• Lundi 27 Novembre 2023

    La personne qui donne aux pauvres ne manquera de rien. Mais celle qui refuse de les regarder sera couverte de malédictions. Proverbes 28. 27 Version Parole de Vie

    Celui qui écrase les pauvres par l’injustice insulte son Créateur. Mais celui qui a pitié des malheureux lui rend gloire. Proverbes 14. 31 Version Parole de Vie

    Riches et pauvres selon le livre des Proverbes (4) - Notre vraie richesse : pouvoir donner (fin)

    Si un croyant est généreux, il "ne manquera de rien" (texte du jour). de même, dans l'évangile, promet que si nous perdons des biens (maisons ou champs) à cause de lui, nous en retrouverons beaucoup d'autres "dans ce temps-ci" (Marc 10. 29-31 version Nouvelle Segond Révisée). Cela signifie pas que ceux qui font preuve de générosité s'enrichiront. Mais Dieu ne veut pas être redevable envers ceux qui acceptent de faire des sacrifices, et il pourvoira à leurs besoins. Ces donateurs ont également la joie de partager leurs biens avec leurs frères et soeurs dans l'Église, montrant ainsi ce qu'est l'amour chrétien dans la pratique. Leur générosité leur procure des bénédictions, pas nécessairement matérielle, mais un enrichissement spirituel, un "trésor dans le ciel" (Marc 10. 21). L'Église primitive nous montre l'exemple exceptionnel d'une vie collective marquée par l'amour mutuel et la générosité, où personne n'était dans le besoin : "La multitude de ceux qui avaient cru n'était qu'un cœur et qu'une âme. Nul ne disait que ses biens lui appartenaient en propre, mais tout était commun entre eux" (Actes 4. 32 Version Nouvelle Segond Révisée).

    - Seigneur, ce n'est pas ta volonté que je vive comme un individualiste, d'autant plus que cela me rend vulnérable. Change mon coeur et fortifie l'Église, afin que nous, ton peuple, nous puissions vraiment montrer que nous sommes membres les uns des autres.

    (à suivre lundi)

    Source (La Bonne Semence)

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  • Dimanche 26 Novembre 2023

    Elle [Marie] enfantera un fils, et tu lui donnera le nom de Jésus : c'est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. Matthieu 1. 21

    Dieu avec nous

    Á plusieurs reprises, la bible prédit la venue du Messie et la présence de Dieu sur la terre dans la personne de Jésus-Christ. Le prophète Ésaïe, par exemple, sept siècles avant la naissance du Christ, annonçait l'événement. Il comprenant la grandeur et la sainteté du Créateur ; c'est pourquoi Dieu lui a fait connaître différents éléments du plan qu'il se proposait d'accomplir pour le salut des hommes. En découvrant la précision des prophéties d'Ésaïe, on est émerveillé de constater quel soin Dieu a apporté aux révélations de ses projets d'amour, de salut et de paix, à notre égard.

    N'est-il pas étonnant, par exemple, de voir que le nom choisi à l'avance pour l'Envoyé de Dieu, Emmanuel, signifiait "Dieu avec nous" (Ésaïe 7. 14) ? Dieu mettait ainsi en évidence son désir d'être tout proche de nous, un homme aux côtés des hommes. On retrouve cette même promesse à la fin de l'évangile de Matthieu : "Je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde" (Matthieu 28. 20). La prophétie n'est pas simple prémonition ou lecture de l'avenir ; elle contient de manière précise les traits essentiels du plan de Dieu et de sa réalisation dans la personne de Jésus-Christ.

    Cette pensée pourrait facilement être illustrée par d'autres textes. Le nom de Jésus-Christ signifie "Dieu sauveur", et cette annonce du salut est présente plusieurs fois dans l'Ancien Testament. Preuve s'il en fallait, de cette volonté permanente et persistance de Dieu de sauver les hommes par Jésus, son Fils qu'il a envoyé du ciel sur la terre pour cela.

    Source (La Bonne Semence)

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  • Samedi 25 Novembre 2023

    Mais je vous dis, à vous qui écoutez : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent, bénissez ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous font du tort. Luc 6. 27, 28 Version Darby

    L'amour de Dieu est répandu dans nos coeurs par l'Esprit Saint. Romains 5. 5 Version Darby

    Á vous qui écoutez...

    C'est à eux que Jésus a donné cette parole extraordinaire : 'Aimez vos ennemis ; faites du bien à ceux qui haïssent..." C'est en prenant la place de celui qui écoute Jésus que nous pourrons aimer ceux qui nous haïssent, et même prier pour eux. Aimer son ennemi, ce n'est pas se forcer à éprouver des sentiments amicaux, c'est d'abord agir en bien pour lui.

    L'écrivain C.S. Lewis l'a bien expliqué. Durant la Seconde Guerre mondiale, il parlait, à la BBC, des vertus chrétiennes comme le pardon et l'amour. Pour les Britanniques d'alors, le monde était divisé en deux camps ; alliés et ennemis. Aussi plusieurs considéraient que l'enseignement chrétien demandant d'aimer ses ennemis était non seulement impossible, mais révoltant. Mais Lewis s'opposait à ce courant de pensée. Il disait ceci : "Même s'il convient d'encourager les affections naturelles, penser que la seule façon de devenir charitable consiste à s'efforcer d'avoir des sentiments affectueux serait une grave erreur. La règle à respecter est simple. Lorsque vous vous conduisez comme si vous aimiez une personne, vous en arrivez bientôt à l'aimer. Chaque fois que nous faisons du bien à notre prochain simplement parce qu'il est un être créé comme nous par Dieu, et que nous désirons son bonheur comme si nous désirons le nôtre, nous apprenons à l'aimer un peu plus."

    Chrétiens, la force pour faire le bien et aimer, nous la trouvons en Dieu qui est amour, en Jésus-Christ qui priait pour ceux qui l'avaient crucifié : "Père, pardonne-leur" (Luc 23. 34).

    Source (La Bonne Semence)

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  • GPS

    Vendredi 24 Novembre 2023

    Éternel !... Fait-moi dès le matin entendre ta bonté ! Car je me confie en toi. Fait-moi connaître le chemin où je dois marcher ! Car j'élève à toi mon âme. Psaume 143. 7, 8

    GPS

    "Depuis quelques années, nous déménageons régulièrement. Il faut chaque fois recommencer à chercher la boulangerie la plus proche, trouver un médecin qui ne sera pas trop débordé... et accepter d'avoir à nouveau besoin d'un GPS pour les déplacements quotidiens.

    Mais tous ces changements me fatiguent, je ne supportent plus d'être une nouvelle fois incapable de trouver mon chemin toute seule... Ce matin, en route vers mon lieu de travail, je n'en peux plus ; c'est trop dur d'être toujours asservie à ce GPS sans lequel je n'arrive à rien. Je dis alors au Seigneur : "Tu vois, je ne supporte plus tous ces changements, j'en ai assez". Mais à ce moment-là j'entends dans ma tête cette réponse : "Mais, mon enfant, pour le voyage le plus important, le voyage de la vie, tu n'as pas besoin d'un GPS. Pour aller au ciel, ta destinée éternelle, je t'ai prise entièrement en charge. Jésus ton Sauveur te délivre et te conduit ; alors, pourquoi te plains-tu ?"

    Ces mots résonnent au plus profond de moi. C'est vrai, je connais l'essentiel, le chemin vers le ciel, ma destinée éternelle, et pour le guider Jésus-Christ me donne la direction, et bien plus encore. Il m'accompagne chaque jour et pourvoit à tout. Alors je suis envahie d'une grande paix et je réalise mon privilège d'être de ceux qui connaissent le chemin. Pleine de reconnaissance, je reprends la route pour me rendre au travail.

    Jésus est "le chemin, la vérité et la vie". Et toi qui lis ces lignes, ce chemin, le connais-tu ?"

    (Agnès)

    Source (La Bonne Semence)

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  • Jeudi 23 Novembre 2023

    Nous savons qu'une idole n'est rien dans le monde... En effet, il est vrai qu'il y a des êtres appelés dieux, soit dans le ciel, soit sur la terre... Néanmoins, pour nous, il n'y a qu'un seul Dieu, le Père... et un seul Seigneur, Jésus-Christ, par qui tout existe. 1 Corinthiens 8. 4-6 Version Segond 21

    Le dieu qui se noie

    Toukaram, un jeune Hindou, élevé dans le respect des dieux de sa religion, venait d'être admis comme élève à l'école missionnaire de la ville voisine. En traversant la rivière pour s'y rendre, il voit une foule de gens occupés à tirer quelque chose hors de l'eau. Est-ce quelqu'un qui s'est noyé ? Mais non, c'est une idole en bois qui a basculé dans la rivière. On lui a passé une corde autour du cou pour qu'elle ne soit pas emporté par le courant. Que d'efforts pour sauver le dieu qui se noie !

    Arrivé à l'école, Toukaram raconte la scène à ses nouveaux camarades chrétiens.

    - Quel étrange dieu ! lui disent-il. Il ne peut pas se sauver lui-même, ni dire merci à ceux qui l'aident. C'est un dieu mort ! Nous, nous connaissons le Dieu vivant !

    - Comment s'appelle-t-il ?

    - L'Éternel, le Tout-Puissant ; il est notre Père.

    - Où est-ce qu'il habite ?

    - Il est présent partout : il voit tout et entend tout.

    Toukaram écoute et réfléchit. Peu à peu, il apprend à connaître ce Dieu unique qui a donné son Fils pour sauver les pécheurs. Un jour, il déclare devant toute l'école qu'il veut devenir chrétien.

    Ne pensons pas que ces idoles "mortes" ne sont pas présentes dans nos sociétés dites "chrétiennes". Nul besoin d'idoles de bois ou de pierres pour nous asservir : l'argent, la célébrité, l'alcool, la drogue, l'occultisme, même l'addiction aux écrans les remplacent. L'apôtre Jean terminent sa lettre par ces mots : "Gardez-vous des idoles !" (1 Jean 5. 21).

    Source (La Bonne Semence)

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  • Mercredi 22 Novembre 2023

    Hérode, revêtu de ses habits royaux... les harangua publiquement. Le peuple s'écria : Voix d'un dieu, et non d'un homme ! Au même instant, un ange du Seigneur, le frappa, parce qu'il n'avait pas donner gloire à Dieu. Actes 12. 21-23

    Recommande ton sort à l'Éternel, met en lui ta confiance, et il agira. Psaume 37. 5

    Maradona

    Á la mort du footballeur Diego Maradona, le 25 Novembre 2020, une émission de radio cite une phrase tirée d'un article de Mario Vargas, écrit en 1982 après la coupe du monde de foot gagnée par l'Argentine : "Maradona était l'une de ces divinités vivante que les hommes ont créées pour pouvoir s'adorer en elles".

    Cette phrase définit assez bien le culte de l'homme. Á travers des réussites sportives, scientifiques, techniques ou économiques, ce que beaucoup cherchent en définitive, c'est à se convaincre qu'ils n'ont pas besoin de Dieu.

    Cette tendance n'est pas nouvelle. Satan, dans le jardin d'Éden, avait dit à Ève : "Vous serez comme Dieu" (Genèse 3. 5). Et le verset du jour rappelle que le roi Hérode se faisait adorer comme un dieu par la foule.

    Tout être humain ressent au fond de lui un profond besoin d'absolu, de justice et d'espérance. Mais comme il ne supporte pas le regard d'un Dieu juste et saint, il préfère, pour répondre à ses aspirations, se créer des dieux qui lui ressemblent, et qui ont se défauts et ses faiblesses.

    Mais ces dieux ne peuvent pas lui apporter le vrai bonheur. Quels que soient les rêves qu'il a pu susciter, Maradona n'a rien pu apporter aux hommes concernant l'au-delà et la paix de la conscience.

    Seul le vrai Dieu peut répondre aux aspirations profondes du coeur. Jésus n'est pas venu pour se faire admirer des foules, mais pour les servir. Il n'est pas venu pour chercher sa propre gloire mais pour honorer Dieu. Confiez-vous en Jésus sans attendre, il ne vous décevra jamais.

    Source (La Bonne Semence)

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  • Mardi 21 Novembre 2023

    Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon coeur ! Éprouve-moi, et connais mes pensées ! Psaume 139. 23

    Pardonne-moi les fautes que je ne vois pas ! Psaume 19. 13 Version Parole de Vie

    Responsable ou pas

    Il y a deux façons de ne pas respecter un feu rouge. Soit vous regardez à droite et à gauche, et délibérément vous continuez votre route. Soit vous êtes distrait et vous le franchissez involontairement. Dans les deux cas, vous êtes responsable de la même infraction.

    C'est ainsi que parfois, pris au dépourvu, nous répondons sans réfléchir, ou nous nions un fait pourtant évident. Dans la précipitation, sans avoir l'intention de mal faire, nous nous sommes peut-être rendu coupables d'avoir blessé un ami, ou d'avoir menti. Nous pouvons nier notre responsabilité, un peu comme cet automobiliste qui n'aurait tout simplement pas vu les feux tricolores, mais la faute n'est pas moins réelle. Et si par orgueil nous ne voulons pas reconnaître un tort involontaire, les conséquences peuvent être très fâcheuses.

    Nous pouvons heureusement écouter aussi ce qui nous est reproché et dont nous n'avons pas conscience, puis devant notre Dieu lui demander de nous montrer ce qui n'était pas acceptable dans notre comportement ou dans nos paroles. Disons comme David : "Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon coeur ! Éprouve-moi, et connais mes pensées !" (Psaume 139. 23). Alors nous pourrons sincèrement reconnaître et confesser cette faute.

    C'est ainsi que nous progresserons dans notre vie chrétienne, avec la certitude que "celui qui cache ses transgressions ne réussira pas, mais on aura compassion de celui qui les reconnaît et les abandonne" (Proverbes 28. 13 Version Segond 21).

    Source (La Bonne Semence)

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  • Lundi 20 Novembre 2023

    L'homme dont le regard est bienveillant sera béni, parce qu'il donne de son pain au pauvre. Proverbes 22. 9

    Celui qui méprise son prochain commet un péché, mais heureux celui qui a pitié des misérables ! Proverbes 14. 21

    Riches et pauvres selon le livre des Proverbes (3) - Notre vraie richesse : pourvoir donner (suite)

    En quoi consiste la bénédiction accordée à l'homme dont "le regard est bienveillant" ? Porter sur les autres un regard bienveillant et généreux évite de sombrer dans le désir égoïste et stérile de vouloir posséder pour son propre compte.

    De plus, la bénédiction dont il est question ici correspond avant tout à vivre concrètement l'amour selon Dieu. Nous nous sentons riches lorsque nous aimons et sommes aimés. Montrer de la générosité est un acte d'amour envers Dieu et envers les autres. L'argent n'est plus alors une monnaie d'échange pour obtenir un certain statut social, ou le pouvoir, mais plutôt un moyen d'exprimer notre amour. Nous aimons le Seigneur lorsque nous considérons nos biens comme étant sa propriété, et non la nôtre, et que nous les distribuons pour des projets qui lui tiennent à coeur. Nous aimons notre prochain lorsque nous nous servons de nos biens pour guérir et restaurer des vies. Plus nous donnons autour de nous, plus nous ressemblons à Jésus-Christ, qui a fait le don de sa propre vie par amour. Et cette démarche est bénie.

    - Seigneur, il n'y a qu'une vraie "monnaie d'échange" de valeur : c'est l'amour. Ne permets pas que je privilège la sécurité financière au détriment de l'amour. Aide-moi à employer mon argent pour aimer ceux qui sont pauvres, pour aimer ceux qui ne te connaissent pas, pour aimer les membres de ma famille ou les croyants qui sont dans le besoin.

    (à suivre lundi)

    Source (La Bonne Semence)

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  • Dimanche 19 Novembre 2023

    Que le Dieu de paix soit avec vous tous ! Romains 15. 33

    Étant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ. Romains 5. 1

    Un Dieu de paix

    Le premier homme est entré en conflit avec son Créateur. La Bible déclare que nous sommes ennemis de Dieu, jamais que Dieu est notre ennemi. Le patriarche Job, accablé par le malheur, a dit à Dieu : "Il m'a traité comme l'un de ses ennemis" (Job 19. 11). Il se trompait, et a finalement reconnu la grandeur et la miséricorde de Dieu (Job 42. 3).

    En fait, Dieu se révèle dans la Bible comme le Dieu de paix. Il a envoyé sur la terre son Fils, Jésus-Christ, pour nous annoncer "la bonne nouvelle de la paix" (Éphésiens 2. 17). Á sa naissance, les anges ont dit : "Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, et paix sur la terre parmi les hommes qu'il agrée !" (Luc 2. 14). Mais Jésus a été rejeté par la plupart de ses concitoyens, les gens du peuple aussi bien que les autorités religieuses et politiques. Á la fin tous l'on crucifié. Les hommes ont ainsi confirmé qu'ils étaient ennemis de Dieu.

    Voulons-nous avec la paix avec Dieu ? Il suffit de croire que Jésus a pris à son compte nos péchés et en a subi le châtiment à notre place. Il a "fait la paix par le sang de sa croix" (Colossiens 1. 20 version Darby). Et alors, "justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ... Lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils" (Romains 5. 1, 10). Quelle paix remplit notre coeur quand nous avons la certitude du pardon de nos péchés ! Paix fondamentale basée sur la perfection de l'oeuvre de Christ : sa mort expie nos péchés, et sa résurrection prouve que Dieu a accepté son sacrifice.

    Source (La Bonne Semence)

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  • Samedi 18 Novembre 2023

    (Jésus dit à Joseph et à sa mère) : Pourquoi me cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas qu’il faut que je m’occupe des affaires de mon Père ? Luc 2. 49

    Jésus s’écria d’une voix forte : Père, je remets mon esprit entre tes mains. Et, en disant ces paroles, il expira. Luc 23. 46

    Les premières et dernières paroles de Jésus

    Jésus grandit à Nazareth, dans le modeste foyer de Joseph et Marie. La famille se rend chaque année à Jérusalem pour la fête de la Pâque. Mais, lors d'un de ces voyages annuels, l'année de ses douze ans, Jésus, au lieu de repartir avec ses parents, reste à Jérusalem. Au bout de trois jours de recherche, ses parents le retrouvent enfin, assis dans le temple, écoutant et interrogeant les chefs religieux. Á l'inquiétude et aux reproches de ses parents, l'enfants répond simplement : "Ne saviez-vous pas qu'il faut que je m'occupe des affaires de mon Père ?" Ce sont ses premières paroles qui nous sont rapportées. Elles résument toute la vie de Jésus, homme entièrement consacré à Dieu son Père.

    Á la fin de sa vie, passé à faire le bien et à soulager la souffrance des hommes, Jésus est rejeté par son peuple. On le crucifie entre deux malfaiteurs. Durant trois heures, le soleil se cache, et Jésus subit la colère de Dieu contre le péché. Á la fin de ces heures terribles, il pousse un cri de triomphe : "Tout est accompli", et prononce ses dernières paroles : "Père, je remet mon esprit entre tes mains". Il baisse la tête et expire...

    L'oeuvre que son Père lui avait confiée est accomplie : c'est à ce moment-là seulement qu'il remet son esprit entre les mains du Père.

    Ses premières et ses dernières paroles révèlent l'unique but de toute sa vie : satisfaire la volonté de son Père, et accomplir la mission qui lui était confiée pour le salut des hommes pécheurs.

    Source (La Bonne Semence)

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