• Dimanche 12 Novembre 2023

    Écrit, signé, timbré et délivré ?

    “Aujourd’hui, si vous entendez Sa voix, n’endurcissez pas votre cœur.” Hébreux 4. 7 Version Segond 21

    La poste fait d’habitude un bon travail pour délivrer chaque année des millions de lettres et de paquets néanmoins des incidents peuvent survenir de temps en temps, par exemple cette lettre délivrée à une adresse londonienne avec plus de 100 ans de retard. La lettre avait été oubliée dans un coin d’un centre de tri et remise en distribution des décennies plus tard. La lettre était en fait une lettre d’excuse, mais le destinataire ne l’a jamais reçue de son vivant ! De nos jours combien de mails ne sont jamais lus car l’adresse du destinataire n’est pas écrite correctement ou parce qu’ils sont redirigés vers la boîte des ‘indésirables’ ou “spam” du destinataire ? Le message de Dieu depuis toujours est qu’Il nous aime et Il veut que nous le sachions et apprenions à mieux Le connaître. Ce message doit être entendu et lu par les hommes, d’une manière ou d’une autre. Dieu a parlé à plusieurs reprises et de plusieurs manières : par les prophètes, et par les Saintes Écritures. Puis Il s’est rendu en personne sur la terre pour nous parler directement. Néanmoins comme la lettre à la poste, il arrive que surviennent des événements que nous ne comprenons pas et qui font que le message se perd. Le même message que nos proches ont reçu si clairement et qui leur a parlé si personnellement ne semble pas toucher notre cœur. Élisabeth Carter est une actrice britannique qui a donné récemment son témoignage sur sa conversion. Quand son fiancé devint chrétien elle se trouva confrontée à une situation inattendue : pour faire plaisir à son futur mari allait-elle prétendre, étant actrice, qu’elle aussi s’était convertie ? Elle préféra demander à Dieu de lui parler personnellement. Rien n’arriva. Elle n’entendit aucune voix venue d’en-haut. Mais juste au moment où son mal-être devenait trop insupportable au point qu’elle songeait à mettre fin à sa relation avec son fiancé, Jésus intervint en Lui parlant d’une manière très personnelle qu’elle ne put ignorer. Dieu avait répondu à sa prière. Job nous rappelle que : “Dieu parle cependant, tantôt d’une manière, tantôt d’une autre, et on ne le remarque pas. Il parle par des rêves, par des visions nocturnes, quand un sommeil profond tombe sur les hommes, quand ils sont endormis sur leur lit. Il leur communique alors Son message et confirme les avertissements qu’Il leur donne” (Job 33. 14-16). L’avez-vous entendu vous appeler ?

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Samedi 11 Novembre 2023

    Rêvez-vous de grandeur ?

    “Si quelqu’un veut être grand parmi vous, qu’il soit votre serviteur, et si quelqu’un veut être le premier parmi vous, qu’il soit votre esclave.” Matthieu 20. 26-27 Version Segond 21

    Un jour la mère de deux de Ses disciples vint voir Jésus pour Lui demander : “Ordonne, Lui dit-elle, que dans Ton Royaume mes deux fils siègent l’un à Ta droite et l’autre à Ta gauche.” Jésus lui répondit : “Vous ne savez pas ce que vous demandez...” avant d’ajouter : “Si quelqu’un veut être grand parmi vous, qu’il soit votre serviteur, et si quelqu’un veut être le premier parmi vous, qu’il soit votre esclave. C’est ainsi que le Fils de l’homme est venu non pour être servi, mais pour servir et donner Sa vie en rançon pour la multitude” (Matthieu 20. 26-28). Jonathan Pokluda donne l’exemple des jeunes nés à la fin du XXème siècle, les “Millenials’, appelés ainsi parce qu’ils ont eu vingt ans au début de notre siècle : 96% de ceux-ci ont affirmé vouloir accomplir de grandes choses dans leur vie. Mais 96%, c’est presque tout le monde ! Mais ne confondent-ils pas grandeur, avec célébrité et pouvoir ? Ce qui explique le désir de self-promotion et l’esprit de compétition qui prévalent dans notre société. La Bible, d’un autre côté, peint un paysage bien différent de celui du monde. Dans l’économie divine, le plus humble des serviteurs sera honoré au-dessus des autres, le leader servira les autres et les gens doux hériteront du Royaume (Matthieu 5. 5). Les Écritures nous offrent plusieurs exemples de personnes qui se sont humiliées devant Dieu et qui ont été richement bénies par lui. Le roi Manassé par exemple, sans doute le pire des rois d’Israël, ignora les avertissements divins jusqu’au jour où Dieu amena les Assyriens à Jérusalem. Manassé fut capturé et emmené en exil où il s’humilia finalement devant Dieu et Le pria avec sincérité. Celui-ci lui pardonna et lui accorda une seconde chance (2 Chroniques 33. 3-16). Nabuchodonosor découvrit lui-aussi que c’est Dieu seul qui décide qui sera grand et qui ne le sera pas. Écoutez ce que Dieu déclare à David : “C’est Moi qui t’ai pris au pâturage, derrière le troupeau, pour que tu deviennes le chef d’Israël Mon peuple. J’ai été avec toi partout où tu es allé, J’ai abattu tous tes ennemis devant ta face et Je rendrai ton nom comme le nom des grands de la terre” (1 Chroniques 17. 7-8). Si vous rêvez de grandeur, la première action à entreprendre est de vous mettre à genoux !

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Vendredi 10 Novembre 2023

    Il a fait le choix de vous sauver !

    “Il a sauvé les autres et Il ne peut se sauver Lui-même.” Matthieu 27. 42

    Cette histoire a déjà été publiée il y a pas mal d’années, mais elle mérite une seconde lecture, ne croyez-vous pas ? Quand le pasteur introduisit le prédicateur du jour, c’est un vieil homme qui s’avança jusqu’à la chaire. Voici l’histoire qu’il raconta : “Un père de famille, son fils et un ami de son fils, étaient partis faire une promenade en mer sur la côte du Pacifique quand une tempête imprévisible fit chavirer leur voilier, les jetant tous trois dans l’océan. Á la dernière seconde le père parvint à attraper une corde de sauvetage mais un terrible choix se présenta alors à lui : à quel garçon devait-il jeter l’autre bout de la corde et lequel devait-il sacrifier ? Il savait que son fils avait accepté Christ tandis que son ami ne l’avait pas fait. Bouleversé, il cria : “je t’aime tant mon fils” avant de lancer la corde à son ami. Le temps de ramener le garçon jusqu’à la coque retournée du voilier, son propre fils avait disparu sous les vagues. Son corps ne fut jamais repêché. Le père savait que son fils venait d’entrer dans l’éternité avec Jésus. Il n’avait pas pu accepter l’idée de laisser son ami s’enfoncer dans l’éternité sans avoir eu l’occasion de connaître Jésus. A la fin du culte un adolescent s’approcha du prédicateur pour lui dire : “Belle histoire, mais peu plausible : quelle sorte de père sacrifierait son fils dans l’espoir que l’ami de son fils devienne chrétien ?” Le vieux prédicateur répondit : “Vous avez raison, ce n’est pas très plausible. Mais je vous affirme que cette histoire m’a donné une bonne idée de ce que Dieu a dû ressentir lorsqu’Il a décidé de sacrifier Son Fils pour chacun d’entre nous. Voyez-vous, dans l’histoire que j’ai racontée, le père qui a sacrifié son fils, c’était moi... et votre pasteur c’était l’ami de mon fils !” Les Pharisiens qui assistaient à la mort de Jésus-Christ, s’écrièrent : “Il a sauvé les autres et Il ne peut se sauver Lui-même !” Et ils avaient raison ! Il ne pouvait faire les deux, alors Il a choisi de vous sauver, vous ! Accepterez-vous Son offre de salut aujourd’hui ?

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Mercredi 8 Novembre 2023

    Parlez à quelqu'un de Jésus !

    “Une femme de Samarie vint puiser de l’eau...” Jean 4. 7 Version Segond 21

    Jean raconte : “Une femme de Samarie vint puiser de l’eau...” Après l’échec de cinq mariages successifs, sa confiance envers les hommes devait être au plus bas et son estime d’elle-même probablement nulle, aussi s’approcha-t-elle de Jésus avec beaucoup de méfiance. Il se mit alors à démolir, brique après brique, le mur derrière lequel elle s’était réfugiée et quand Il en eut terminé avec elle, cette femme était devenue une toute autre personne et elle put repartir vers les autres. Quel contraste avec Nicodème, rencontré au chapitre précédent. Lui, un leader spirituel, était venu voir Jésus de nuit, pour ne pas être vu en Sa compagnie. Après lui avoir parlé de la nécessité de la nouvelle naissance Jésus affirma : “Celui qui agit conformément à la vérité vient à la lumière...” (Jean 3. 21). Á ce moment précis il appartenait à Nicodème de faire le bon choix. Trois leçons se dégagent de ces rencontres :

    1- Christ voit le potentiel qui sommeille en vous et que d’autres ne reconnaissent pas : “Les Pharisiens... murmuraient, disant : Cet homme accueille des pécheurs et mange avec eux” (Luc 15. 2). Et ils avaient raison ! C’est à cette Samaritaine que Jésus se présenta pour la première fois en tant que le Messie. Pourquoi Jésus ne l’a-t-Il pas fait au moment où Il forma son équipe de disciples, nettoya le temple, accomplit son premier miracle ou interviewa Nicodème ? Parce que Jésus ne juge personne en fonction de son passé, mais en fonction du potentiel de son avenir.

    2- Christ vous transformera avant de pouvoir se servir de vous pour transformer les autres. Cette femme fut la première personne à annoncer l’évangile en Samarie : “Beaucoup de Samaritains... crurent en Jésus à cause des paroles de la femme...” (Jean 4. 39).

    3- Jésus n’a pas besoin qu’on Le défende, seulement qu’on Le présente. “Un bien plus grand nombre crurent à cause des paroles de Jésus, et ils disaient à la femme : Ce n'est plus seulement à cause de ce que tu as dit que nous croyons, car nous L'avons entendu nous-mêmes et nous savons qu'il est vraiment le Messie, le Sauveur du monde” (Jean 4. 41-42). Parlez aujourd’hui à quelqu’un de Jésus !

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Mardi 7 Novembre 2023

    Votre sens de la justice ?

    “Les hommes adonnés au mal ne comprennent pas ce qui est juste, tandis que ceux qui cherchent l’Éternel comprennent tout.” Proverbes 28. 5 Version Segond 21

    Le mot justice apparaît plus de cent fois dans les Écritures. Ésaïe écrit : “Le Seigneur est un Dieu juste : heureux tous ceux qui espèrent en Lui” (Ésaïe 30. 18). Si la justice et l’équité sont des caractéristiques de Dieu, il est normal qu’Il veuille que Ses enfants fassent preuve de justice et d’équité envers les autres. Ésaïe écrit : “Apprenez à faire le bien, préoccupez-vous du droit des gens, tirez d’affaire l’opprimé, rendez justice à l’orphelin, défendez la cause de la veuve” (Ésaïe 1. 17), et Amos ajoute : “Mais que le droit jaillisse comme un cours d’eau, et la justice comme un torrent qui n’arrête jamais de couler !” (Amos 5. 24). Les gens malhonnêtes et égoïstes ne se soucient pas des intérêts des autres. Ils foulent aux pieds le droit des opprimés, parce qu’ils ne comprennent pas que l’on puisse être généreux envers ceux qui souffrent ou qui sont démunis de tout. La générosité n’est pas innée à l’homme. C’est l’amour de Dieu pour nous qui peut transformer notre cœur et le rendre réceptif aux soucis et peines d’autrui. Les vrais enfants de Dieu comprennent que leur vie doit être gouvernée par un sens de justice qui vient de Dieu. Notre société est bien différente de celle dans laquelle vivait l’auteur des Proverbes, mais ce sont toujours les mêmes gens qui souffrent d’un manque de justice à leur égard : les personnes âgées, les handicapés, les pauvres, les immigrants, les réfugiés... etc. Lutter contre l’injustice qui prévaut dans notre société n’est pas chose facile, mais Dieu nous demande de le faire. L’apôtre Jacques déclare : “La religion pure et sans tache devant Dieu le Père, la voici : visiter les orphelins et les veuves dans leur détresse ; se garder du monde pour ne pas se souiller” (Jacques 1. 27). Jésus s’est mis en colère devant les Pharisiens et leur a crié : “malheur à vous, Pharisiens, vous qui versez la dîme de la menthe, de la rue et de tout ce qui pousse dans le jardin, et qui laissez de côté la justice et l’amour de Dieu...” (Luc 11. 42). Le philosophe Cornel West a dit : “La justice est l’image publique de l’amour !” Comment pouvons-nous faire preuve d’amour envers autrui sans défendre ses droits et l’aider à obtenir justice ? Dans quelle direction le désir de faire preuve d’amour et de justice vous poussera-t-il ? Vous êtes le seul à pouvoir répondre à cette question !

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Lundi 6 Novembre 2023

    Réfugié

    “Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme ; car tous vous êtes un en Jésus Christ.” Galates 3. 28 Version Segond 21

    Est-ce que nous nous rappelons de ce fait quand nous réfléchissons à qui nous devons aide et accueil ? Voici une traduction d’un poème écrit par Malcom Guite intitulé “Réfugié” : “Nous pensons qu’Il est en sécurité sous le clocher, ou douillet dans un berceau à côté des fonts baptismaux, mais Il est avec un million de personnes déplacées sur la route de la lassitude et du besoin. Car alors même que nous chantons notre dernier chant de Noël, Sa famille est partie sur cette route, fuyant la colère de quelqu’un d’autre, regardant derrière et portant son fardeau. Tandis qu’Hérode fait encore rage depuis sa sombre tour, le Christ s’accroche à Marie, ses doigts étroitement enroulés autour des siens, les agneaux sont massacrés par les hommes de pouvoir et les escadrons de la mort répandent leur malédiction à travers le monde. Mais chaque Hérode meurt et vient seul se tenir devant l’Agneau sur le trône.” Chaque année des centaines de personnes perdent la vie dans la poursuite d’une meilleure condition de vie. Des familles entières sont décimées par des tempêtes en mer, séparées les unes des autres par des trafiquants sans scrupules. Jésus a été un réfugié en Égypte quand Sa famille a dû fuir devant la rage du roi Hérode. Pendant Son ministère Il était ému de compassion par les foules : “Jésus les accueillit, et Il leur parlait du royaume de Dieu ; Il guérit aussi ceux qui avaient besoin d’être guéris” (Luc 9. 11). Puis Il leur a donné aussi à manger (Luc 9. 12-17). Jésus ne s’est pas borné à annoncer la bonne nouvelle, Il l’a démontrée. En vacances, si vous ne parlez par la langue du pays que vous visitez, vous serez bien content de trouver quelqu’un qui accepte de prendre le temps de vous montrer physiquement le chemin. Il ne se bornera pas à vous indiquer la bonne direction si vous ne le comprenez pas, mais il prendra le temps de vous amener à votre destination. “Persévérez dans l’amour fraternel. N’oubliez pas l’hospitalité... Souvenez-vous des prisonniers, comme si vous étiez aussi prisonnier et de ceux qui sont maltraités.” (Hébreux 13. 1-3).

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Dimanche 5 Novembre 2023

    Appréciez-vous vraiment le cadeau qu'il vous à fait ?

    “Il n’y a donc, maintenant, plus aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ.” Romains 8. 1 Version Segond 21

    Un agnostique demanda un jour à une vieille dame si elle était certaine de son salut. Il ajouta avec cynisme : “Comment pouvez-vous croire qu’après tant d’années Dieu ne vous laissera pas tomber et ne vous abandonnera pas en enfer ?” La vieille chrétienne répondit calmement : “Il aurait bien davantage à perdre que moi. Si tel était le cas je perdrai mon salut, mais Lui perdrait la bonne réputation de Son nom !” Appréciez-vous vraiment le don extraordinaire que Dieu vous a fait en vous assurant du salut éternel ? Max Lucado a écrit un jour : “C’est comme si vous aviez gagné le plus gros lot de l’histoire de la loterie sans avoir même acheté un billet !” Non seulement Dieu vous a choisi et délivré de vos péchés, mais en plus Il vous a accordé le privilège d’être appelé Son enfant. Il vous a adopté dans Sa famille et fait de vous aussi un héritier de Son Royaume. Paul explique : “L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. Or si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers : héritiers de Dieu, et cohéritiers du Christ...” (Romains 8. 16-17). Votre nom est écrit à l’encre indélébile dans le seul livre qui importe : le Livre de Vie, et Il ne l’effacera jamais (Apocalypse 3. 5). Ce détail fait que vous ne serez pas jugé par Dieu, car vos péchés, vos fautes, vos manquements, ont déjà été jugés à la Croix par Jésus Lui-même : “En vérité, en vérité, Je vous le dis, celui qui écoute Ma parole et croit en celui qui M’a envoyé, a la vie éternelle ; il ne vient pas en jugement, mais il est passé de la mort à la vie” (Jean 5. 24). Et qui plus est, vous règnerez un jour aux côtés de Christ (2 Timothée 2. 11-12). Enfin souvenez-vous que les promesses de Dieu sont solides et garanties, en effet “Il demeure fidèle, car Il ne peut se renier Lui-même” (v. 13). Ce qui nous ramène à l’affirmation de la vieille chrétienne au sceptique : Dieu ne peut revenir sur Ses promesses car Il tient beaucoup trop à l’honneur de Son nom ! Appréciez donc Son don incroyable et honorez Son nom !

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Samedi 4 Novembre 2023

    Prières sans réponse ?

    “Vous demandez, et vous ne recevez pas parce que vous demandez mal, dans le but de satisfaire vos passions.” Jacques 4.3 Version Segond 21

    Qui d’entre nous ne s’est posé la question : “Pourquoi ma prière reste-elle sans réponse ?” Bien sûr nous ne pouvons pas répondre la même chose à chaque personne et nous devons reconnaître la souveraineté et la bonté de Dieu dans toutes Ses décisions. Mais aujourd’hui regardons une personne qui a eu une réponse positive et immédiate de la part de Dieu : “Ézéchias... monta à la maison de l’Éternel... à qui il adressa cette prière...” (Ésaïe 37.14-15). Ézéchias était un homme pieux et se trouvait dans une situation critique, aussi prit-il le temps de retourner au temple pour prier son Dieu. Étant roi, il aurait pu se considérer au-dessus des formalités requises pour s’approcher de Dieu mais au contraire il adopte une position d’humilité : “Éternel des armées, Dieu d’Israël, assis sur les chérubins ! C’est Toi qui es le seul Dieu de tous les royaumes de la terre, c’est Toi qui as fait les cieux et la terre...” (Ésaïe 37. 16-17). Sa demande de délivrance ne s’appuie pas sur ses mérites ou ceux de son peuple mais plutôt sur le rôle de Dieu en tant que souverain et créateur de l’univers. Ensuite il démontre une sensibilité envers la réputation de Dieu en évoquant “toutes les paroles que Sanchérib a envoyées pour insulter le Dieu vivant !” Enfin il reconnaît honnêtement que, humainement parlant, il n’y avait pas d’issue ; les autres peuples autour de lui ont abandonné leur dieux : “Il est vrai, ô Éternel ! que les rois d’Assyrie ont ravagé tous les pays et leurs territoires, et qu’ils ont jeté leurs dieux dans le feu mais ce n’étaient point des dieux, c’étaient des ouvrages de mains d’homme, du bois et de la pierre ; et ils les ont anéantis.” Finalement on comprend qu’Ézéchias est d’une étoffe plus noble ! Il exprime son désir d’être délivré de ses ennemis afin que le monde puisse reconnaître en l’Éternel le seul vrai Dieu : “délivre-nous de la main de Sanchérib, et que tous les royaumes de la terre sachent que Toi seul es l’Éternel !” (Ésaïe 37. 16-20). Prenons exemple sur Ézéchias, humilions-nous, reconnaissons la souveraineté de Dieu, soyons sensibles à la réputation de la personne de notre Dieu et demandons-Lui de Se glorifier par Sa réponse à notre prière.

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Vendredi 3 Novembre 2023

    De qui dépendez-vous ?

    “Tout don excellent, tout présent parfait, vient d’en haut ; il descend du Père des lumières, chez qui il n’y a ni changement ni éclipse.” Jacques 1. 17 Version Nouvelle Bible Segond

    Lors de leur esclavage en Égypte, les Hébreux dépendaient du bon vouloir du Pharaon pour tout ce dont ils avaient besoin pour vivre. Il pouvait décider de les accabler de travail ou de réduire leurs provisions, selon son humeur. De qui dépendez-vous aujourd’hui ? De votre employeur, de votre famille, de vos amis ? Si vous dépendez de qui ce soit en ce monde, vous n’êtes pas vraiment libre. Vous vivez en esclavage comme les Hébreux. Vous avez peut-être besoin d’un cercle de connaissances pour vous sentir vous-même, pour affirmer votre personnalité. Mais avez-vous songé comment vous allez réagir le jour où ce “soutien” disparaîtra ? La vie humaine est faite de rencontres et de départs, de relations qui se font et se défont. Vous serez probablement un jour déçu par ceux en qui vous aviez mis votre confiance, car les gens changent. Or l’apôtre Jacques affirme : “Tout don excellent... vient d’en haut... du Père des lumières chez qui il n’y a ni changement ni éclipse.” Reconnaissez que, si vous êtes devenu l’un des Siens, vous ne devez dépendre que de Lui, car Il est le seul à tenir Ses promesses. Une fois en marche vers Canaan, les Hébreux durent apprendre à dépendre de Dieu. Leur nourriture, la manne, tombait du ciel chaque matin et parfois même des cailles venaient agrémenter leur régime ! Dieu était en train de leur apprendre à Lui faire confiance, même s’ils maugréaient souvent en embellissant la qualité des vivres qu’ils pouvaient obtenir en Égypte. Or pendant les quarante années au désert les semelles de leurs sandales ne s’usèrent pas (Deutéronome 29. 5) ! Avez-vous assimilé cette leçon dans votre propre vie ? Avez-vous compris que les provisions divines ne s’épuisent jamais ? Vous trouvez-vous aujourd’hui dans cette saison “au désert” ? Continuez à marcher comme les Hébreux, en vous appuyant sur Dieu. Bientôt vous arriverez dans le pays de l’abondance quand Dieu vous fournira bien plus que ce vous pouvez imaginer (Éphésiens 3. 20-21), afin que vous puissiez enfin être une bénédiction pour les autres !

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Jeudi 2 Novembre 2023

    Aimé par un Père qui nous écoute...

    “Seigneur, je fais appel à Toi, viens vite près de moi ! Écoute-moi : je T’appelle !” Psaume 141. 1 Version Parole de Vie

    Holley Gerth raconte : “Je viens de m’endormir quand soudain le téléphone sur ma table de chevet se met à sonner. Je réponds d’une voix embuée de sommeil. C’est ma fille de 22 ans qui vient de vivre une journée difficile et qui souhaite me parler. Je fais tout mon possible pour l’écouter. Je prie très vite que Dieu me donne les paroles adéquates pour répondre à ses interrogations. Mais cela n’est pas nécessaire. Au bout de quelques minutes elle me dit qu’elle se sent déjà mieux, et je me rends compte qu’en fait elle n’avait pas besoin de conseils, seulement d’entendre ma voix et de savoir que je l’écoutais.” L’exemple de la fille d’Holley nous donne une leçon d’importance. Combien de fois, au soir d’une journée pénible et déprimante, ne nous sommes-nous pas recroquevillés dans notre déprime au lieu d’appeler notre Père qui est toujours prêt à nous écouter ? David avait l’assurance de pouvoir appeler son Père spirituel dès qu’il se sentait seul, perdu, en manque de réconfort. Il se savait aimé de Dieu, malgré ses fautes. Sa foi était celle d’un enfant qui ne doute pas que le rôle de son père est de répondre à ses appels à n’importe quel moment de la journée ou de la nuit. Souvenez-vous qu’il est écrit à propos de Dieu, “Celui qui te garde ne sommeille pas. Non, Il ne sommeille ni ne dort, Celui qui garde Israël” (Psaume 121. 3-4). L’auteur de la lettre aux Hébreux écrit : “Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, pour obtenir compassion et trouver grâce, en vue d’un secours opportun” (Hébreux 4. 16). Il est prêt à répondre à nos appels à l’aide, prêt à nous rappeler combien Il nous aime. Imitons David et appelons-Le simplement, dès que nous sentons que nous perdons pied, que nous sommes effrayés ou que nous sommes submergés de pensées négatives.

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique