• La fille d'un prédicateur américain réputé a été interviewée dans un Talk-show télévisé aux États-Unis (New York) et l'animatrice lui a demandé « Comment Dieu a pu laisser une telle horreur se produire ? »

    Cette jeune fille a donné une réponse aussi profonde que perspicace...

    Elle déclara : « Je crois que Dieu a été profondément attristé par tout ça, au moins autant que nous, mais depuis des années nous lui disons de sortir de nos écoles, de sortir de nos gouvernements et de sortir de nos vies. En tant que "'gentleman", Il s'est calmement retiré.

    Comment pouvons-nous espérer que Dieu nous donnera sa bénédiction et sa protection si nous insistons pour qu'il nous laisse seuls ? »

    Concernant les récents événements, (attaques terroristes, tuerie dans les écoles, guerres, etc... ) Je crois que cela a commencé avec Madeleine Murray O'Hair (elle fut assassinée ) qui s'est plainte de ne plus vouloir la prière dans les écoles, et nous avons dit OUI.

    Puis un autre a dit que nous ne devrions pas lire la Bible à l'école la même Bible qui enseigne "Tu ne tueras point, tu ne voleras point, et aime ton prochain comme toi-même" et, nous avons dit OUI.

    Ensuite, le Dr. Benjamin Spock a dit que nous ne devrions pas taper nos enfants quand ils agissent mal car leur petite personnalité serait faussée et nous pourrions altérer leur estime personnelle. (Le fils du même docteur s'est suicidé).

    Ils disent qu'un expert devrait savoir de quoi il parle peu importe ce qu'il nous dit et nous avons dit OUI.

    Maintenant, nous nous demandons pourquoi nos enfants n'ont pas de conscience, pourquoi il ne font pas la différence entre le bien et le mal, pourquoi ils peuvent sans émotions tuer des étrangers, des parents ou eux-mêmes.

    Probablement qu'à force de profondes réflexions, nous en viendrons à la conclusion que cela a à voir avec le principe de "récolter ce qu'on a semé" !

    C'est drôle de voir à quel point il est simple pour les gens de rejeter Dieu et se demander ensuite pourquoi leur monde devient un enfer, à quel point nous croyons tout ce que les journaux disent et remettons en question tout ce que la Bible dit.

    C'est drôle de voir que nous pouvons envoyer des 'jokes' par mail qui se répandent comme un feu de paille mais lorsqu'on envoie des messages à propos de Dieu, les gens y pensent à deux fois avant de les partager.

    C'est drôle de voir que des articles impudiques, gros­­­­siers, vulgaires et obscènes se propagent si facilement et librement mais des discussions publiques sur Dieu sont supprimées dans des écoles et des entreprises.

    C'est drôle de voir que quand vous allez lire ce mail, vous ne l'enverrez probablement pas à beaucoup de gens de votre carnet d'adresse parce que vous ne savez pas en quoi ils croient ou ce qu'ils penseront de vous.

    C'est drôle de voir que nous nous préoccupons plus de ce que les gens pensent de nous que de ce que Dieu pense de nous.

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  • You have resolved to hold a daily personal worship for 2018 ? Are you already in trouble and wondering how to hold it ? Do you have the right strategy ?

     

    Taking a big resolution is important. The Christian life is a life of resolutions. That of having one's personal worship must accompany us all your life.

    You may be bad in personal discipline or you start from scratch, it may be hard to keep ...

    Why ? Because in fact, this resolution involves several "sub-resolutions", such as : getting up early or going home at night, stopping another bad habit, reading daily, praying daily, writing, etc.

    The idea, therefore, is to cut out your big resolution in X sub-resolutions that will allow you to get to change gradually and sustainably.

    If your high resolution is the floor you want to reach, sub-resolutions are the steps that will take you there.

    Reformulate your big resolution:

    If you left by saying : "From today I want to do a personal worship every day", I propose you to rephrase it as follows : "This year, I will learn to hold a daily personal worship."

    How to determine your sub-resolutions ?

    I find that one simple way to do this is to work with the SMART tool, which is used in many areas.

    SMART is an acronym that helps determine intermediate goals :

    S : Simple

    Your sub-resolution must be clear and precise. It can not be divided into other sub-objectives.

    For example : read the Bible every day. Simple and precise.

    M : Measurable

    Your sub-resolution should allow you to know whether or not you will reach the goal, qualitatively or quantitatively. For example : read every day 1 chapter of the Bible.

    A : Suitable

    You must make sure that your sub-resolution is appropriate for you. Not too ambitious, but who challenges you.

    Is this a real challenge ? Is this achievable ? Am I not failing ? Is it motivating enough ?

    R : Realistic

    Do you have the real means to keep reading 1 chapter a day (schedule, pace of life, energy) to hold this sub-resolution ?

    T : Temporarily defined

    Setting a duration helps to encourage you. Example : read 1 chapter of my Bible, every morning and for a month.

    Concretely, what will this give ?

    You have set your high resolution: In 2018, I want to learn to hold a personal worship every day.

    Determine how many sub-resolutions this will involve by checking them with SMART.

    For example :

    Month 1, sub-resolution : get up every day 20 min earlier + read 1 chapter of my Bible.

    Month 2, sub-resolution : add a 10 min prayer time.

    Month 3, sub-resolution : move to 2 chapters for a month to test if I still have so much fun.

    Month 4, sub-resolution : organize myself to add 5 min to my worship to take notes because I tend to forget what spoke to me the day before.

    So on, until you have found the form of worship that will suit you.

    Tip : At the end of each month, take a small assessment. Evaluate what worked or not and readjust for the next month.

    Finally, do not lose sight of the purpose of your personal worship : to know the Father by spending time in his intimacy to love him more and more.

    And what are your strategies for holding your personal worship ?

    Raphael Charrier

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  • Vous avez pris la résolution de tenir un culte personnel quotidien pour 2018 ? Vous êtes déjà en difficulté et vous demandez comment le tenir ? Avez-vous la bonne stratégie ?

     

    Prendre une grande résolution est important. La vie chrétienne est une vie de résolutions. Celle de tenir son culte personnel doit nous accompagner toute votre vie.

    Vous êtes peut-être nul en discipline personnelle ou vous partez de zéro, ça risque être dur à tenir…

    Pourquoi ? Parce qu’en fait, cette résolution implique plusieurs «sous-résolutions», comme: se lever plus tôt ou rentrer moins tard le soir, arrêter une autre habitude néfaste, lire quotidiennement, prier quotidiennement, écrire, etc.

    L’idée, est donc de découper votre grande résolution en X sous-résolutions qui vous permettront d’arriver à changer progressivement et durablement.

    Si votre grande résolution est l’étage que vous voulez atteindre, les sous-résolutions sont les marches qui vous y conduiront.

    Reformulez votre grande résolution :

    Si vous êtes partis en vous disant : « À partir d’aujourd’hui je veux faire un culte personnel tous les jours », je vous propose de le reformuler ainsi : « Cette année,  je vais apprendre à tenir un culte personnel quotidien. »

    Comment déterminer vos sous-résolutions ?

    Je trouve qu’un moyen simple d’y arriver est de travailler avec l’outil SMART, utilisé dans beaucoup de domaines.

    SMART est un acronyme qui aide à déterminer des objectifs intermédiaires :

    S : Simple

    Votre sous-résolution doit être claire, précise. Elle ne peut pas être divisée en d’autre sous-objectifs.

    Par exemple : lire tous les jours la Bible. Simple et précis.

    M : Mesurable

    Votre sous-résolution doit vous permettre de savoir si vous aurez atteint ou non le but, qualitativement ou quantitativement. Par exemple : lire tous les jours 1 chapitre de la Bible.

    A : Approprié

    Vous devez vous assurer que votre sous-résolution est appropriée pour vous. Pas trop ambitieuse, mais qui vous challenge.

    Est-ce que cela représente un vrai défi ? Est-ce que cela est atteignable ? Est-ce que je ne me mets pas en échec ? Est-ce assez motivant ?

    R : Réaliste

    Avez-vous les moyens réels de tenir la lecture d’1 chapitre par jour (l’emploi du temps, le rythme de vie, l’énergie) pour tenir cette sous-résolution ?

    T : Temporellement défini

    Fixer une durée permet de vous encourager. Exemple : lire 1 chapitre de ma Bible, tous les matins et pendant un mois.

    Concrètement, qu’est-ce que cela va donner ?

    Vous avez fixé votre grande résolution : En 2018, je veux apprendre à tenir un culte personnel tous les jours.

    Déterminez combien de sous-résolutions cela va impliquer en les vérifiant avec SMART.

    Par exemple :

    Mois 1, sous-résolution: me lever tous les jours 20 min plus tôt + lire 1 chapitre de ma Bible.

    Mois 2, sous-résolution: ajouter un temps de prière de 10 min.

    Mois 3, sous-résolution: passer à 2 chapitres pendant un mois pour tester si j’ai toujours autant de plaisir.

    Mois 4, sous-résolution: m’organiser pour ajouter 5 min à mon culte pour prendre des notes car j’ai tendance à oublier ce qui m’a parlé la veille.

    Ainsi de suite, jusqu’à ce que vous ayez trouvé la forme de culte qui vous correspondra.

    Conseil : à la fin de chaque mois, faites un petit bilan. Évaluez ce qui a marché ou pas et réajustez pour le mois suivant.

    Enfin, ne perdez pas de vue le but de votre culte personnel: connaître le Père en passant du temps dans son intimité afin de l’aimer de plus en plus.

    Et vous, quelles sont vos stratégies pour tenir votre culte personnel ?

    Raphaël Charrier

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  • D’après le conte « Les trois arbres », conte traditionnel russe : Sur une montagne, trois arbres rêvent. Le premier voudrait devenir un coffre renfermant un immense trésor, le second voudrait être un navire commandé par le plus grand roi de la terre et le dernier voudrait devenir si grand qu’il pourrait toucher le soleil. Un jour, trois bûcherons viennent couper les trois arbres… Ils ne se doutent pas des déceptions et des joies qu’ils vont connaître. Ce conte est proposé pour accompagner le cours de l’année qui va de Noël jusqu’à Pâques ; le premier arbre deviendra le berceau de Jésus et comprendra sa destinée… Il guidera notre de l’Avent. Ce qui arrivera au deuxième et au troisième arbres pourrait être lu dans l’année et avant le Carême, puisque le troisième arbre deviendra la croix. L’écriture poétique du texte et l’intensité du symbolisme sont au service de chaque ambiance pour trouver le chemin qui mène au printemps du cœur. Pour en savoir plus et disposer de visuels : -- Valise de Noël : Trois arbres pour un Prince, version de M. Bazin, illustrations J. d’Abbadie (Ed. Tequi Coll. Les Petits Pâtres) -- Les trois arbres, conte traditionnel illustré par T. Jonke (Centurion) -- Les trois arbres « Voyage au long cœur » J. Humenry (Coll. Mille textes ) -- Les trois arbres, d’après un conte russe E. Noyer (Symétrie) LES TROIS ARBRES De la version de Jean Humenry, Les trois arbres «Voyage au long cœur » collection « Mille textes » « Il était une fois sur une montagne, trois petits arbres qui discutaient de ce qu’ils feraient quand ils seraient devenus grands. Le premier petit arbre émerveillé par les étoiles et la lune disait : « Moi, quand je serai grand, je voudrais qu’on me transforme en coffre à trésor et qu’on me remplisse d’or et de toutes les plus belles pierres précieuses du monde. » Le deuxième petit arbre qui aimait à regarder scintiller sous la lune les eaux claires de la rivière avant qu’elle ne se jette au loin dans les vagues d’écume de la mer disait : « …Je voudrais qu’on me transforme en un formidable trois-mâts… commandé par un vaillant capitaine… et affronter tous les océans du monde. » Le troisième petit arbre se plaisait à regarder les lumières des villages qui brillaient dans les yeux des enfants aux jours de fête : « Moi, quand je serai grand, je voudrais être encore plus grand que grand et tellement grand que chaque fois que l’on me regardera, on sera obligé de lever très haut les yeux et comme cela, on pensera à Dieu »… Le temps s’écoula longtemps au grand sablier de la montagne, au murmure des sources, au clapotis des ruisseaux. Les printemps succédèrent aux hivers, puis laissèrent la place aux étés. Les trois petits arbres avaient changé, pris de la force, de la stature, un tronc vigoureux, des branches et des branchages. Un matin d’automne, des voix résonnèrent sur le sentier. Les oiseaux firent silence… les arbres se mirent à trembler de toutes leurs feuilles… Trois bûcherons s’approchèrent des arbres. Le premier bûcheron regardant le premier arbre le déclara parfait et à grands coups de hache le fit tomber sur le sentier. Le deuxième bûcheron voyant le deuxième arbre le trouva vigoureux et à grands coups de hache le coucha sur le sol boueux. Le troisième bûcheron se chargea du troisième arbre et à grands coups de hache il le fit culbuter dans l’allée. Les trois arbres gisaient maintenant sur le flanc de la montagne. Chacun sous son écorce imaginait la suite de son destin. Le premier arbre allait enfin pourvoir vivre le rêve de sa vie. Il se retrouverait bientôt dans la bonne odeur de colle et de copeaux de bois de l’atelier du menuisier. Mais il ne savait pas encore que dans les commandes du jour ne figurait pas le moindre coffre à trésor… mais seulement des mangeoires pour les animaux… Après deux jours et deux nuits de voyage, le deuxième arbre allait enfin se retrouver sur les galets gris du chantier naval. Les cris aigus des mouettes lui tournaient déjà la tête. Il ne pouvait pas encore se douter de la mauvaise surprise qu l’attendait…Pas un seul armateur n’avait passé commande pour un trois-mâts…Seul un pêcheur avait passé commande pour une petite barque de pêche… Quand au troisième arbre qui n’était plus que désespoir, on le débita en poutres qu’on mit à sécher le long d’un mur chez un charpentier. Beaucoup de mois, beaucoup d’années passèrent sur les rêves détruits des trois arbres. Beaucoup d’insectes dans leur bois, beaucoup d’araignées, beaucoup de poussières, beaucoup de désespérance… Les arbres avaient fini par oublier leurs rêves. Ils avaient cicatrisé. Ils s’étaient installés dans les torpeurs de l’habitude. Ils n’attendaient plus rien… Le premier arbre, devenu mangeoire, ne sentait même plus la caresse des animaux tirant sur le foin…Quand une nuit d’hiver, la douce lumière d’une étoile se posa sur lui. Un jeune homme et une jeune femme vinrent s’abriter dans l’étable. Au milieu de la nuit, la jeune femme mit au monde un bébé que l’homme coucha dans la mangeoire. Ainsi le premier arbre comprit que son rêve se réalisait. Encore bien des coups de vent, des jours de pluie, des hivers glacés passèrent sur les rives du lac où le deuxième arbre devenu petite barque de pêcheur pourrissait lentement dans une mauvaise odeur de poisson… Lorsqu’un soir d’été, un groupe d’hommes voulut traverser le lac : ils embarquèrent et soudain, au milieu du lac, une tempête se leva comme on n’en avait jamais vu. L’homme qui semblait être le chef se leva dans la barque, tendit les bras et calma la tempête. Ainsi le second arbre comprit que son rêve se réalisait. Peu de temps après cet événement, la ville se mit à résonner d’une étrange rumeur : les gens étaient énervés, on entendait des cris, des bottes de soldats, ça sentait la violence, la vengeance, l’injustice… Des hommes vinrent tirer de son hangar et de sa torpeur le troisième arbre transformé en poutres… Ils mirent ses poutres en croix, et sur cette croix ils clouèrent le Fils de l’Homme. Le troisième arbre sut alors que son rêve se réalisait puisque désormais chaque fois qu’on le regarderait, on penserait à Dieu.

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  • In 2017, the Protestants and the Christiansinterdenominationels of the whole worldcelebrate the 500ème birthday of the ProtestantReform. Today, most of the Christians are thespiritual descendants of the Protestant Reform. This event orchestrated by God was one oflargest - if it is not the largest any more spiritualalarm clock of all the Christian history.

    To celebrate this great spiritual movementenergized by the Holy Spirit, we start a series of posts on the Reform. We will see there thebroad outlines of the life of Martin Luther, ofJean Calvin, but also Solas and many othersubjects. Thus let us start with the beginningby asking three questions (Re) to familiarize itself with Protestantism.


    What the Protestant Reform?

    What one calls the Reform or Protestantismis a Christian movement having begun at the16th century within the Roman Catholic church. The initiator of the Protestant Reform wasMartin Luther then an Augustinian monk,professor and Catholic theologist in Germany.

    Luther did not wish to found a new movement,but rather to reform the Roman Catholic churchbibliquement. However, It was not accepted byits pairs in spite of its attachment with thehealthy doctrines, and, the Pope sought to make it burn with roughing-hew.

    However, God had decided some differently,and It providentially kept Luther to found theProtestant religion with good of other brothersas a Christ in Europe. We will see that theseincredible adventures, including thesequestration of Luther, will lead thereformers to translate the Word of God in thepopular languages, thus making shine theBible in the heart of the men in Europe.


    Which were the main actors of the Reform inEurope?

    At the beginning of the 17th century, the pillarsof the Protestant Reform carried out their workin Europe of the North-West. Pasteur Martin Luther downtown various of Germany, Ulrich Zwingli in Switzerland in Zurich, and France,Martin Bucer in Strasbourg and later Jean Calvin in Paris, as in Geneva in Switzerlandwhen it had to flee persecution.
     

    Ultimement, it is by the Holy Spirit that theChurch was reformed and that the light of theGospel of Christ shone again

     
    In Switzerland always, Pasteur Zwingli in addition sought to unify the Protestants bydiffusing the document of faith called the FirstSwiss Confession. He wrote also the SwissConfession Posterior, recognized in 1566 bymost Swiss reformed churches, and acceptedin Scotland, in Hungary, in Poland, and in theNetherlands.
     
    Pasteur John Knox was also a large reformer to spread the Calvinism in Scotland. Ultimement,it is by the Holy Spirit that the Church was reformed and that the light of the Gospel ofChrist shone again in these dark times to savethe hearts lost in all Europe and even to theborders of the ground on other continents.


    From which does the name come fromProtestant?

    The protesting word was initially used like agibe by the adversaries of the Reformsuggested by Luther in Germany then under thereign of the emperor Charles Quint. This last,which had firstly let the Reform exist for a time,was turned over then against the Protestantprinces to require their immediate rallyingwith the Catholic church.
     
    However, according to the archives of the PlainProtestant Church of France, the princesrefuse there, they protest in front of God [...]as in front of all the men of their refusal to admit a decree which they consider contrarywith God, with his holy Word, [their] clear conscience and the hello of [their] heart. [1] Itis in this context of confrontation that was bornthe title from the Protestant princes.
     
    However, the protesting word ofLatin protestare originally meant to profess ortestify to its faith. Indeed, the Protestantsrisked their life to testify to the truth and theauthority of the Bible, as well as safety only bythe faith in work rédemptrice of Jésus Christ. The Protestants are thus witnesses of Jésus Christ! All Christian truths are thus Protestants.
     

    All the Protestant woman-evangelic andevangelic churches in the world are downwardspiritual Reform

     
    Today, Protestantism in the broad sensegathers mainly the following confessions offaith: reformed churches, the Presbyterianones, Lutherans, Baptists, Anglicans,épiscopaliens and the Methodist ones. Moreover, all the Protestant woman-evangelicand evangelic churches in the world aredownward spiritual Reform.
     
    While learning from the Protestant Reform wethus learn who were our back spiritualgrandparents as a Jésus Christ, and how theGospel of our invaluable Saver and Lord was again proclaimed in all Its glory in Europe thenunder the tyranny of the Pope and the Catholicheresies.
     
    It is a task which the Lord asks us to undertakein the Word and we will see the benefits in ourChristian life of them: Remember your driverswhich announced the word of God to you; consider which was the end of their life, andimitate their faith (Hebrew 13:7). To know thelife and the theology of the teachers that Godgave has the Church is a great blessing(Éphésiens 4:11 - 13).
     
    It is thus 500 years ago in this year 2017 whichthe Protestant Reform began during one daywhich was to however be like the differentones In the next article we will see that itwas the day when 95 theses (or declarations)were nailed on the door of a church at the finebottom of Germany


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  • At the school of the Holy Spirit there is much to learn. Some lessons are more difficult than others, but are almost always the most valuable. Most of God's children have not yet learned the lesson that we are dealing with today ; It is not easy but, as soon as it is put into practice, it gives excellent results.

    Here is the text which reveals to us a mystery hidden in the Holy Scriptures :

    Give thanks continually for all things to God the Father in the name of our Lord Jesus Christ (Ephesians 5:20).

    "Give thanks for all things to God continually"

    How easy it is to thank and praise the Lord for the happy events of our life ! For the wonderful prayers, for the divine grace for our material needs, for the refreshing blessings, such as the spring rain on the altered soil, the glorious spiritual experiences and the daily proofs of God's goodness and faithfulness . But things change when it comes to praising him for trials, sicknesses, losses, setbacks, and for all that is of nature and displeasing us. However, the above verse includes both.

    On the day of the Harvest Festival, a series of meetings began in a certain town. I was led by the Spirit of God to preach, on that evening, on the text already quoted : "To give continually graces for all things to God." There was a woman in the congregation, afflicted with a terrible affection in the eyes of which she had suffered all her life. She was wearing the strongest glasses, but could not read more than five minutes in a row - she always reserved those minutes for the study of the Bible - after which she had to stop because her eyes burned as if they had been applied An incandescent iron. Many preachers had prayed for her without any visible result.

    One morning she remembered my preaching about the power of praise. She began to pray : "Lord, I thank you for all my suffering caused by this eye disease." She was still on her knees when suddenly the power of God descended on her and she was instantly and forever cured of this painful and painful affection.

    Through practical obedience to the divine exhortation : "Give thanks continually for all things to God the Father," she obtained deliverance. M. N. no longer needed glasses, she could read the smallest characters without pain and trouble for hours. In response to thanksgiving and praise, God had granted a perfect healing. Where prayer fails in appearance, it is praise that obtains success. Besides, is praise not the highest expression of faith which is pleasing to God ? Is God not constrained, in a way, to honor such faith ?

    Praise does not replace prayer, it is rather the support. The proportion between prayer and thanksgiving is found in the Psalms. We read : "In the evening, in the morning and at noon I sigh and I groan and he will hear my voice" (Psalm 55:18). David thus declares his decision to pray three times a day. How many Christians still think it is enough to pray only once during the day !

    "Seven times a day I praise thee for the laws of thy righteousness" (Psalm 119: 164). It is here that we find ourselves on what scale God measures praise and praise : More than twice praise than prayer ! Have we not, for the most part, inverted these propositions and prayed twice as much as we praise the Lord ?

    I was kneeling in prayer lately, and I seemed to hear the divine voice : If my people could praise me better, they would have less prayer requests to present. That would be a good principle. If we praised Him more, God could work in such a way that He would meet our needs even before we had exposed Him to Him.

    Many Christians are always beginning to pray for the same subjects without ever seeing each other. They turn away, discouraged, because they have lost faith. If you are precisely in this state, friend reader, thank God, for he wants to tell you yet another way. Begin to praise him for the unpleasant situation in which you find yourself and for which you would like to go out so much. Praise him precisely for what oppresses you and makes you suffer and wait for him because he will intervene wonderfully and prepare a miraculous issue that will plunge you into admiration.

    A missionary, on a station in China, was infected with smallpox, the scourge so dreaded in East Asia. At the moment when her end was near, God gave her a vision: She saw an immense balance, the trays of which were replaced by two large baskets; On one of them was written : "Prayers" and on the other : "Praise". She noticed that the basket of praises was at the top, while the prayers touched the ground. There had been much intercession for her recovery, but she was apparently always worse. She then appealed to the missionaries of the station and asked them to praise and thank the Lord with all their heart. Her friends thought she was delirious and that her end was approaching. However, they all began to praise God.

    The vision appeared again to this missionary and she saw the basket of praises descend slowly. She immediately exclaimed : "My friends, fill the basket with praise!" The assistants continued to bring up to God their accents of gratitude and adoration, until, for the third time, the vision appeared to the sick man. As the basket came all the way down, the power of God came upon the missionary and she was instantly cured of this terrible evil.

    Shortly afterwards, she dressed, went down to the street where she preached for half an hour, without feeling the least discomfort. Praise in common had attracted the power of God and made all traces of disease disappear from his body.

    Miss S., through her consecration and devotion to the Lord's cause, was an instrument chosen by him for the ministry of preaching and that of Christian literature; She was in great blessing to her fellows.

    She had just organized a series of lectures in a certain town, when suddenly she was the victim of an accident and had to be escorted back to her home in great suffering. In his house remained a convinced atheist who, while admiring the depth of his thoughts, nevertheless rejected the Gospel preaching. He was present when she was taken home and offered to call a doctor and pay the fees himself. She kindly declined his offer and let her understand that she had a private doctor. As he insisted on knowing his name, she replied without fear: His name is "Jesus Christ". Angry at his answer, he left and went to discuss the matter with one of his friends.

    While lying on her bed, she was struggling with the most terrible sufferings, the Lord said to her : "Give thanks at all times for all things !". After a brief internal struggle, she obeyed and began to praise the Lord for her sufferings and to thank him for allowing this accident at a time that seemed so inopportune. Whilst from his heart were accents of gratitude and thanksgiving ; The Spirit of God go on her, and she felt a hand resting on the painful places of her bruised body. At that very moment, all suffering disappeared and the swelling began to diminish visibly. She got up and thanked the Lord for the healing he had just given her.

    Soon after, the neighbor of Miss S. entered and was amazed to find her completely cured and filled with unspeakable joy. He asked what had happened.

    "I have just had the visit of my private doctor," she replied, "and he has put me on foot again."

    The atheist was so impressed with this testimony that he withdrew to his home and accepted Christ in his life. He related his experience to his atheistic friend, and he also gave himself to Christ. At first sight it would have seemed incomprehensible to praise for such an accident, but when it is realized that it was the means of the conversion of two atheists, the incomprehensible word has no place here.

    David cries in Psalm 37, verse 4 : "Make the LORD your delights and he will give you what your heart desires." Our praise and thanksgiving is proof that we make him our delight and that we approve of His plans and His will toward us. Nothing is more agreeable to him than such an inner attitude. Praise wins the victory. Therefore, David declares in Psalm 34: 2 : I will praise the Lord at all times. His praise will always be in my mouth.

    C. S. Tubby

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  • A l'école du saint-Esprit, il y a beaucoup à apprendre. Certaines leçons sont plus difficiles que d'autres, mais se sont presque toujours les plus précieuses. La plupart des enfants de Dieu n'ont pas encore appris la leçon qui nous occupe aujourd'hui ; elle n'est pas facile mais, aussitôt mise en pratique, elle donne d'excellents résultats.

    En voici le texte qui nous révèle un mystère caché dans les Saintes Écritures :

    Rendez continuellement grâces pour toutes choses à Dieu le Père, au nom de notre Seigneur Jésus-Christ (Éphésiens 5 : 20).

    "Rendez continuellement grâces pour toutes choses à Dieu"

    Combien il est facile de remercier et de louer le Seigneur pour les événements heureux de notre vie ! Pour les merveilleux exaucements de prières, pour la grâce divine pourvoyant à nos besoins matériels, pour les bénédictions rafraîchissantes, telles les ondées du printemps sur le sol altéré, pour les glorieuses expériences spirituelles et les preuves quotidiennes de la bonté et de la fidélité de Dieu. Mais les choses changent, quand il s'agit de le louer pour les épreuves, les maladies, les pertes, les revers et pour tout ce qui est de nature et nous déplaire. Cependant, le verset ci-dessus inclut l'un et l'autre.

    Le jour de la Fête des moissons, une série de réunions commença dans une certaine ville. Je fut conduit par l'Esprit de Dieu à prêcher, ce soir-là, sur le texte déjà cité : "Donner continuellement grâces pour toutes choses à Dieu". Il se trouvait, dans l'assemblée, une femme atteinte d'une terrible affection aux yeux dont elle avait souffert toute sa vie. Elle portait les plus fortes lunettes qui soient, mais ne pouvait lire plus de cinq minutes de file - elle réservait toujours ces minutes à l'étude de la Bible - après quoi, elle devais cesser car ses yeux lui brûlaient comme si on leur avait appliqué un fer incandescent. Bien des prédicateurs avaient prié pour elle sans résultat visible.

    Un matin, elle se souvint de ma prédication sur la puissance de la louange. Elle se mit à prier : "Seigneur, je te remercie de toutes mes souffrances que m'occasionne cette maladie des yeux". Elle était encore à genoux quand, soudain, la puissance de Dieu descendit sur elle et elle fut guérie instantanément et pour toujours de cette pénible et douloureuse affection.

    Par l'obéissance pratique à l'exhortation divine : "Rendez continuellement grâces pour toutes choses à Dieu le Père", elle obtint la délivrance. M. N. n'eut plus besoin de lunettes, elle put lire sans douleur et sans difficulté les plus petits caractères pendant des heures. En réponse à l'action de grâce et à la louange, Dieu avait accordé une parfaite guérison. Là où la prière échoue en apparence, c'est la louange qui obtient le succès. Au reste, la louange n'est-elle pas l'expression la plus élevée de la foi qui est agréable à Dieu ? Dieu n'est-il pas contraint, en quelque sorte, d'honorer une telle foi ?

    La louange ne remplace nullement la prière, elle en est plutôt le soutien. La proportion entre la prière et l'action de grâce se trouve dans les Psaumes. Nous y lisons : "Le soir, le matin et à midi je soupire et je gémis et il entendra ma voix" (Psaume 55 : 18). David déclare ainsi sa décision de prier trois fois par jour. Combien de chrétiens pensent encore qu'il est suffisant de prier une seule fois dans la journée !

    "Sept fois par jour je te célèbre à causes des lois de ta justice" (Psaume 119 : 164). C'est ici que nous nous trouvons à quelle échelle Dieu mesure la louange et la prière : Plus du double de louange que de prière ! N'avons-nous pas, pour la plupart, interverti ces propositions et ne prions-nous pas deux fois plus que nous ne louons le Seigneur ?

    J'étais agenouillé en prière dernièrement et, il me semblait entendre la voix divine : Si mon peuple savait mieux me louer, il aurait moins de requêtes de prière à présenter. Voilà qui serait un bon principe. Si nous le louions davantage, Dieu pourrait œuvrer de telle manière, qu'il répondrait à nos besoins avant même que nous les lui ayons exposés.

    Nombreux sont les chrétiens qui recommencent toujours à prier pour les mêmes sujets, sans se voir jamais exaucés. Ils se détournent finalement, découragés, parce qu'il ont perdu la foi. Si tu te trouves précisément dans cet état, ami lecteur, remercie Dieu, car il veut t'indiquer encore un autre chemin. Commence à le louer pour la situation désagréable dans laquelle tu te trouves et dont tu voudrais tellement sortir. Loue-le justement pour ce qui t'oppresse et te fait souffrir et attends-toi à lui car il interviendra merveilleusement et préparera une issue miraculeuse qui te plongera dans l'admiration.

    Une missionnaire, sur une station en Chine, se trouvait atteinte de petite vérole, le fléau si redouté en Asie orientale. Au moment où sa fin paraissait proche, Dieu lui donna une vision : Elle vit une immense balance dont les plateaux étaient remplacés par deux grandes corbeilles ; sur l'une d'elles était écrit : "Prières" et sur l'autre : "Louanges". Elle remarqua que la corbeille des louanges se trouvait tout en haut, tandis que celles des prières touchait le sol. On avait beaucoup intercédé pour son rétablissement, mais elle allais apparemment toujours plus mal. Elle fit alors appel aux missionnaires de la station et leur demanda de louer et de remercier le Seigneur de tout leur cœur. Ses amis pensèrent qu'elle délirait et que sa fin approchait. Cependant, ils se mirent tous ensemble à louer Dieu.

    La vision apparu à nouveau à cette missionnaire et elle vit la corbeille des louanges descendre lentement. Elle s'écria aussitôt : "Mes amis, remplissez complètement la corbeille de louanges !" Les assistants continuèrent à faire monter à Dieu leur accents de reconnaissance et d'adoration, jusqu'à ce que, pour la troisième fois, la vision apparut à la malade. Au moment où la corbeille arriva tout en bas, la puissance de Dieu vint sur la missionnaire et elle fut instantanément guérie de ce terrible mal.

    Peu après, elle se vêtit, descendit dans la rue où elle prêcha pendant une demi-heure, sans ressentir le moindre malaise. La louange en commun avait attiré la puissance de Dieu et fait disparaître de son corps toutes traces de maladie.

    Mlle S. par sa consécration et son dévouement à la cause du Seigneur, fut un instrument choisi par lui pour le ministère de la prédication et celui de la littérature chrétienne ; elle fut en grande bénédiction à ses semblables.

    Elle venait d'organiser une série de conférences dans une certaine ville, quand, subitement, elle fut victime d'un accident et dut être reconduite chez elle en proie à de grandes souffrances. Dans sa maison demeurait un athée convaincu qui, en admirant la profondeur de pensées de cette chrétienne, n'en rejetait pas moins la prédication évangélique. Il était présent lorsqu'on la ramena chez elle et lui offrit d'appeler un médecin et d'en payer lui-même les honoraires. Elle déclina aimablement son offre et lui laissa entendre qu'elle avait un docteur privé. Comme il insistait pour savoir son nom, elle répondit sans crainte : Son nom est "Jésus Christ". Fâché de sa réponse, il partit et alla discuter de la chose avec un de ses amis.

    Tandis qu'allongée sur son lit, elle était aux prises avec les plus terribles souffrances, le Seigneur lui dit : "Rendez grâces en tout temps pour toutes choses !". Après un bref combat intérieur, elle obéit et commença à louer le Seigneur pour ses souffrances et à le remercier d'avoir permis cet accident à un moment qui lui semblait si inopportun. Tandis que, de son cœur, s'élevaient des accents de reconnaissance et d'actions de grâces ; l'Esprit de Dieu vont sur elle, et elle sentit une main se poser sur les endroits douloureux de son corps meurtri. À l'instant même, toute souffrance disparut et l'enflure se mit à diminuer à vue d’œil. Elle se leva et remercia le Seigneur de la guérison qu'il venait de lui accorder.

    Peu après, le voisin de Mlle S. entra et fut stupéfait de la trouver entièrement guérie et remplie d'une joie indicible. Il demanda ce qu'il était arrivé.

    - Je viens d'avoir la visite de mon docteur privé, répondit-elle et il m'a remise sur pied.

    L'athée fut tellement saisi de ce témoignage qu'il se retira chez lui et accepta Christ dans sa vie. Il raconta son expérience à son ami athée, et celui-ci se donna également à Christ. Au premier abord, il eût parut incompréhensible de louer pour un tel accident, mais quand on réalise qu'il a été le moyen de la conversion de deux athées, le mot incompréhensible n'a plus sa place ici.

    David s'écrie au Psaume 37, verset 4 : "Fais de l'Éternel tes délices et il te donnera ce que ton cœur désire". Nos louanges et nos actions de grâces sont la preuve que nous faisons de lui nos délices et que nous approuvons ses plans et sa volonté à notre égard. Rien ne lui est plus agréable qu'une telle attitude intérieure. La louange remporte la victoire. C'est pourquoi, David déclare au Psaume 34 : 2 : Je louerai le Seigneur en tout temps. Sa louange sera toujours dans ma bouche.

    C. S. Tubby

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  • Pourquoi Jésus ne se montre-t-il pas ?

     

    On entend parfois cette réflexion de la part d’incrédules : « Si Jésus existe vraiment, pourquoi ne se montre-t-il pas ? »

    Sur le plan historique, nul ne peut nier que Jésus ait existé. De nombreuses preuves ont été faites et il est inutile de revenir sur ce point. La venue de Jésus Christ sur terre est si réelle et a une telle importance que notre calendrier même est basé sur sa date de naissance ! En plus des quatre Évangiles, les écrits des historiens sont suffisamment nombreux pour confirmer que Jésus a existé.

    Ce qui est encore moins accepté, ce n’est pas tant son existence (sa naissance, sa vie et sa mort), mais sa résurrection. Oui, Jésus est ressuscité. Il est maintenant vivant, mais malgré les nombreuses preuves que nous ne pouvons pas énumérer ici, combien d’incrédules y a-t-il encore ? Et pour expliquer cette incrédulité, des excuses sont formulées  telles que : « Si Jésus existe vraiment, pourquoi ne se manifeste-t-il pas ? »

    Je désire répondre à ceux et celles qui se posent cette question :

    N’oubliez pas, cher(e) ami(e), que Jésus s’est manifesté une fois : Il y a un peu plus de 2000 ans, il est venu du ciel sous la forme d’un homme pour révéler et prouver son amour, l’amour de Dieu. Quel mystère : Dieu manifesté en chair ! Comment l’humanité l’a-t-il reçu, lui qui fit tant de bien sur la terre, manifestant partout où il passait sa puissance divine et son amour infini ? Il a été moqué, injurié, maltraité, rejeté, puis crucifié... et vous oseriez lui reprocher qu’il ne se manifeste pas ? Vous faites comme les pharisiens de son époque qui osaient lui demander un signe alors qu’il venait d’accomplir tant de miracles ! A ceux-ci, Jésus répondit : « Il ne sera pas donné d’autre signe que celui de Jonas » (Matthieu 12 v.39-40). De qui nous parle Jonas qui a été trois jours et trois nuits dans le ventre d’un poisson puis remis sur la terre, si ce n’est du Seigneur Jésus lui-même qui a été trois jours et trois nuits dans la mort, puis est ressuscité ? Son Oeuvre à la croix est parfaitement accomplie une fois pour toutes (Romains 6 v.10 – Hébreux 10 v.10) et il n’a pas à y revenir. Allez-vous rester plus longtemps incrédule ?

    A Thomas qui ne voulait pas croire sans avoir vu, Jésus dit : « Parce que tu as vu, tu as cru. Bienheureux ceux qui n’ont pas vu et qui ont cru. » (Jean 20 v.28)

    Ne voulez-vous pas faire partie de ces bienheureux ?

    Un jour, Jésus se manifestera de nouveau et tout le monde le verra (Apocalypse 1 v.7) mais ce sera, à ce moment-là, « pour punir ceux qui ne connaissent pas Dieu, et ceux qui n’obéissent pas à l’évangile de notre Seigneur Jésus Christ. Ils subiront la peine d’une ruine éternelle, loin de la présence du Seigneur... » (2 Thessaloniciens 1 v.8-9)

    N’attendez donc pas de Le voir pour croire ! Il veut vous sauver maintenant. Quand vous Le verrez, il sera trop tard, Il sera votre Juge alors que maintenant Il veut être votre Sauveur.

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  • L' ennemi public n°1

     

    Connaissez-vous l’ennemi public n°1, celui qui veut la mort de tout être humain ? Il est le meurtrier dès le commencement. Rusé comme pas un, il attire ses proies par le mensonge, leur faisant croire au bonheur, à la prospérité, à la réussite... alors qu’aucun bonheur n’est possible sur terre tant qu’il ne sera pas arrêté.

    Sa première victime a été une femme qu’il a attirée par la ruse. Cet affreux menteur lui a promis des choses extraordinaires et, par la séduction, la tentation et la convoitise, il a réussi à lui injecter un venin mortel qui se transmet sur toute sa descendance, de génération en génération. 

    Contre lui devrait se former la ligue universelle de ceux qui veulent vivre. Rien ne parait plus triste, dans ce monde, que l’abdication des hommes devant leur ennemi. Ni les fausses religions et leurs rites si vides, ni l’irréligion et ses stupides plaisanteries, ni les philosophes, ni les savants, ni même les anarchistes ne semblent voir que la clé du bonheur est là : détruire l’Assassin ! On a bien arrêté des tueurs, des chefs d’organisations terroristes qui font des milliers de morts, mais de cet ennemi public n°1, le monde ne s’en soucie guère. Beaucoup l’ignorent et vont jusqu’à prétendre qu’il n’existe pas alors qu’ils savent qu’un jour ou l’autre ils en seront les victimes. Alors, qu’est-ce que la vie, je vous le demande et à quoi bon se passionner pour le progrès, pour la justice, pour des idées, puisque, tout à l’heure, il nous faudra aussi expirer et descendre dans une fosse, accompagnés par les larmes impuissantes de nos bien-aimés qui, eux aussi, seront victimes de l’ennemi public n°1 ?

    Et voilà pourquoi je suis chrétien, dans le seul sens où ce mot doit être pris, c’est-à-dire : disciple de Jésus-Christ. Lui est le seul ayant osé affronter et vaincre ce grand ennemi. Il a résisté à toutes ses tentations et quand il est entré dans la mort, cet ennemi cruel a dû ricaner, pensant avoir réussi son coup comme il réussit pour chaque être humain, mais c’est lui qui a été vaincu ! En effet, Celui qu’il croyait être sa victime est sorti victorieux la mort, la mort dans laquelle il est entré justement pour nous en délivrer.

    Ce grand Vainqueur de l’ennemi public n°1 peut donc maintenant nous promettre qu’un jour, bientôt, la Mort ne sera plus (Apocalypse 21 v.4) et il donne, dès maintenant, la vie éternelle à tous ceux qui lui font pleine confiance. 

    Par sa mort et sa résurrection, Jésus Christ rend impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort (Hébreux 2 v.14). L’ennemi public n°1 ainsi que le monde dont il est le prince est inexorablement condamné, et si la patience de Dieu se prolonge à son égard, c’est pour que la bonne nouvelle de Jésus Christ, le grand Vainqueur, continue d’être annoncée pour le salut de tous ceux qui croient.

    Connaissez-vous le nom de cet ennemi public n°1, ce meurtrier et père du mensonge auquel ne croient plus ceux qui sont ses victimes : triomphe de son habileté ! C’est Satan, le diable, et le venin qu’il a injecté à toute l’humanité s’appelle le péché qui mène à la mort. « Car le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don de grâce de Dieu, c’est la vie éternelle dans le Christ Jésus, notre Seigneur », le Grand Vainqueur (Romains 6 v.23)

    Vous tous qui portez aux cimetières des fleurs accompagnées de vos pleurs, de vos regrets, de votre révolte peut-être, levez la tête ! Ne vous résignez pas au fatalisme, ne prenez pas votre parti de la mort. N’abdiquez pas devant elle. Ne dites pas : « C’est l’irréparable, l’inévitable, l’ultime défaite qu’il faut accepter. » 

    Non, non ! Levez vos yeux vers le Christ : Celui qui est maintenant élevé au plus haut des cieux a vaincu, à la croix, la mort et celui qui en avait le pouvoir, le diable. Un jour, il tirera tous les morts de leurs sépulcres. Ah ! Pour que votre corps ressuscite en gloire et pour que vous connaissiez la Vie, la vraie vie, la vie éternelle, acceptez aujourd’hui et croyez en Jésus le puissant Vainqueur qui veut être votre Sauveur.

     

    « Qui croit au Fils (de Dieu) a la vie éternelle » 

    (Jean 3 v.36)

    « Je suis la résurrection et la vie, vous dit-il ;

    celui qui croit en moi, même s'il meurt, vivra ; 

    et quiconque vit, et croit en moi, ne mourra jamais.

    Crois-tu cela ? » 

    (Jean 11 v.25-26) 

     

     

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  • Krismasi, siku ya kumbukumbu

       

    Krismasi, wakati random

    Lakini hasa siku ya kumbukumbu

    Krismasi, wakati mbali

    Kukumbuka kuamini katika:

    Yesu

    Ulioshuka kwa wokovu wetu.

    yeye alikuja

    mtoto mdogo

    Kutuokoa kwa unyenyekevu

    sisi kuonyesha

    Kiasi gani tunapendwa

    Krismasi siku ya furaha

    Kwa wale ambao wanaamini

    Krismasi, matumaini

    Kwa wale bado wakihangaika

    Krismasi ni amani na kugawana

    Kuleta kodi yetu

    Kwa huyo aliyefanya hivyo kiasi

    Krismasi ni kuungana

    kukumbuka

    kuishangilia

    kwa kicheko

    Krismasi siku ya furaha

    Kufufua imani

    Krismasi, shukrani

    Kwa ajili ya zawadi hii kubwa

    Krismasi, wakati ambapo sisi ni inafanyika

    wakati tunakumbuka

    Inayotolewa na maajabu yote Bwana

    Krismasi ni kuacha,

    Kuchukua muda wa kusherehekea

    Nini ni muhimu:

    Kuangalia skyward.

    merry Krismasi

    Ni nia yetu

    Kwa sababu kile anataka

     Ni tuwe na furaha.

     

    Michel Sommer

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