• Lundi 26 Février 2024

    Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis qui était perdue. Luc 15.6

    La brebis égarée

    On peut désigner ainsi celui qui prend un mauvais chemin, qui se sépare du troupeau pour mener sa propre vie, souvent à ses propres dépens... La brebis égarée désigne aussi celui que nous aimons et que nous souhaiterions voir revenir à la maison, retrouver sa place parmi nous.

    Cette expression nous rappelle une petite parabole de Jésus : un berger possédant 100 brebis, va en laisser 99 au pâturage pour partir à la recherche de la centième qui s’est perdue.

    Cela montre à quel point elle lui est précieuse, et il va la chercher jusqu’à ce qu’il l’ait trouvée... Alors il appelle tous ses amis et ses voisins pour qu’ils se réjouissent avec lui !

    Jésus illustre par cette parabole le désir de Dieu de retrouver tous les hommes qui se perdent loin de lui et combien grande est sa joie quand l’un d’eux se laisse trouver par lui. Sommes-nous conscients que si nous vivons notre propre vie, loin de Dieu, indifférent, ou pire hostile, à ce qu’il veut nous dire, nous sommes alors comme cette brebis égarée ?

    En Jésus-Christ, Dieu vient nous chercher pour nous ramener à la maison, en sa présence. Nous laisserons-nous trouver ?

    Bernard Grebille

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    Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 15, versets 1 à 10.

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  • Dimanche 24 Février 2024

    Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ; et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ. Romains 3.23-24

    Étonnante grâce de Dieu

    L’homme est esclave par envie de pécher et libre de vouloir pécher ou non. Il est étonnant que l’homme soit à la fois esclave et libre. La simple possibilité de vouloir le bien ou le mal est présente en chaque homme. Depuis la chute d’Adam, il n’a pas été privé de volonté mais de saine volonté ! Le fait qu’il existe en chacun de nous un asservissement au péché n’enlève donc en rien notre responsabilité, car nous péchons sous l’effet d’un très fort désir et non sous celui d’une contrainte.

    Ceci atteste la véracité de la parole de Dieu qui déclare que tous les hommes sont coupables. En résumé, nous sommes misérables par la servitude ; et, par la libre volonté, nous sommes, de plus, inexcusables ! L’apôtre Paul confirme que l’homme a la volonté, mais non le pouvoir de faire toujours le bien ; c’est pourquoi, il annonce ce renversement étonnant : quiconque se confie en Christ, en abandonnant son statut d’indépendance pour celui d’obéissance à Dieu, cesse d’être esclave. Il est libéré de l’autorité tyrannique du péché ! Adam, acceptant l’indépendance que Satan lui proposait, nous a tous conduit à l’esclavage… mais si nous acceptons la soumission en Christ, nous sommes conduits à la liberté ! Étonnante grâce de Dieu !

    Dominique Moreau

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    Lecture proposée : Lettre aux Romains, chapitre 3, verset 9 à 24.

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  • Samedi 24 Février 2024

    Vous qui étiez morts par vos offenses... (Jésus) vous a rendus à la vie avec lui, en nous faisant grâce pour toutes nos offenses ; il a effacé l’acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistait contre nous, et il l’a détruit en le clouant à la croix. Colossiens 2.13-14

    Substitution

    Dans le verset placé en tête de ce feuillet, le mot traduit par « acte » désigne la reconnaissance de dette rédigée et signée de la main du débiteur. Devant Dieu, tout le monde est débiteur d’une dette impossible à honorer : la violation de sa volonté. Cela s’appelle « le péché », et nous tombons tous sous le coup d’une condamnation à mort.

    L’apôtre Paul compare le pardon en Jésus-Christ à l’acte d’effacer l’encre du parchemin où sont écrits les péchés qui nous condamnent.

    Quel moyen Jésus a-t-il employé pour effacer la liste de nos péchés ? Il l’a clouée à la croix !

    La liste des crimes commis par un crucifié était clouée sur sa croix, pour indiquer pourquoi il était exécuté. Les péchés des croyants ont tous été imputés à Christ. Spirituellement, tout se passe comme si la liste des péchés que j’ai commis, comme votre liste, était clouée sur sa croix. Il se substitue à nous, meurt à notre place, portant les conséquences de nos péchés.

    Par son sacrifice, notre reconnaissance de dette est totalement effacée. Le pardon obtenu par Jésus-Christ est total. Combien Jésus nous a aimés pour accepter de mourir à ma place, à votre place, comme si c’était lui qui avait commis tous nos péchés !

    Francis Rivère

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    Lecture proposée : 1ère lettre de Pierre, chapitre 2, versets 21 à 24.

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  • Vendredi 23 Février 2024

    Depuis que le monde est monde, jamais on n’a entendu dire que quelqu’un ait rendu la vue à un aveugle de naissance. Jean 9.32 Version Bible du Semeur

    On n'a jamais entendu dire

    Celui qui prononce ces paroles était atteint de cécité depuis sa naissance, et Jésus l’a guéri. Mais il n’était ni sourd ni attardé mental. Il a bien compris que les ennemis de Jésus ne faisaient preuve d’aucune rigueur scientifique pour refuser le miracle et que le respect de la Loi n’était pas leur motivation.

    Ils ne cherchaient qu’à préserver leur tradition et à garder leurs préjugés. Leur enquête, menée à charge, enveloppée de fureur et de harcèlement, était destinée à condamner Jésus et à le faire mourir. Dommage pour eux qu’il y ait eu tant de témoins des faits.

    Dans des circonstances similaires, les apôtres Pierre et Jean déclareront plus tard à leurs juges : « C’est en [Jésus] seul que se trouve le salut. Dans le monde entier, Dieu n’a jamais donné le nom d’aucun autre homme par lequel nous devions être sauvés » (Actes 4.1-22). Il y a des paroles qu’on n’avait pas entendu prononcer avant la venue de Jésus. Mais, depuis sa venue, le nom de Jésus est proclamé comme celui de l’unique Sauveur du monde envoyé par Dieu. Il y a eu un grand nombre de témoins des faits (1 Corinthiens 15.3-8), mais les préjugés ont la vie dure, et les ennemis de Jésus continuent à y trouver leur nourriture.

    Et vous, oserez-vous aller au-delà des préjugés et sonder les Écritures ?

    Bernard Smagghe

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    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 9, versets 1 à 41.

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  • Jeudi 22 Février 2024

    Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. Genèse 1.1 Version Segond 21

    Un Dieu unique et véritable

    On pense que c’est Moïse qui a écrit ces mots, au XVème siècle avant Jésus-Christ. À l’époque de l’Égypte des Pharaons, de la mégapole de Babylone, de l’empire hittite, de l’Inde des épopées védiques, deux siècles avant l’époque supposée de la Guerre de Troie. Au temps des mythologies et de la guerre avec des archers montés sur des chars.

    Quelle bombe !

    Pour la première fois, un auteur pose l’existence d’un Créateur, antérieur à tout. Il ne se base pas sur l’existence fondamentale de deux éléments contraires, qui auraient toujours été là, générant un dieu par une quelconque réaction « chimique ». Ni d’un chaos bouillonnant originel qui aurait toujours existé, et d’où émerge l’être qui mettra de l’ordre.

    Non : il écrit que cet être précède toute chose, que c’est lui qui a créé, de sa seule volonté, les éléments primordiaux. Les conséquences logiques sont gigantesques : ça veut dire que Dieu est antérieur même à toute forme de logique, de loi naturelle, même du temps et de l’espace. Il est le Créateur, il est insaisissable à l’entendement humain.

    Voilà en quoi ce Dieu de la Bible est unique !

    Lionel Cavan

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    Lecture proposée : Livre de Job, chapitre 38, versets 4 et 5.

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  • Mercredi 21 Février 2024

    Il n’y entrera rien de souillé, ni personne qui se livre à l’abomination et au mensonge, mais ceux–là seuls qui sont inscrits dans le livre de vie de l’Agneau. Apocalypse 21.27

    Être dans les petits papiers de quelqu'un

    Globalement, cette expression signifie qu’une personne occupe une position privilégiée auprès d’une autre. Elle est appréciée et bénéficie de son soutien. Cette situation particulière lui permet d’avoir des recommandations, de la bienveillance, des faveurs, surtout si le « quelqu’un » est socialement haut placé.

    D’un point de vue spirituel, chaque enfant de Dieu est dans « les petits papiers » de Dieu. La Parole de Dieu le formule autrement en disant qu’il est au bénéfice de sa grâce. Dieu le regarde favorablement en Christ. L’enfant de Dieu, adopté en Jésus-Christ, a son nom inscrit sur un document particulier : le livre de vie (Apocalypse 3.5), et ceci dès la fondation du monde. Ce n’est pas le cas de tous les êtres humains (Apocalypse 13.8, 17.8, 20.15).

    Les bienfaits du salut en Jésus sont innombrables. Le regard favorable de Dieu, sa protection, sa direction, l’assurance de la vie éternelle, être dans sa présence pour toujours, etc. sont autant de sujets de louange.

    Qu’il est bon « d’être dans les petits papiers » de Dieu ! Réjouissons-nous de ce que nos noms sont inscrits dans les cieux.

    Jean-Michel Guerche

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    Lecture proposée : Livre de l’Apocalypse, chapitre 21 verset 22 au chapitre 22 verset 5.

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  • Mardi 20 Février 2024

    Christ a dépouillé les dominations et les autorités et les a données publiquement en spectacle en triomphant d’elles par la croix. Colossiens 2.15

    Le char triomphal de Christ

    Dans la Rome antique, il était de coutume qu’un général rentré victorieux d’une bataille parade en ville sur son char de triomphe, suivi par ses ennemis vaincus enchainés. Il était ovationné par la foule.

    L’apôtre Paul, citoyen romain lui-même, y trouve une analogie au triomphe du Christ sur la croix. La croix, une mort horrible, n’a rien d’une victoire, et tout d’une défaite définitive.

    Pas pour Christ ! Sa résurrection éclatante témoigne de ce qu’en mourant pour nos péchés, il a définitivement vaincu le diable, le péché et la mort, symboliquement enchainés derrière son char de triomphe.

    Paul évoque une deuxième fois ce char triomphal de Christ : Je ne puis que remercier Dieu : il nous associe toujours au cortège triomphal du Christ, par notre union avec lui, et il se sert de nous pour répandre en tout lieu, comme un parfum, la connaissance du Christ (2 Corinthiens 2.14). Extraordinaire, Paul voit le chrétien uni à son Sauveur sur le char triomphal du Vainqueur !

    Par pure grâce, vous aussi, vous pouvez être bénéficiaire de sa victoire sur tout ce qui vous enchaine aujourd’hui : le mal, le diable, la peur de la mort et de ce qui la suit, l’éternité ! Confiez-vous en Christ, il sera en vous votre victoire quotidienne !

    Claude Schneider

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    Lecture proposée : Lettre aux Colossiens, chapitre 2, versets 13 à 15.

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  • Lundi 19 Février 2024

    ... j’ai même découvert un autel avec cette inscription : ‘À un dieu inconnu’ ! Actes 17.23

    La France, pays athée ?

    En 2012, après avoir interrogé 40 000 personnes dans 40 pays, l’institut de sondage Gallup a indiqué que la France était le 4ème pays athée du monde (Site nouvelobs.com, consulté le 11 janvier 2023).

    Et moi qui croyais que la France était « la fille aînée de l’Église »... La France a produit de nombreux et brillants intellectuels rationalistes, qui ont sans aucun doute influencé la société.

    Mais sommes-nous vraiment si incroyants que cela, en France ? Il se dit que les journaux qui ne publient pas l’horoscope enregistrent 10 % de ventes en moins. Pour conjurer le mauvais sort, chacun « touche du bois », en se touchant la tête en l’absence de bois. Face à une situation délicate, il est courant de « croiser les doigts ». J’ai donc du mal à croire que nous soyons si athées que cela.

    En vérité, chacun a besoin de placer sa foi en quelqu’un ou en quelque chose. L’être humain ne peut pas vivre sans placer sa confiance en ce qu’il appelle une force supérieure.

    En quoi placez-vous votre foi ? Votre santé, votre travail, votre argent, vos capacités à vous tirer d’affaire en toute situation ? Votre conjoint, vos amis ? Tous ces points d’appui peuvent un jour défaillir et vous décevoir.

    Il serait donc complètement rationnel de croire en celui qui ne peut ni défaillir ni décevoir, et qui a envoyé son Fils Jésus-Christ pour nous sauver.

    Jean-Louis Théron

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    Lecture proposée : Lettre à Tite, chapitre 1, versets 1 à 4.

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  • Sunday 18 February 2024

    I am the way, the truth and the life. No one comes to the Father except through me. John 14.6 New Revised Version

    Intolerance ?

    To assert today that all religions are equal has become a commonplace. If I dare to say that Jesus is the only way, the only Savior of the world, I will be accused of intolerance, even sectarianism.

    But as a Christian, if I believe what Jesus said, what the Apostle Paul says, what the whole Bible proclaims, then I can only say : “Yes, He is the only God !”

    Already in the Old Testament, God made himself known to his people in this way : Hear Israel, the Lord our God, the Lord is one (Deuteronomy 6.4). And it is only in this one God, revealed as Father, Son and Holy Spirit, that our diversities can come together in love and peace. There is one God and Father of all, who is above all, among all, and in all (Ephesians 4:6).

    Above all : he is the Father. Among all : he is the Son. In all : it is the Spirit. One God manifested in the Trinity.

    Thus we proclaim that there is no love greater than that of the Father who sent his only Son to save us. This love is the only one that is perfect. This is also why we recognize in creation the entirely coherent work of one God. And within this universe, God has endowed each human being with a heart to love him, and with a spiritual intelligence to know him.

    Elfriede Bloch

    __________________

    Proposed reading : Letter to the Ephesians, chapter 4, verses 1 to 7.

    Source (Living Today)

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  • Dimanche 18 Février 2024

    Moi, je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. Jean 14.6 Version Nouvelle Segond Révisée

    Intolérance ?

    Affirmer aujourd’hui que toutes les religions se valent, est devenu un lieu commun. Si j’ose dire que Jésus est le seul chemin, le seul Sauveur du monde, je me ferai accuser d’intolérance, voire de sectarisme.

    Mais en tant que chrétien, si je crois ce que Jésus a dit, ce que l’apôtre Paul affirme, ce que toute la Bible proclame, alors je ne peux que dire : « Oui, il est le seul Dieu ! »

    Déjà dans l’Ancien Testament, Dieu se faisait connaître ainsi à son peuple : Écoute Israël, le Seigneur notre Dieu, le Seigneur est un (Deutéronome 6.4). Et ce n’est qu’en ce Dieu unique, révélé comme Père, Fils et Saint-Esprit, que nos diversités peuvent se rassembler dans l’amour et la paix. Il y a un seul Dieu et Père de tous, qui est au-dessus de tous, parmi tous et en tous (Éphésiens 4.6).

    Au-dessus de tous : c’est le Père. Parmi tous : c’est le Fils. En tous : c’est l’Esprit. Un seul Dieu manifesté dans la Trinité.

    Ainsi nous proclamons qu’il n’y a pas d’amour plus grand que celui du Père qui a envoyé son Fils unique pour nous sauver. Cet amour est le seul qui soit parfait. C’est pourquoi aussi nous reconnaissons dans la création l’œuvre entièrement cohérente d’un seul Dieu. Et au sein de cet univers, Dieu a doté chaque être humain d’un cœur pour l’aimer, et d’une intelligence spirituelle pour le connaître.

    Elfriede Bloch

    __________________

    Lecture proposée : Lettre aux Éphésiens, chapitre 4, versets 1 à 7.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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