontrer ce Sauveur bien vivant, victorieux de la mort ! Si c’est votre cas, quelles qu’aient été vos désillusions passées, ne fondront-elles pas comme neige au soleil ?

    Claude Schneider

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    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 20, versets 1 à 18.

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  • Mardi 2 Avril 2024

    Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront en Christ. 1 Corinthiens 15.22

    Besoin de revivre en Christ

    Comme le bois de la branche d’un arbre hérite la même nature que le tronc, tout homme porte en lui l’étendue de la nature déchue d’Adam, son ancêtre (Romains 5.12). Seulement, contrairement à la branche inconsciente d’un arbre, l’homme est bien responsable et coupable de ses fautes car il a reçu de Dieu le choix du libre arbitre, c’est-à-dire la faculté de dire non au mal quand il se présente. Je ne nie pas non plus qu’il soit capable de faire le bien, mais il est incapable de le faire toujours car, encore une fois, sa nature est mauvaise... D’ailleurs, la Bible souligne l’universalité du mal répandue dans l’humanité : Non, il n’y a sur la terre point d’homme juste qui fasse le bien et qui ne pèche jamais (Ecclésiaste 7.20).

    Pour toutes ces raisons, nous avons besoin du secours de Dieu non seulement pour obtenir son pardon vis-à-vis des fautes que nous avons commises, mais avant tout, pour recevoir son Esprit, la personnalité divine dans notre cœur, à la place de l’ancienne héritée d’Adam.

    Parce que l’homme n’est pas seulement séparé de Dieu à cause de son comportement, mais à cause de ce qu’il est, Jésus-Christ déclare : Il faut que vous naissiez de nouveau (Jean 3.7). Par son Évangile, Jésus ne se borne pas à pardonner, mais il recrée, il fait renaître, il fait revivre celui qui croit en lui !

    Dominique Moreau

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    Lecture proposée : 1ère lettre aux Corinthiens, chapitre 15, versets 1 à 22.

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  • Lundi 1 Avril 2024

    Il est ressuscité, comme il l’avait dit. Venez, voyez l’endroit où il était couché. Matthieu 28.6 Version Nouvelle Segond Révisée

    Pâques

    Il m’arrive d’être invité pour l’animation d’émissions de radio. J’aime particulièrement un chroniqueur qui a beaucoup de créativité. Il nous disait l’autre jour que le vendredi de Pâques avec ses jeunes enfants, ils avaient fabriqué une espèce de tombe. Ils y ont mis un playmobil couché dedans, qui représentait Jésus mort. Ils y ont ajouté d’autres playmobils devant la tombe pour représenter les gardes romains.

    Le dimanche, les enfants étaient tout excités, ils ont voulu voir si “Jésus” était encore dans le tombeau. En famille, ils ont ouvert le tombeau et les enfants étaient stupéfaits de voir qu’il avait disparu, il n’était plus dans la tombe alors que rien n’avait semblé avoir bougé, les gardes étaient toujours à leur poste ! Le père nous a dit l’avoir ôté tôt le dimanche.

    L’effet sur les enfants fut très fort ; nul doute qu’ils s’en rappelleront.

    J’ai trouvé cette manière de faire tellement originale, pédagogique et sympa en même temps.

    Je ne suis pas contre la recherche des œufs ou autres chocolats par les enfants dans les parcs et jardins, mais Pâques c’est tout de même bien plus que cela ! Jésus est réellement, vraiment, ressuscité !

    Bernard Delépine

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    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 11, versets 25 à 27.

    11.25 Jésus lui dit : Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ;

    11.26 et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ?

    11.27 Elle lui dit : Oui, Seigneur, je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, celui qui vient dans le monde.

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  • Dimanche 31 Mars 2024

    Il sauvera son peuple de ses péchés. Matthieu 1.21

    Un sacrifice unique

    Les Israélites devaient, chaque année, sacrifier un animal pour faire l’expiation de leurs péchés. Jésus n’a pas eu besoin de le faire, ayant vécu sa vie dans une parfaite obéissance à la Loi de Dieu, sans commettre de péché.

    Il dit à ses contemporains : Qui de vous me convaincra de péché ? Je dis la vérité ; pourquoi ne me croyez-vous pas ? (Jean 8.46)

    L’apôtre Jean le confirme : Jésus a paru pour ôter les péchés et il n’y a point en lui de péché (1 Jean 3.5).

    Quelle bonne nouvelle que celle de l’Évangile ! Étant sans péché, le Fils de Dieu a offert sa vie en sacrifice pour expier nos péchés. La Bible l’appelle l’Agneau de Dieu ! Nous n’avons plus besoin d’offrir les sacrifices de culpabilité prescrits dans l’Ancien Testament, car l’unique sacrifice de Jésus à la Croix a pleinement satisfait la justice de Dieu. Il est suffisant pour couvrir tous nos péchés.

    Jean-Baptiste désignait Jésus comme étant l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde (Jean 1.29).

    L’apôtre Paul affirme : Christ est mort, et c’est pour le péché qu’il est mort, une fois pour toutes (Romains 6.10).

    Il serait regrettable que, par incrédulité, vous ne puissiez pas être au bénéfice du sacrifice de Jésus, pour que vos péchés soient pardonnés.

    Yves Perrier

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    Lecture proposée : Lettre aux Hébreux, chapitre 10, versets 1 à 18.

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