• Samedi 27 Avril 2024

    Le don de grâce de Dieu, c’est la vie éternelle dans le Christ Jésus, notre Seigneur. Romains 6. 23 Version Darby

    Vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu. 1 Jean 5. 13

    Donné, c'est donné

    Quentin a donné hier sa jolie voiture rouge à son frère Évan. Aujourd'hui, il le regrette et voudrai la reprendre. Mais Évan proteste énergiquement : Donner, c'est donner ! Reprendre, c'est voler !"

    Si on prête un objet, on en droit de le réclamer à nouveau. Mais si on l'a donné, c'est définitif. Quand il s'agit de sommes d'argent importantes, on signe même un document officiel pour constater la transaction.

    Donner, c'est donner. Autrement dit, si quelqu'un me donne quelque chose, je suis en droit de considérer que c'est à moi.

    Ami chrétien, tu as reçu par la foi le salut de Dieu. Mais es-tu inquiet à l'idée que tu pourrais perdre ton salut ? Lis bien ce que Dieu lui-même écrit : "Le don de grâce de Dieu, c'est la vie éternelle". Si Dieu t'a donné la vie éternelle, il est impossible qu'il te la reprenne.

    Peut-être pense-tu : "Et si je me conduit mal ?"

    Remarque bien qu'il s'agit d'un don de grâce, c'est-à-dire un cadeau que tu n'a pas mérité ! Si Dieu te l'a donné sans attendre de toi que tu le mérites, crois-tu le gardes par tes propres efforts ?

    Sais-tu aussi que chaque enfant de Dieu a été donné par Dieu à son Fils ? Jésus parle des siens à son Père en disant : "Ils étaient à toi, et tu me les as donnés... J'ai gardé ceux que tu m'as donnée, et aucun d'eux n'a été perdu" (Jean 17. 6, 12). C'est Dieu qui t'a donné à Jésus. Sois certain qu'il tient à toi, comme à un don reçu de son Père. Il te garde avec soin, et personne ne pourra t'arracher de sa main (Jean 10. 27-30) !

    Source (La Bonne Semence)

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  • Vendredi 26 Avril 2024

    Est-ce que je prends plaisir à la mort du méchant ? dit le Seigneur, l'Éternel ; n'est-ce pas plutôt à ce qu'il se détourne de ses voies, et qu'il vive ? Ézéchiel 18. 23 Version Darby

    Ne vous y trompez : on ne se moque pas de Dieu. Galates 6. 7 Version Darby

    La grande surprise

    Dans le train omnibus d'une région de campagne, deux hommes s'entretiennent sur l'au-delà. L'un affirme avec assurance qu'avec la mort, tout est fini. L'autre, plus indécis, avance prudemment quelques objections.

    Un paysan âgé, assis dans le même compartiment, suit la discussion avec intérêt. Sur son visage ridé et calme, on lit le poids d'un lourd vécu mais aussi le reflet d'une certaine paix intérieure.

    Le premier voyageur continue, avec une volonté évidente de provocation : "Imaginez que celui qui est attaché aux vieilles croyances chrétiennes - parce qu'il est trop faible pour s'en libérer - se retrouve, le jour de sa mort, devant une porte, mais que celle-ci reste fermée, définitivement fermée. quelle déception !" Un éclat de rire moqueur retentit.

    Á cet instant, le vieux paysan ne peut plus se retenir. "Quand j'entend de telles choses, murmure-t-il d'une voix basse, je suis frappé par tant de légèreté ! Est-ce que vous plaisantez vraiment ? Imaginez un seul instant, que ce soit l'inverse qui se produise. Celui qui a nié l'existence de l'au-delà meurt, et devant lui, pourtant, s'ouvre la porte de l'éternité, la porte de l'éternité loin de lui ! Aura-t-il encore le coeur à plaisanter ?"

    Le silence s'installe tout à coup dans le compartiment. Tout les rires cessent.

    Source (La Bonne Semence)

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  • Jeudi 25 Avril 2024

    L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. Matthieu 4. 4

    Ce qui fait vivre les hommes

    Dans son célèbre roman "Le pavillon des cancéreux", l'écrivain russe Alexandre Soljenitsyne décrit le questionnement douloureux d'Ephrem sur le sens de sa vie. Après avoir vécu en égoïste pour son plaisir, Ephrem se retrouve, en pleine force de l'âge, arrêté par un cancer. Et il réfléchit sur ce qui fait vivre les hommes. Il interroge ses compagnons de chambrée et obtient des réponses très diverses... Mais Ephrem est conscient qu'aucune des raisons invoquées - travail, honneur, pouvoir, idéaux communs... - ne résiste devant la mort.

    Nous pouvons, nous aussi, nous poser la question : "Qu'est-ce qui me fait vivre ?" Peut-être sommes-nous remplis d'amers regrets ou de douloureuses déceptions, ou bien, au contraire, avons-nous un réel plaisir à réaliser de beaux projets.

    Mais lorsqu'on se retrouve face à la mort, qu'est-ce qui est vraiment important ? Et puis, cette vie qui nous anime va-t-elle entièrement cesser ? Qui peut nous renseigner sur son origine et son devenir ? Un seul : Dieu. C'est lui qui donne la vie et la soutient. Le fait même que nous vivons démontre son existence. Or Dieu a parlé, il parle encore. Notre responsabilité est donc de la croire, d'accepter sa Parole, la Bible. Par elle, Dieu qu'il donne une nouvelle vie à celui qui croit en Jésus son Fils, envoyé sur la terre pour nous sauver. Alors le croyant peut vivre paisiblement, sans crainte de la mort. La mort n'est pas un point final contre lequel s'écrasent toutes ses espérances, mais un passage qui le conduit dans la présence de Jésus son Sauveur. Sa vie a du sens !

    Source (La Bonne Semence)

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  • Mercredi 24 Avril 2024

    Ta voie est dans la mer, et tes sentiers dans les grandes eaux ; et tes traces ne sont pas connues. Psaume 77. 19 Version Darby

    Mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos voies ne sont pas mes voies, dit l'Éternel. Ésaïe 55. 8 Version Darby

    Dieu nous conduit jusqu'à lui

    Un garçon de neuf ans, fils unique d'un couple chrétien, demandait toujours à sa mère de prier à genoux pour ceux qui n'étaient pas sauvés et qui ne connaissaient pas Jésus-Christ.

    Il se rendait souvent chez ses cousins pour jouer avec eux. Un jour, l'un d'eux se blessa involontairement avec un objet dangereux. Transportés d'urgence à l'hôpital, il mourut trois jours plus tard...

    Cet événement tragique marqua profondément les parents et les voisins.

    Á l'enterrement, l'évangile fut présenté et chacun des membres de la famille, pour lesquels l'enfant avant tant prié, fut ébranlé par le message de l'amour de Dieu. D'autres, dont l'engagement pour Dieu s'était refroidi, firent un retour sur eux-mêmes et se rapprochèrent de Jésus-Christ. Un homme et une femme qui venaient de loin et n'avaient jamais eu conscience de leur besoin d'être réconciliés avec Dieu, acceptèrent, chacun, Jésus comme leur Sauveur. Aujourd'hui, dans la région où vit ce couple, des croyants se réunissent pour écouter et méditer la Parole de Dieu.

    Nous ignorons tout de la manière dont Dieu se sert des circonstances de la vie, même quand il s'agit d'une très grand malheur, même quand il s'agit de la prière d'un enfant. Sa main semble parfois invisible et ses chemins bien mystérieux, mais son désir est de ses révéler et de nous conduire jusqu'à lui.

    Source (La Bonne Semence)

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  • Mardi 23 Avril 2024

    Ce fut à Antioche que, pour la première fois, les disciples furent appelés chrétiens. Actes 11. 26

    Vous vous êtes tournés vers Dieu en abandonnant les idoles pour servir le Dieu vivant et vrai. 1 Thessaloniciens 1. 9 Version Segond 21

    Être chrétien, c'est quoi ?

    Un chrétien est-il simplement quelqu'un qui a été baptisé quand il était enfant, ou qui a reçu une éducation chrétienne ? Est-ce une personne qui adhère à une confession, à une religion avec des rites, ses traditions, ses obligations et ses interdits ?

    Non ! Avant tout, être chrétien c'est croire en Jésus-Christ, Fils de Dieu, le reconnaître comme celui qui pardonne les péchés et donne la vie éternelle par son sacrifice à la croix. Alors le croyant entre dans une relation réelle, vivante, avec lui. Il s'en remet à lui pour le pardon de ses fautes, et aussi pour l'orientation de sa vie entière.

    Être chrétien est un choix personnel. C'est le choix de la foi qui fait confiance à Dieu, et permet de vivre une relation heureuse avec Dieu et son Fils Jésus-Christ.

    La vie chrétienne débute par la "conversion", c'est-à-dire le fait de répondre personnellement à l'appel de Dieu par la foi à l'évangile de Jésus-Christ. "La foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Dieu" (Romains 10. 17). L'apôtre Paul décrit ainsi ce changement de vie : "Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles" (2 Corinthiens 5. 17).

    Être chrétien, c'est donc être profondément attaché à Christ et à son évangile. C'est le connaître personnellement comme un ami proche et grandir à son contact par la prière.

    Source (La Bonne Semence)

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  • Lundi 22 Avril 2024

    Nous savons que toutes choses travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessin. Romains 8. 28

    Optimisation

    Aujourd'hui, on parle beaucoup d'optimisation. Pour chauffer ma maison j'essaierai d'obtenir une température agréable, tout en limitant les pertes de chaleur avec des solutions d'isolation adaptées.

    Ce serais merveilleux si nous pouvions organiser et optimiser notre vie, notamment concernant la longévité, le bonheur de vivre, la santé, etc. Mais tous ces objectifs et facteurs de bonheur sont incontrôlables. Qui peut décider de ce qui est bon pour chacun à long terme ?

    Et si la solution était de mettre notre vie entre les mains de Dieu avec confiance ? C'est ce que Dieu attend. Et à ceux "qui aiment Dieu", le verset ci-dessus assure que toutes les situations qu'ils rencontrent "travaillent ensemble pour le bien', c'est-à-dire concourent à leur bénédiction. Il vaut la peine d'y réfléchir.

    Aimer Dieu, c'est accepter qu'il existe, c'est reconnaître qu'il est pour chacun un Dieu de bonté, un Dieu qui pardonne, qui fait grâce. Si nous aimons Dieu, c'est qu'il nous a aimés le premier (1 Jean 4. 19), et nous a fait don de son Fils, mort sur la croix pour nous sauver. Si je le crois, il m'adopte pour être son enfant.

    De la part d'un tel Dieu, d'un tel Père, ne serez-vous pas convaincu qu'il fait tout concourir au bien de ses enfants ? Ils ont confiance que Dieu sait absolument ce qui est bon pour eux, même si beaucoup de choses restent incompréhensibles et des questions sans réponse sur la terre. Ils apprendront au ciel que leur vie était entre les mains du Dieu bienheureux.

    Source (La Bonne Semence)

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  • Dimanche 21 Avril 2024

    L’ange leur dit [aux bergers] :... Je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera pour tout le peuple le sujet d’une grande joie : c’est qu’aujourd’hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur. Et voici à quel signe vous le reconnaîtrez : vous trouverez un enfant emmailloté et couché dans une crèche. Luc 2. 10-12

    Quatre signes (1) : la crèche (mangeoire)

    On trouve dans les évangiles quatre signes qui ont permis de faire reconnaître le Seigneur Jésus-Christ. Le premier parle de sa naissance, le deuxième est donné au moment de son arrestation, le troisième évoque sa mort sa résurrection, le quatrième annonce son retour glorieux.

    Après un long voyage depuis Nazareth, Marie et Joseph arrivent à Bethléhem, le village natal de Joseph, pour y être recensés. Ils ne trouvent pas de place dans un logement d'hôtes, et Marie doit mettre au monde l'enfant Jésus dans un endroit où se trouvaient aussi des animaux. Voilà qu'un ange apparaît à d'humbles bergers pour leur annoncer la merveilleuse nouvelle de la naissance du Sauveur. Dans quel palais vont-ils trouver celui dont tant de prophètes avaient prédit la venue ? L'ange leur donne alors un signe pour le reconnaître : il est couché dans une crèche, une mangeoire dans laquelle on mettait le foin pour les bêtes de l'étable. Ils ne risquent pas de se tromper ! Combien de bébés sont couchés dans une mangeoire à Bethléhem cette nuit-là ? Un seul, Jésus !

    Ce signe distinctif évoque avec force son humanité : un bébé à besoin de soins, d'un endroit pour dormir. Il témoigne aussi de sa pauvreté : ses parents de conditions modestes, ont dû se contenter de ce lieu peu habituel. Quel signe aussi à travers les âges ! Dans le monde entier, 2000 ans plus tard, chacun comprend qu'il s'agit de Jésus.

    Ce signeur d'humanité et de pauvreté du Fils de Dieu venu dans ce monde, nous touche-t-il ?

    (à suivre les 3 prochains dimanches)

    Source (La Bonne Semence)

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  • Samedi 20 Avril 2024

    L'Éternel est lent à la colère et riche en bonté, pardonnant l'iniquité et la transgression, et [il] ne tient nullement le coupable pour innocent. Nombres 14. 18

    La bonté de Dieu

    Le texte du jour déclare que Dieu est grand en bonté. "Un seul est bon" (Matthieu 19. 17). Dieu n'est en lui-même. Mais au fond, qu'est-ce que la bonté ? C'est faire du bien aux autres. Dieu désire le bien des humains qu'il a créés. Notre respiration, la nourriture journalière, l'alternance des saisons, sont, entre autres, des bienfaits de Dieu, que nous le réalisions ou non. Sans les soins de Dieu, personne ne pourrait subsister sur cette terre. Dieu "fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et envoie sa pluie sur les justes et sur les injustes" (Matthieu 5. 45). Il fait du bien à tous en "donnant du ciel des pluies et des saisons fertiles, rassasiant vos coeurs de nourriture et de joie" (Actes 14. 17). Reconnaissons la main de Dieu dans nos vies.

    Dieu ne prend pas seulement soin de notre vie terrestre, il souhaite avant tout le bien de notre âme, qui est immortelle. Si Dieu est bon, il est aussi saint, et comme l'indique le texte du jour, "il ne tient pas le coupable pour innocent". Alors, pour pouvoir bénir ces humains "détestables, se haïssant l'un l'autre", il a envoyé Jésus-Christ, son Fils, pour les délivrer de cet état : "Quand la bonté de notre Dieu sauveur et son amour envers les hommes sont apparus, il nous sauva" (voir Timothée 3. 4, 5). Oui, la manifestation suprême de cette bonté divine, c'est le sacrifice de Jésus sur la croix.

    Aujourd'hui, Dieu vous invite à reconnaître votre état de pécheur coupable devant lui, et à vous tourner vers le Sauveur, par la foi. C'est encore un acte de sa bonté : "La bonté de Dieu te pousse à la repentance" (Romains 2. 4).

    Source (La Bonne Semence)

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  • Vendredi 19 Avril 2024

    Nous avons cru au Christ Jésus, afin que nous soyons justifiés sur la base de la foi en Christ et non pas sur celle des oeuvres de moi : parce que, sur la base des oeuvres de loi, personne ne sera justifiés. Galates 2. 16

    Les oeuvres ou la foi ?

    La question des oeuvres et de leur utilité a souvent été débattue parmi les chrétiens.

    Certains pensent que l'homme doit accomplir des oeuvres pour effacer sa culpabilité et gagner la faveur de Dieu et le paradis : faire le bien sur toutes ses formes, observer des rites, sacrifier de son temps, de sa fortune, de son énergie, sa vie même. Ce serait en quelque sorte obliger Dieu et considérer que nous gagnons son pardon et devenons justes par nos propres moyens. Mais qui est-ce qui nous sauve ? Lui, Nous ?

    D'après la Bible, Dieu accorde le salut à ceux qui, en appellent à sa grâce. Ils avouent leur incapacité à sa sauver eux-mêmes, et se confient en Dieu qui seul peut régler la question de leurs péchés. "Ô Dieu, sois apaisé envers moi, pécheur !" (Luc 18. 13). Au sujet de cet homme repentant, la Parole de Dieu déclare qu'il "descendit dans sa maison justifié" (Luc 18. 14).

    Comment être justifié, rendu juste ? La Bible dit : "C'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi, et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu ; non pas sur la base des oeuvres, afin que personne ne se glorifie" (Éphésiens 2. 8, 9). "Tous ceux qui croient sont justifiés gratuitement par sa grâce" (Romains 3. 24).

    Croire en qui ? En Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qui a été fait "péché pour nous, afin que nous devenions justice de Dieu en lui" (2 Corinthiens 5. 21).

    Dans quel but ? Afin que nous puissions accomplir "les bonnes oeuvres que Dieu a préparées à l'avance" pour nous (Éphésiens 2. 10).

    Source (La Bonne Semence)

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  • Jeudi 18 Avril 2024

    C'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi, et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu ; non pas sur la base des oeuvres, afin que personne ne se glorifie. Éphésiens 2. 8, 9

    Colbert

    Colbert fut un homme d'État remarquable. Il contribua beaucoup à la prospérité de la France sous le règne de Louis XIV. Pourtant, sans doute victime de rivalité et de jalousie, il tomba en disgrâce auprès du roi.

    Alors qu'il approcha de la mort, on l'informa que la roi avait fait prendre plusieurs fois de ses nouvelles. Avec amertume, le ministre aurait répondu : "Qu'on ne me parle plus de cet homme ! Si j'avais fait pour Dieu ce que j'ai fait pour lui, je ne serais pas si inquiet pour le salut de mon âme !"

    Comme beaucoup de personnes, Colbert supposait que, s'il en avait eu le temps, il aurait pu faire suffisamment pour obtenir le pardon de Dieu et le salut de son âme.

    De même, on posa un jour cette question à Jésus : "Que devons-nous faire pour accomplir les oeuvres de Dieu ?" La réponse fut : "L'oeuvre de Dieu, c'est... que vous croyiez en celui qu'il a envoyé" (Jean 6. 29). La seule chose que Dieu demande à l'homme, c'est de se reconnaître pécheur ou coupable, et de croire en Jésus... et en la valeur de son oeuvre accomplie sur la croix.

    La phrase de Colbert traduit aussi son regret d'avoir consacré sa vie à un homme, au détriment des valeurs qui concernent Dieu.

    N'attendons pas la fin de notre vie pour jeter un regard de foi vers la croix de Jésus, pour être réconciliés avec Dieu.

    Source (La Bonne Semence)

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