• Vendredi 20 Septembre 2024

    As-tu pris des engagements ?

    Luc 16.10 – Celui qui est fidèle dans les moindres choses l’est aussi dans les grandes, et celui qui est injuste dans les moindres choses l’est aussi dans les grandes.

    Tout d’abord, il est important de comprendre ce qu’est un engagement. J’ai donc cherché la définition de ce mot qui semble de plus en plus inconnu et particulièrement du peuple de Dieu. Voici donc celle-ci : « Action de se lier par une promesse ou une convention. Respecter ses engagements. (Larousse) » Dans la Parole de Dieu : lien, obligation.

    Donc, cela veut dire que lorsque nous prenons un engagement, nous sommes liés par notre parole et nous sommes censés respecter la parole donnée. Malheureusement, au sein même du peuple de Dieu, la parole donnée n’a, pour beaucoup d’enfants de Dieu, aucune valeur. En effet, des enfants de Dieu s’engagent pour un service au sein de leur communauté, association, ou autre et une fois la parole donnée, il n’y a plus personne.

    D’autres, quant à eux, entendent d’un seul coup Dieu leur dire de s’engager dans quelque chose. Ils ne se désengagent pas de leur précédent engagement et ils commencent à œuvrer ailleurs en ne respectant plus leurs premiers engagements. Ces personnes se leurrent elles-mêmes ou mentent car Dieu ne vous demandera jamais de vous engager dans quelque chose au détriment d’un autre engagement. Soit, il vous dira de vous dégager, soit vous aurez la possibilité d’honorer vos deux engagements.

    Le respect de nos engagements est important pour Dieu. D’ailleurs, beaucoup veulent servir Dieu dans ce qu’ils considèrent des grandes choses mais ils sont infidèles dans les petites choses. Ne nous trompons pas, comme le dit notre verset, celui qui est fidèle dans les moindres choses l’est aussi dans les grandes…

    Un engagement non tenu dans le service de Dieu mais également dans notre vie de tous les jours, dépasse de loin notre personne. D’une part, nous sommes en opposition à ce que nous enseigne la Parole de Dieu et d’autre part, notre non-engagement obligera une personne à faire les choses à notre place.

    Je vous prends un exemple. Vous vous engagez à préparer et servir des repas pour les démunis dans votre communauté. Le matin où cela est prévu, « Dieu » vous dit d’aller évangéliser dans la rue. Vous n’allez donc pas préparer le repas pour les démunis. Une personne ou plusieurs devront pallier votre absence et mettre les bouchées doubles pour que le repas soit prêt et servi. Maintenant, imaginez qu’il n’y ait personne pour pallier votre manque. Eh bien, ce sont ces démunis qui n’auront pas de repas. Vous me comprenez ?

    Il est important de réaliser que le non-respect de nos engagements aura toujours des conséquences sur les autres. Dans cette période de l’histoire qui ressemble étrangement à l’époque des Juges où chacun fait ce qui lui plait, soyons différents et notamment par le fait de respecter nos engagements.

    Bonne réflexion.

    Pasteur Corinne

    Source (Centre Apostolique EZ37M) https://centreapostolique.ez37m.com

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  • Jeudi 19 Septembre 2024

    Jésus guérit !

    Matthieu 6.7 et 8 – En priant, ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens, qui s’imaginent qu’à force de paroles ils seront exaucés. Ne leur ressemblez pas...

    Dans le domaine de la prière et spécialement dans celui de la guérison, voici quelques principes qui ont été expérimentés.

    En vertu de notre verset du jour, ne faisons pas de longues prières. Une prière courte, pleine de foi est beaucoup plus efficace. Au plus nous prions longtemps, au plus nous démontrons un manque de foi. L’autorité ne vient pas du nombre de paroles, encore moins de leur éloquence.

    Ensuite, ne croyons pas avoir plus de résultats parce que nous sommes beaucoup à prier. L’Éternel disait à Ézéchiel : « Je cherche parmi eux un homme qui élève un mur, qui se tienne à la brèche devant moi en faveur du pays, afin que je ne le détruise pas ; mais je n’en trouve point. (Ézéchiel 22.30) » Un seul est suffisant dans certaines situations. Le Seigneur renchérit en disant : « Je vous dis encore que, si deux d’entre vous s’accordent sur la terre pour demander une chose quelconque, elle leur sera accordée par mon Père qui est dans les cieux. (Matthieu 18.19) » Donc, à part quelques cas spécifiques, un, deux, éventuellement trois suffisent.

    Si la personne pour qui vous priez ne vous fait pas confiance ou si elle n’est pas persuadée que le Seigneur va agir à travers vous, ne vous attendez pas à beaucoup de résultats. Jésus Lui-même a rencontré ce phénomène à Nazareth, sa ville d’enfance. La familiarité de certains avec les ministères court-circuitera de facto l’intervention de Dieu. Bien sûr, c’est Dieu qui guérit mais si vous n’êtes pas reconnu dans votre onction, la guérison ne se manifestera pas.

    Enfin, et ce n’est pas exhaustif, la foi doit être manifestée. En général par le malade ou un accompagnant : c’est ce que l’on remarque avec les quatre amis du paralytique (Marc 2.1 et suivants). Votre propre domaine de foi est important mais il est secondaire. Quand un aveugle, un boiteux, un lépreux… s’approchait de Jésus, Il leur disait simplement : « Qu’il soit fait selon votre foi ! » Si les personnes ne sont pas guéries, ne doutez pas et persévérez. Le Seigneur vous a donné un mandat : « Guérissez les malades qui s’y trouveront, et dites-leur : « Le royaume de Dieu s’est approché de vous. (Luc 10.9) »

    Nous organisons des rencontres Maison Foi, Prière et Guérison. Nous prierons pour vous ou la personne qui vous tient à cœur, mais si vous ne vous attendez pas à une réponse positive de la part de Dieu, je crains que vous ne veniez pour rien !

    Bonne réflexion.

    Pasteur Claudy

    Source (Centre Apostolique EZ37M) https://centreapostolique.ez37m.com

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  • Mercredi 18 Septembre 2024

    La vie : un cadeau !

    Psaume 90.12 – Enseigne-nous à bien compter nos jours, afin que nous appliquions notre cœur à la sagesse.

    Nous oublions trop souvent que nous ne sommes pas éternels sur cette terre et parfois, nous faisons n’importe quoi de notre vie en consacrant notre temps à des chimères et à poursuite du vent. Ce passage des Écritures nous encourage à réaliser que notre vie est courte et que chaque jour, nous avons besoin de la sagesse de Dieu afin de ne pas faire n’importe quoi de nos heures qui s’écoulent.

    En nous accordant un capital de temps, le Seigneur a fait de nous des gestionnaires de ce temps. L’ennemi n’a de cesse de vouloir nous pousser à gaspiller ce temps si précieux et il faut avouer que parfois, il n’a pas besoin de nous pousser très fort.

    Aussi, en cette journée, je nous invite à réfléchir et à nous poser les bonnes questions. À quoi je passe mon temps ? Suis-je en train de gaspiller le temps qui m’est accordé par Dieu ?

    Dans Éphésiens 5.16, il nous est dit : « Rachetez le temps, car les jours sont mauvais. » Si nous faisons le constat que nous gaspillons notre temps, il n’est pas encore trop tard. Nous pouvons racheter le temps et décider que dès aujourd’hui, nous ne gaspillerons plus notre temps.

    Prions ensemble : « Seigneur, je fais le triste constat que je gaspille le temps que tu m’as accordé. Je te demande pardon. La vie que tu m’accordes est un cadeau. Dès aujourd’hui, je veux utiliser ce temps que tu me donnes sur cette terre d’une bonne façon. Aussi, accorde-moi la sagesse afin de bien utiliser ce temps, de ne pas poursuivre des chimères mais d’entrer véritablement dans le pourquoi tu m’as créé. J’ai prié au nom de Jésus. »

    Pasteur Corinne

    Source (Centre Apostolique EZ37M) https://centreapostolique.ez37m.com

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  • Mardi 17 Septembre 2024

    Moi je suis soumis au Saint-Esprit !

    Galates 5.16 – Je dis donc : Marchez selon l’Esprit, et vous n’accomplirez pas les désirs de la chair.

    Nous lisions récemment l’enseignement d’un prophète sur : « Les esprits des prophètes est soumis aux prophètes. (1 Corinthiens 14.32) » Il disait que l’ordre de Dieu n’est pas l’ordre humain et que lui était soumis au Saint-Esprit.

    De plus en plus d’enfants de Dieu font la proclamation qui fait notre titre. Elle peut sembler louable mais, si nous creusons un peu, il semble que cela soit plus une déclaration d’indépendance envers toute forme d’autorité. En fait, cela veut souvent dire : je n’ai pas à être soumis à qui que ce soit sinon qu’au Saint-Esprit.

    De ce fait, nous avons beaucoup de difficultés à croire que ces personnes soient réellement sous la conduite de l’Esprit. En effet, ce cher Consolateur a un profond respect pour la Parole de Dieu, d’ailleurs Il en est l’Inspirateur. Il est aussi Celui qui prend de ce qui est à Christ et qui nous l’annonce (Jean 16.14). Un regard sur la vie de Jésus est toujours salutaire pour discerner ce qui est la vérité. Apocalypse 19.10 nous dit encore : « Car le témoignage de Jésus est l’esprit de la prophétie. ». Quel est le témoignage que Jésus nous a laissé ?

    Tout jeune enfant, Il était soumis à ses parents (Luc 2.51), c’est pour cette raison qu’au verset suivant, il est dit : « Et Jésus croissait en sagesse, en stature, et en grâce, devant Dieu et devant les hommes. » Dans son ministère, Il était pleinement soumis au Père, au point qu’Il ne faisait et ne disait que ce que le Père lui dictait de faire ou de dire. Matthieu 17 24 à 27 nous explique aussi que Jésus s’est plié à un paiement « d’impôt » alors que normalement, Il en était exempt. Son but était de ne pas scandaliser.

    « C’est ainsi que le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs. (Matthieu 20.28) » En se positionnant en serviteur, Jésus a pleinement accepté d’avoir un statut d’obéissance.

    Tout ceci pour dire que si nous sommes conduits par le Saint-Esprit, Il va de facto nous conduire à la soumission aux Écritures, au respect du principe d’autorité contenu dans la Parole écrite (Par exemple Romains 13) et qu’Il va nous enseigner le chemin de l’humilité bien souvent en nous mettant dans une position de serviteur.

    Nous mettons particulièrement en garde ceux qui se revendiquent du Saint-Esprit et qui rejettent toute forme d’autorité. Vous ne savez pas quel esprit vous anime car n’oublions pas qu’il nous faut éprouver les esprits (1 Jean 4.1). Vous pouvez à tout moment être trompés par de faux raisonnements car l’amour de la vérité passe obligatoirement par le respect pour la lettre d’amour que le Saint-Esprit nous a communiquée et que l’on appelle : la Bible.

    Bonne réflexion.

    Pasteur Claudy

    Source (Centre Apostolique EZ37M) https://centreapostolique.ez37m.com

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  • Lundi 16 Septembre 2024

    C'est un accident !

    Jacques 1.14 et 15 – Mais chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise. Puis la convoitise, lorsqu’elle a conçu, enfante le péché ; et le péché, étant consommé, produit la mort.

    Un serviteur de Dieu trompe son conjoint. Pour s’expliquer, cette personne dit : « C’est un accident ! » En premier lieu, je suis allée voir la définition exacte d’un accident : « Évènement imprévu et soudain qui entraîne des dégâts, met en danger. »

    C’est une réalité que le péché met une personne dans une position difficile, sur cela, cet homme a raison. Comme notre verset du jour le dit, Il y a un vrai danger. C’est aussi une vérité que cela produit des dégâts et beaucoup de dégâts. Par contre, cet événement n’est pas imprévu ! On ne peut pas s’excuser en disant : « C’est accident ! » On n’a pas une relation avec une femme de façon imprévisible !

    Un enfant de Dieu peut tomber et même gravement, nous sommes d’accord, mais ce qui caractérise un véritable enfant de Dieu, même ayant chuté, c’est qu’il ne va pas minimiser les choses. Il va dire clairement ce qu’il a fait, en assumer les conséquences devant Dieu et devant les hommes, et ensuite, il se retirera du ministère le temps de vivre sa propre restauration.

    Malheureusement, beaucoup de serviteurs de Dieu jouent avec le péché et nombreux sont ceux qui utilisent leur renommée et leur popularité pour attirer les femmes dans leur lit. Bien entendu, on ne dit rien à personne et on continue d’œuvrer dans le ministère comme si de rien n’était. S’il est possible de tromper les hommes, on ne trompe pas Dieu et un jour, chacun d’entre nous aura des comptes à rendre pour ce que nous aurons fait.

    Si nous sommes en train de tromper Dieu, arrêtons-nous et décidons de marcher dans la vérité et en vérité. Les hommes nous hueront peut-être mais le Seigneur nous conduira sur le chemin de la restauration. Ce ne sera pas un chemin facile mais c’est le seul qui nous conduira vers l’éternité de Dieu.

    Pasteur Corinne

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  • Dimanche 15 Septembre 2024

    Dans son logement !

    Actes 28.30 – Paul reste encore deux années entières dans le logement qu’il a loué, et il reçoit tous ceux qui viennent le voir.

    Aujourd’hui, le monde chrétien est composé de personnes frustrées, celles qui ne fréquentent plus une communauté chrétienne pour une raison ou pour une autre et qui ont décidé de rester chez elles ; des personnes qui fréquentent régulièrement une communauté chrétienne mais qui n’ont pas la possibilité d’exercer leurs dons ; des invalides qui ne peuvent pas sortir de chez elles, donc impossible de parler de Jésus. Mais la dernière vision que nous avons de l’apôtre Paul dans le livre des Actes semble un précieux encouragement pour toutes ces catégories de personnes.

    Paul est à Rome dans un logement qu’il a loué. Ce n’est pas tout à fait la prison comme il la connaitra plus tard. Toutefois, il ne peut plus aller et venir : un soldat le garde (Actes 28.16). Il avait sillonné l’Asie mineure jusqu’en Illyrie (Albanie actuelle) et la côte est de la Grèce lors de trois grands voyages missionnaires. Il avait visité un grand nombre d’assemblées chrétiennes et rencontré beaucoup de croyants. Il avait prêché la Parole à des auditoires parfois nombreux. Il se retrouve seul, obligé de rester dans son logement à Rome. Il semble n’avoir plus beaucoup de possibilités de servir.

    Peut-être vous êtes dans cette situation : seul dans votre petit coin, obligé de rester chez vous ou alors vous manquez de possibilités de servir bien qu’étant dans une communauté. Paul « recevait tous ceux qui venaient le voir. Il prêchait le royaume de Dieu et enseignait tout ce qui concerne le Seigneur Jésus-Christ, avec toute hardiesse, sans empêchement. (Actes 28. 30-31) »

    Devant cet exemple, peut-être allons-nous dire : « Moi, je ne suis pas Paul, je n’ai pas toutes ces visites. » Réfléchissons un instant à ceux qui viennent dans notre maison durant une année. Qui sont-ils ? Certes, il y a ceux que nous invitons, mais aussi bien d’autres : c’est le voisin qui vient demander un service, c’est le commerçant qui vient proposer sa marchandise, c’est un enfant qui veut être soigné ou consolé, c’est tel frère ou sœur qui pleure, qui a besoin d’un coup de main ou d’un conseil ou de prières...

    Et si tous ceux-là et d’autres encore entendaient parler du « salut de Dieu (Actes 28.28) » et « de ce qui concerne le Seigneur Jésus (Actes 28.31) », combien pourraient être encouragés ? Notons que « … une parole dite au bon moment fait du bien. (Proverbes 15.23) »

    En somme, un logement peut devenir un champ missionnaire. Quand nous nous trouvons dans une situation désagréable ou difficile, cherchons le moyen d’en tirer parti. Il n’existe aucune période ni aucun endroit où il n’est pas possible de servir Dieu et d’œuvrer pour sa gloire.

    Arrêtons de nous plaindre, d’en vouloir aux autres mais concentrons-nous sur l’essentiel. Comment puis-je être utile à Dieu en dehors de la communauté ? Comment puis-je servir Dieu en dehors de la communauté ? Comme l’apôtre Paul, notre logement peut devenir un champ missionnaire si nous nous posons de bonnes questions.

    Bonne réflexion.

    Pasteur Michel Essana

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  • Samedi 14 Septembre 2024

    Fashion victime !

    Jacques 2.4 – Ne faites-vous pas en vous-mêmes une distinction, et ne jugez-vous pas sous l’inspiration de pensées mauvaises ?

    Nous lisions le post d’un frère sur le net qui disait que certains enfants vivaient dans leur environnement scolaire l’humiliation par le simple fait de ne pas être habillés à la mode !

    Malheureusement, c’est un triste constat mais tellement vrai et qui ne touche pas que la jeunesse. En effet, le monde nous a imposé des standards qui sont devenus la norme d’acceptation mais qui en réalité sont une forme d’esclavage. La dignité humaine passe par ces standards, plus tu les respectes et « plus tu es quelqu’un ». Derrière cette façade, plein de drames se vivent par un surendettement, de la dépression, une perte d’identité, le compromis…

    Jésus a dit : « La vie d’un homme ne dépend pas de ses biens, fut-il dans l’abondance » (Luc 12.15). Vous allez peut-être nous rétorquer : « Oui, O.K, mais on a bien besoin de vivre et d’avoir un certain confort ». Cela est vrai mais ce qui fait la dignité d’un homme, et par là même son bonheur « d’être », ce n’est pas l’image qu’il reflète mais c’est l’état de son cœur.

    En tant que chrétiens, nous devrions nous débarrasser définitivement de ces standards, ne pas nous conformer au siècle présent comme Paul l’a dit mais avoir une pleine acceptation de nous-mêmes, des uns et des autres en voyant la vie de Christ qui habite dans nos cœurs. Si l’homme regarde à l’apparence, ce qui intéresse Dieu : c’est le cœur, peu importe la façade.

    Pour faire face à cette mentalité mensongère, le peuple de Dieu aura de plus en plus besoin de se démarquer, de manifester la solidarité, l’encouragement et regarder « l’autre » comme Dieu le voit et le lui témoigner.

    Soyez béni(e)s

    Pasteur Corinne

    Source (Centre Apostolique EZ37M) https://centreapostolique.ez37m.com

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  • Vendredi 13 Septembre 2024

    Pères et mères spirituels !

    1 Thessaloniciens 2.11 – Vous savez que nous avons agi avec chacun de vous comme un père avec ses enfants.

    Ceux qui sont appelés à enseigner la Parole de Dieu ne sont pas des enseignants comme les autres. Il y a une notion très importante : celle de la paternité. Dans ce domaine, il ne suffit pas de transmettre un savoir ou une connaissance mais il est important de transmettre une réalité de vie.

    Les « pères », à l’époque biblique, ne se limitaient pas à donner quelques rudiments d’éducation ; ils participaient à la formation scolaire des enfants, ils transmettaient l’art de leur métier et surtout ils partageaient leur foi.

    Quand nous transmettons la Parole de Dieu, les auditeurs vont nous observer ; ils vont vérifier si ce que nous disons correspond à ce que nous faisons. Ils vont percevoir directement si nous sommes animés par l’amour ou non. Ne soyons pas simplement intéressés par les personnes pour pouvoir annoncer la Parole, mais intéressons-nous à elles parce que ce sont des êtres humains que Dieu aime d’une manière toute particulière ! Si nous aimons le Seigneur, cet amour va prendre une forme horizontale, c’est-à-dire vers les autres.

    Les « pères » et les « mères » spirituels sont des hommes et des femmes pleins de l’Esprit de Dieu, ils ont le goût du bon pain, ils sont sereins et attentionnés, sûrs d’eux et pourtant humbles, pleins de sagesse et pourtant toujours à l’écoute. Nous avons besoin d’en trouver pour nous laisser enseigner et grandir dans les voies de Dieu.

    Mais nous pouvons aussi, si nous avons quelques années de vie avec le Seigneur, trouver un « Timothée » que nous pourrons chérir de notre amour paternel et en qui nous pourrons nous investir afin qu’il devienne à son tour un père pour les autres. Cet investissement sera porteur de dividendes énormes dans le Royaume de Dieu.

    Bonne réflexion.

    Pasteur Claudy

    Source (Centre Apostolique EZ37M) https://centreapostolique.ez37m.com

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  • Jeudi 12 Septembre 2024

    L'équilibre !

    Éphésiens 5.17 – C’est pourquoi ne soyez donc pas déraisonnables, mais efforcez-vous de comprendre ce que le Seigneur attend de vous. Version Bible en Français Courant

    Dans notre société, beaucoup de choses poussent les gens dans des extrêmes. Certains vont travailler jusqu’à pas d’heure pour gagner, amasser, toujours avoir plus. D’autres vont acheter et acheter, il semblerait que leur garde-robe ne soit jamais assez complète, il faut toujours plus. D’autres personnes vont avoir des ami(e)s et vont être « fourrés » sans cesse chez eux.

    Dans l’Église, nous pouvons aussi constater que beaucoup ne vivent pas plus dans l’équilibre. Certains vont tellement être spirituels que toutes les choses de la vie courante n’ont plus aucune importance. Pour d’autres, ils seront tellement occupés dans leur communauté que tous les gens qui sont autour d’eux n’ont plus d’importance. Ils n’entretiennent aucune relation avec les autres sauf si celle-ci a un intérêt pour eux. Les exemples dans notre monde, tout comme dans les communautés sont nombreux.

    S’il y a des bonnes choses telles que le travail, le service dans l’église... tout doit cependant être fait dans l’équilibre. Jésus Lui-même savait être dans la foule, mais il savait s’adresser aussi à une seule personne, et il savait également s’éloigner de tout cela.

    Le Seigneur nous amène parfois à nous recentrer sur les véritables priorités car Il désire nous amener dans l’équilibre pour notre plein et entier épanouissement. La croix elle-même est un exemple d’équilibre : plantée dans le sol, elle s’élève vers le ciel (notre relation d’humain avec notre Père Céleste), pour s’étendre de droite et de gauche (notre relation avec les « autres »).

    Arrêtons de courir ! Approchons de Dieu et laissons-Le nous montrer les véritables priorités et nous amener dans un équilibre pour sa plus grande gloire.

    Je laisse cela à votre réflexion !

    Pasteur Corinne

    Source (Centre Apostolique EZ37M) https://centreapostolique.ez37m.com

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  • Mercredi 11 Septembre 2024

    Au nom de Dieu !

    Jean 16.2 – ... l’heure vient où quiconque vous fera mourir croira rendre un culte à Dieu.

    La date du 11 septembre 2001 restera gravée dans beaucoup de mémoires. Les images des attentats et l’effondrement des deux tours de New York, faisant des milliers de victimes, ont choqué le monde entier. Les auteurs des attentats étaient motivés par un fanatisme religieux, offrant leur vie pour « plaire » à Dieu ! Même si le 21ème siècle se réveillait à cette réalité, ce phénomène a toujours existé et des êtres humains ont commis les pires atrocités sous le couvert de la foi en Dieu.

    Ma réflexion d’aujourd’hui c’est : où prend racine le fanatisme ? Pourrions-nous dire sans l’ombre d’un doute qu’il n’existe pas de fanatisme dans les milieux évangéliques ? Les valeurs de l’Évangile que sont la compassion, la miséricorde et la grâce sont-elles toujours proclamées haut et fort par ses adeptes ? Nous devons avouer que non malheureusement. Nous rencontrons beaucoup d’intransigeance et certains sont plus tranchants que des rasoirs dans leur propos.

    La vérité reste la vérité, nous ne sommes pas en train de dire qu’il faut la diluer. Mais la vérité sans amour n’est pas dans « l’esprit » de l’Évangile. Oui c’est bien là que le fanatisme prend sa racine, c’est dans le manque d’amour. Quand la priorité c’est d’avoir raison, nous nous éloignons de la vraie priorité : aimer Dieu et aimer son prochain !

    Mes bien-aimés, veillons sur notre état d’esprit quand nous partageons la vérité de l’Évangile. Laissons-nous envahir par la compassion de Dieu pour ceux qui se « perdent » ou s’égarent. Ne nous tenons pas sur une position de retranchement pour nous « battre » mais ouvrons-nous à l’accueil et à la tolérance. L’important n’est pas de convaincre mais de laisser le Saint-Esprit convaincre à travers nos paroles assaisonnées de sel !

    Soyons aussi toujours prêts à nous remettre en question, c’est ainsi que l’on grandit.

    Bonne réflexion.

    Pasteur Claudy

    Source (Centre Apostolique EZ37M) https://centreapostolique.ez37m.com

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