• Mardi 16 Janvier 2024

    Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais seulement celui qui fait la volonté de mon Père céleste. Matthieu 7.21 Version Segond 21

    Nous sommes tous frères ?

    Lors d’une rencontre inhabituelle de famille, je conversai avec mon interlocuteur sur les nombreuses promesses de l’Évangile. Pour lui, les promesses de Jésus-Christ s’appliquent à tous les hommes sincères et de bonne volonté. Nous sommes frères et agréés de Dieu. Ne trouve-t-on pas ces propos du Seigneur : « Vous êtes mes brebis. Je suis le bon berger » ?

    De mon côté, j’objectai que les Écritures disent aussi : « Tous les hommes sont éloignés de Dieu, par nature rebelles et privés de la gloire de Dieu ». Tout sauf des brebis du bon Berger !

    Il est heureux d’illustrer la communion avec Dieu par une noble image. L’image centrale du berger et des brebis s’adresse à tous les hommes. Elle ne se réalise néanmoins que par le « pass de foi » : Repentez-vous et convertissez-vous (Actes 3.19) !

    Ce pass dépasse tous les documents terrestres validés, confirmés, scannés ou centralisés sur un fichier national. Il supplantera tous les registres médicaux, archives religieuses ou cahiers d’état-civil de nos communes. Certains refusent cette voie, d’autres croient l’avoir validé par naissance. Les seuls assurés le trouvent dans la Parole de Dieu et la foi en l’unique Sauveur, Jésus-Christ.

    Bernard Fourmont

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    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 3, versets 17 à 36.

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  • Lundi 15 Janvier 2024

    Jésus dit : Si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux. Matthieu 18.3

    Comme un petit enfant

    Notre petit-fils Jonas voit un de mes croquis. Parce que, pour un enfant, un dessin a toujours un destinataire, il demande :

    – C’est pour qui ce dessin ?

    – C’est pour celui qui le regarde.

    – Moi, je le regarde ! Donc, c’est pour moi ! Merci, je t’aime, Papou !

    Passons de ma feuille de papier à un livre : la Bible. Pour qui est-il ce Livre des livres ? Pour celui qui l’ouvre ! Chacun peut se l’approprier sans façon. Comme un petit enfant ! Jésus-Christ attend qu’on le prenne au mot, qu’on le croie sur parole !

    Que Dieu nous donne la simplicité de mon petit-fils. Le petit Jonas a réceptionné de la main à la main un croquis de son papou. Un cadeau d’une valeur sentimentale... qu’il oubliera peut-être bien vite !

    La vie éternelle est donnée à qui reconnaît en Jésus son Sauveur et son Seigneur, et qui l’aime de tout son cœur. Une relation forte s’établit !

    L’aimons-nous vraiment ? Avec la confiance d’un enfant ?

    Francis Schneider

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    Lecture proposée : Évangile selon Matthieu, chapitre 18, versets 1 à 5.

    18.1 En ce moment, les disciples s'approchèrent de Jésus, et dirent : qui donc est le plus grand dans le royaume des cieux ?

    18.2 Jésus, ayant appelé un petit enfant, le plaça au milieu d'eux,

    18.3 et dit : Je vous le dis en vérité, si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n'entrerez pas dans le royaume des cieux.

    18.4 C'est pourquoi, quiconque se rendra humble comme ce petit enfant sera le plus grand dans le royaume des cieux.

    18.5 Et quiconque reçoit en mon nom un petit enfant comme celui-ci, me reçoit moi-même.

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  • Dimanche 14 Janvier 2024

    Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse. 2 Corinthiens 12.9

    Ta grâce me suffit

    Je suis née dans une famille aimante, mais athée. Enfant j’ai subi de graves sévices. À 20 ans, je me suis mariée et à 27 ans j’avais trois enfants. Le début de ma vie de couple a été compliqué. Mon mari ne se posait pas de questions existentielles... Ne sachant pas vers qui me tourner pour parler, je me suis mise à lire beaucoup de livres religieux. J’avais le désir de lire la Bible, mais je n’en trouvais pas…

    Un jour, ma fille m’apprit qu’au lieu d’aller chez une amie, elle allait chez une dame qui lui parlait de la Bible. Je décidais de la rencontrer. C’était la femme d’un pasteur d’une gentillesse extrême.

    Ils me parlèrent simplement du message de l’Évangile et me firent écouter des conférences enregistrées qui parlaient de Jésus. J’étais complètement ignorante mais, très vite, la douceur dans leurs échanges m’a captivée. C’était tellement différent de ce que je vivais et connaissais jusque-là.

    Un jour, je me suis mise à genoux et j’ai dit simplement à Jésus : « J’ai besoin de toi. » En lui parlant de mes difficultés, une voix comme une trompette répondit : « Mon amour te suffit ! » Une transformation s’opéra en moi. Le pasteur m’offrit une Bible, qui me communiqua la vérité que je cherchais. Aujourd’hui, je peux dire à Dieu : « Ta grâce me suffit ! » Je suis comblée par l’amour de Christ, et la lecture de sa Parole m’enrichit chaque jour.

    Gil Javelle

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    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 1, verset 9 à 17.

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  • Samedi 13 Janvier 2024

    Tout le pays d’Égypte fut dévasté par les mouches. Exode 8.20

    Mouches venimeuses

    C’était la quatrième plaie d’Égypte : des millions de mouches venimeuses ont envahi tout le pays. Ces mouches pouvaient transmettre des maladies, qui pouvaient être mortelles. En transperçant la peau de sa victime, certains insectes vont injecter un anesthésiant afin que leur piqure ne soit pas ressentie tout de suite !

    De même, le péché veut s’incruster dans notre esprit de manière insidieuse. On ne remarque pas sa tromperie car il est bénin en apparence.

    Mais, comme l’affirme l’explorateur britannique John Franklin (1786-1847) : « Ce n’est pas ce qui se passe en surface qui est le plus dangereux, mais ce qui se passe dans le sang, loin des regards. » Le péché cible notre vie entière, il altère notre conscience.

    Pour se débarrasser des mouches, le pharaon appelle Moïse et Aaron. Pour ne pas vivre comme esclave du péché, c’est Jésus-Christ qu’il nous faut appeler. Mais pas comme le pharaon qui cherchait un répit, sans aucune intention de se repentir. Reconnaissons notre péché en désirant entièrement nous en détourner. Et Jésus, qui est fidèle et juste, nous lave par son sang de tout péché que nous lui confessons. Faisons appel à lui, le seul qui sauve notre âme du mal et du trompeur.

    Il a versé son sang une fois pour toutes pour délivrer du péché celui qui vient à lui.

    Martine Fleck

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    Lecture proposée : Livre de l’Exode, chapitre 8, versets 16 à 28.

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  • Vendredi 12 Janvier 2024

    Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. Jean 10.11

    Le Bon Pasteur

    L’autorité israélienne des antiquités a dévoilé fin 2021 la découverte de centaines d’objets lors de fouilles sous-marines effectuées au large de Césarée. Sur le site de l’épave d’un navire qui a sombré il y a 1700 ans, on a notamment trouvé une bague octogonale en or, ornée d’une pierre précieuse verte gravée de l’image d’un jeune berger en tunique, qui porte un mouton sur son épaule. D’après la conservatrice qui a étudié la bague, il s’agit de l’image du Bon Pasteur, qui représente Jésus en berger qui guide les siens.

    Cette bague était sans doute précieuse pour la femme qui la portait... Mais combien plus précieuse encore l’assurance qui devait être la sienne que Jésus était son bon berger ! Jésus lui-même l’a affirmé : Je suis le bon berger. Je connais mes brebis et elles me connaissent, comme le Père me connaît et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis (Jean 10.14-15).

    Reconnaître que Jésus, le Fils de Dieu, a donné sa vie pour nous sur la Croix, c’est aussi croire que cette vie fait de nous des enfants de Dieu, des brebis de son troupeau. C’est réaliser que se crée alors une relation entre Jésus et nous à l’image de la communion qui le lie à son Père céleste. Confier sa vie entre les mains du bon berger, c’est l’assurance de sa présence, de sa conduite et de sa protection tout au long de notre vie. Qu’y-a-t-il de plus précieux ?

    Bernard Grebille

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    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 10, versets 11 à 18

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  • Jeudi 11 Janvier 2024

    Heureux sont ceux qui croient sans m’avoir vu ! Jean 20.29

    Je ne crois que ce que je vois

    Cette expression, devenue très populaire, fait référence au doute de Thomas, l’un des disciples de Jésus, qui avait du mal à croire à sa résurrection. Je vous invite à “voir” avec votre imagination cette scène de l’Évangile.

    Tout à coup, Jésus est là, sans toquer à la porte. On s’effraierait à moins, d’autant plus si c’est quelqu’un que l’on pense mort ! Devant la peur et l’incrédulité des disciples, Jésus leur montre ses pieds et mains percés : « ho les gars, c’est bien moi Jésus, venez me toucher si vous ne croyez pas ! Bon, allez, donnez-moi à manger pour vous prouver que je ne suis pas un fantôme ». Il mange devant eux du poisson et du miel. En effet, Jésus est bien vivant ! Mais voilà, ce jour-là, Thomas n’était pas présent et doute de leur témoignage.

    Une semaine plus tard, Jésus revient, il interpelle Thomas : « viens Thomas, regarde mes mains et mes pieds, avance ta main, mets-la dans mon côté percé par la lance. » Mais Thomas, dans son incrédulité, ne va pas jusque là.

    Très mal à l’aise et confus, il s’exclame “mon Seigneur et mon Dieu”. Jésus ne lui fait aucun reproche mais il l’encourage : « ne sois pas incrédule Thomas, mais crois. » J’aime bien cette autre traduction qui conclut ainsi : « deviens un homme de foi ».

    Ne serait-ce pas ce qu’il est en train de vous dire, à vous aussi ?

    Bernard Delépine

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    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 20, versets 24 à 29.

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  • Mercredi 10 Janvier 2024

    Heureux ceux qui sont intègres dans leur voie ! Psaume 119. 1

    La prière d'André Lafon

    André Lafon (André Lafon 1883 - 1915, auteur de l'Élève Gilles, prix de l'Académie Française, 1912, ami de François Mauriac), poète et romancier qui a vécu à Blaye (en Gironde), a écrit la prière suivante dans un moment d'intense souffrance : « Non, ce n'est pas le bonheur que je demande à Dieu. Ou plutôt si, mais le bonheur en lui, par lui, c'est-à-dire sa présence au sein de toute peine et de toute joie ; qu'il me montre enfin la voie, je la suivrai, dût-elle être trop étroite pour y marcher à deux, mais qu'elle monte vers lui. » (Source : préface de L'Élève Gilles). Dans la détresse, je fait mienne cette prière : le vrai bonheur n'existe que dans une relation personnelle avec le Dieu vivant, et je suis responsable de me laisser enseigner par la Parole de Dieu. Le bonheur selon Dieu ne supprime pas les épreuves, mais nous aide à les vivre. Jésus-Christ nous invite à nous adresser à Dieu quand nous sommes dans le besoin (voir la lecture proposée).

    « Demander, c'est s'abaisser », ai-je entendu plusieurs fois. La condition expresse pour recevoir des bienfaits est de les demander avec foi, c'est-à-dire en faisant pleinement confiance à Dieu. Mais, avant tout, il importe de prendre conscience du plus grand bienfait que Dieu peut et veut nous accorder : le salut par la foi en Jésus-Christ, mort sur la croix pour nos péchés.

    Francis Praline

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    Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 11, versets 5 à 13.

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  • Mardi 9 Janvier 2024

    Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez le mal. Matthieu 7.23 Version Segond 21

    Sauvé ou perdu ?

    Cette affirmation de Jésus ne trouble pas ceux qui sont sauvés. Mais il en est tout autrement pour ceux qui ne le sont pas. Lorsque Jésus a dit : « Ceux qui me disent, Seigneur ! Seigneur ! n’entreront pas tous dans le Royaume des Cieux », cela ne concernait pas ceux qui croyaient en lui. Il visait ceux qui pensaient être promus d’office au Royaume de Dieu grâce à leurs œuvres. Alors, lors du jugement dernier, c’est à eux que le Seigneur dira : Je ne vous ai jamais connus.

    Jésus a dit : La volonté de mon Père, c’est que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle (Jean 6.40). Il s’agit donc d’une foi personnelle qui reconnaît que Jésus est le chemin, la vérité et la vie, nous permettant d’entrer dans le Royaume de Dieu. Jésus est cette lumière du monde sans laquelle il n’y a pas de salut possible pour notre âme.

    La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole de Dieu (Romains 10.17).

    Alors, lisez sa Parole. Quand Dieu nous sauve, c’est pour toujours, car : Il n’y a maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ (Romains 8.1).

    Yves Perrier

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    Lecture proposée : Évangile selon Matthieu, chapitre 7, versets 21 à 29.

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  • Lundi 8 Janvier 2024

    Devenez donc les imitateurs de Dieu comme des enfants bien-aimés ; et marchez dans l’amour, à l’exemple de Christ qui nous a aimés, et s’est livré lui-même à Dieu pour nous. Éphésiens 5.1-2

    Un peu, beaucoup, passionnément...

    De quel amour parlons-nous ? De celui qui nous vient des affinités que nous pouvons avoir avec certaines personnes ? De l’amitié fidèle que nous développons avec des personnes qui nous le rendent bien ? De l’amour passion qui nous dépasse et dans lequel on peut se jeter corps et âme, même s’il ne dure que le temps des sentiments réciproques ?

    La Bible nous présente l’amour parfait en la personne de Jésus. En quoi est-il parfait ? Cet amour lui a tout coûté : il a quitté le lieu de la joie immuable, le Ciel, pour venir dans les ténèbres de notre monde corrompu. Il a accepté de souffrir et de mourir pour nous sauver.

    Dans le verset d’aujourd’hui, Paul nous demande-t-il l’impossible, lorsqu’il nous enjoint à suivre l’exemple de Christ ? Non, car si vous recevez l’amour de Jésus, en acceptant sa mort sur la croix pour le pardon de vos péchés, l’Esprit de Jésus viendra demeurer en vous. Alors, selon son exemple, vous deviendrez capable d’aimer vraiment. Vous commencerez à marcher sur ce chemin de l’amour, et vous y progresserez de jour en jour. Un amour véritable mérite un engagement persévérant. En acceptant l’amour de Christ, vous l’aimerez en retour et il vous conduira à l’imiter dans cet amour.

    Elfriede Bloch

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    Lecture proposée : Lettre aux Éphésiens, chapitre 4, verset 25 au chapitre 5, verset 2.

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  • Dimanche 7 Janvier 2024

    ... Ils ouvrirent leurs trésors et lui offrirent en cadeau de l’or, de l’encens et de la myrrhe. Matthieu 2.11

    Frangipane ou fleur d'oranger ?

    Le 8 janvier est le jour où l’on mange la galette des rois. À la frangipane pour la galette parisienne, à la fleur d’oranger pour celle du Midi. Celui qui a « la fève » est couronné roi.

    Mais à quoi se réfère cette coutume ? Le 8 janvier est la fête de « l’Épiphanie », qui rappelle la venue des « rois mages ». Étaient-ils des rois ? Le texte biblique nous dit simplement qu’il s’agissait de sages observant le ciel (des astronomes).

    Et pourquoi ces « rois mages » sont-ils célèbres ? À cette époque, les déplacements étaient longs, difficiles et dangereux. Ces hommes sont pourtant venus de Mésopotamie (l’Irak actuel) jusqu’en Judée (l’Israël actuel), pour célébrer un roi dont ils avaient vu l’étoile. Et ce roi n’est autre que Jésus, un bébé né dans une étable.

    Les cadeaux offerts par les mages nous renseignent sur la façon dont ils considéraient Jésus : l’or symbolise la royauté, l’encens le rôle d’intermédiaire avec le Dieu saint, la myrrhe la mort et l’embaumement.

    Régalons-nous avec la « galette des Rois ». Mais, à cette occasion, posons-nous la question : suis-je prêt à reconnaître, comme les mages, la seigneurie de Jésus-Christ (l’or), son rôle de médiateur avec Dieu (l’encens) et sa nature unique puisqu’il est le seul homme mort et éternellement ressuscité (la myrrhe) ?

    Jean-Louis Théron

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    Lecture proposée : Évangile selon Matthieu, chapitre 2, versets 1 à 16.

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