• Samedi 6 Janvier 2024

    Ta parole est une lampe à mes pieds, et une lumière sur mon sentier. Psaume 119.105

    Accédez à la parole de Dieu

    En parcourant la Bible, on pourrait croire qu’elle est un recueil de pensées et d’expériences diverses liées à de nombreux personnages de l’Histoire. Mais elle est bien plus que cela. Elle est un ensemble uni, harmonieux et maîtrisé qui véhicule la pensée divine pour les hommes. Elle est la Parole de Dieu, c’est-à-dire la bouche de Dieu qui s’adresse simplement à chacun.

    Bien sûr, il y a la distance des siècles, des cultures et des langues qui nous sépare de ces textes. De ce fait, bien des interprétations erronées du texte ont vu le jour au fil des siècles, et je comprendrais que vous hésitiez à vous fier à la Bible.

    Mais un nombre important d’hommes et de femmes tout au long des siècles ont fait confiance à la Bible et ont vu leur vie transformée par la rencontre avec son auteur divin !

    Les traductions courantes de ce best-seller (non soumises à un clocher particulier) sont tout à fait claires, et les chrétiens qui lisent assidûment la Bible seront nombreux pour vous conseiller dans ce domaine. Lancez-vous dans cette découverte passionnante !

    Et joignez-vous à une église où la Bible est enseignée fidèlement !

    Personnellement, j’ai trouvé dans la Parole de Dieu les éléments qui forment la colonne vertébrale de ma vie depuis plus de trente ans...

    Jocelyn Cassirame

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    Lecture proposée : Psaume, chapitre 119, versets 97 à 105.

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  • Vendredi 5 Janvier 2024

    Car si l’on traite ainsi le bois vert, qu’adviendra-t-il du bois mort ? Luc 23.31

    Bois mort

    Le bois vert dont parle Jésus, c’est lui-même. Et le traitement auquel il est condamné, c’est la mort infamante qu’on réservait aux criminels et aux esclaves rebelles. Une condamnation tellement imméritée !

    Qui est le bois mort ou bois sec ? C’est la foule incrédule qui l’entoure, même si des femmes se lamentent de voir Jésus arrêté. Jésus leur prédit le châtiment imminent de leur ville sainte...

    L’été 2022 a vu des milliers d’hectares de forêts être la proie des flammes en France, en partie à cause de la folie et de l’inconséquence des hommes. Et combien plus à l’étranger ? C’était le spectacle affligeant de ces arbres verts, en pleine croissance ou centenaires, devenus en un instant des troncs fumants morts calcinés. Aucun ne l’avait mérité. Se lamenter sur ce spectacle ne ressuscitera pas les forêts, il faut nettoyer et replanter, cela prendra de nombreuses années.

    Jésus ne veut pas qu’on se lamente sur lui ; il a choisi librement de mourir à la place des méchants. Méchant ? Vous direz que vous êtes plutôt gentil ? Mais Dieu appelle ainsi ceux qui le méprisent ! Il ne prend aucun plaisir à la mort du méchant, ce qu’il veut, c’est que le pécheur change de conduite et qu’il vive (Ézéchiel 18.23, 33.11). Croyons Dieu quand il parle, que ce soit dans un chuchotement ou dans le vacarme des cataclysmes.

    Bernard Smagghe

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    Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 23, versets 13 à 31.

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  • Jeudi 4 Janvier 2023

    Qui pourra monter à la montagne de l’Éternel ? Qui s’élèvera jusqu’à son lieu saint ? Psaume 24.3

    Qui pourra ? Comment ?

    David, le roi d’Israël, pose une question essentielle et universelle : « Qui pourra aller auprès de Dieu ? » Il répond immédiatement en ne reconnaissant cette possibilité qu’à un homme parfaitement juste : Celui qui a les mains innocentes et le cœur pur. Celui qui ne livre pas son âme au mensonge, et qui ne jure pas pour tromper.

    Il obtiendra la bénédiction de l’Éternel, la miséricorde du Dieu de son salut. Seulement David avouera lui-même : N’entre pas en jugement avec ton serviteur ! Car aucun vivant n’est juste devant toi. (Psaume 143.2) Sur ce chemin vers Dieu, se dresse pour chaque homme l’obstacle infranchissable de sa propre injustice. Celle que ma conscience reconnait bien...

    Dans ces conditions, la première question me conduit à celle-ci : « Comment m’approcher de Dieu ? » La bonne nouvelle est que si ma cause est perdue d’avance, elle ne l’est pas pour Dieu qui veut faire grâce !

    Par Jésus-Christ crucifié s’ouvre une porte. Et celui qui croit en lui peut entrer. Au moyen de son sacrifice, une libre entrée dans la présence de Dieu est tracée (Hébreux 10.19-20). Pour celui qui la cherche, qui a soif de réconciliation, Jésus dit : Je suis la porte. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé. Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. (Jean 10.9 et 14.6)

    Dominique Moreau

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    Lecture proposée : Psaume 24.

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  • Wednesday 3 January 2024

    I leave you peace, I give you my peace. I do not give it to you as the world gives. Let not your heart be troubled or alarmed. John 14.27

    Perfect peace

    On January 3, 2017, although I had always been in good health, after the traditional wishes of good health, I had a violent reaction of the immune system to a viral infection, “Guillain-Barré” syndrome.

    All muscle controls were cut off. Within 24 hours, I found myself totally paralyzed, then put in an induced coma on a ventilator for three and a half months, semi-conscious. And, finally, eighteen months of rehabilitation in hospital.

    During all this time, God's kindness gave me deep peace, a total absence of anxiety. Of course, the physical suffering did not disappear, but the peace of Christ carried me and still carries me today. After three months of bed rest in the same position, without bedsores, the doctors spoke of a miracle. I see the hand of God there, both in the evolution of my illness and in the intervention of competent people at the right time.

    How fragile our life is... for other people, it goes through moments of anguish, doubt and despair.

    At the start of the year, let's reflect. This calendar is here to allow you to choose life by trusting in Jesus Christ who saves us and cares for us. And give you his peace.

    Transmitted by José Frédérick

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    Proposed reading : Psalm 23.

    Source (Live Today)

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  • Mercredi 3 Janvier 2024

    Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous la donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble pas et ne s’alarme pas. Jean 14.27

    Paix parfaite

    Le 3 janvier 2017, alors que j’avais toujours été en bonne santé, après les traditionnels vœux de bonne santé, j’ai eu une réaction violente du système immunitaire à une infection virale, le syndrome « de Guillain-Barré ».

    Toutes les commandes musculaires étaient coupées. En 24 heures, je me suis retrouvé totalement paralysé, puis mis en coma artificiel sous respirateur pendant trois mois et demi, à demi-conscient. Et, pour finir, dix-huit mois de rééducation à l’hôpital.

    Durant tout ce temps, la bienveillance de Dieu m’a donné une paix profonde, une absence totale d’angoisse. Bien sûr, les souffrances physiques n’ont pas disparu, mais la paix de Christ m’a porté et me porte toujours aujourd’hui. Après trois mois d’alitement dans la même position, sans escarres, les médecins ont parlé de miracle. Moi, j’y vois la main de Dieu, tant sur l’évolution de ma maladie, que sur l’intervention des personnes compétentes au bon moment.

    Combien notre vie est fragile... pour d’autres personnes, elle passe par des moments d’angoisse, de doute et de désespoir.

    En ce début d’année, réfléchissons. Ce calendrier est là pour vous permettre de choisir la vie en faisant confiance à Jésus-Christ qui nous sauve et prend soin de nous. Et vous donner sa paix.

    Transmis par José Frédérick

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    Lecture proposée : Psaume 23.

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  • Mardi 2 Janvier 2023

    Heureux ceux dont les iniquités sont pardonnées, et dont les péchés sont couverts ! Romains 4.7

    Signal intérieur

    On pense parfois que les chrétiens passent leur temps à se culpabiliser et à culpabiliser les autres. Mais la foi chrétienne n’est pas un catalogue d’interdictions et d’obligations mortifères, sans aucune indication sur leur finalité. Bien au contraire ! Toute morale, c’est-à-dire toute réflexion sur les valeurs, ne s’oppose pas nécessairement au bonheur.

    D’ailleurs, le bonheur dépend-il de la liberté de faire ce que l’on veut sans la moindre entrave ? Je ne le pense pas car un cadre est nécessaire pour le vivre et construire une existence pleine de sens.

    Il y a, en chacun de nous, une sentinelle intérieure : la conscience. C’est elle qui s’indigne en nous devant le mal, car nous avons été créés à l’image d’un Dieu juste ! Si le voyant de notre conscience s’allume, c’est un signal destiné à produire en nous un changement. Oui, il existe une bonne culpabilité dont je dois tenir compte. Elle ne consiste pas à s’enfermer dans la haine de soi, mais nous invite à passer de la tristesse à la joie d’un changement d’attitude.

    C’est Jésus-Christ qui vous permettra d’y parvenir : il déclare que vous êtes incapable d’y arriver par vos propres forces, mais, il peut et veut le faire pour vous ! Il vous rapproche de Dieu pour que vous puissiez lui abandonner votre culpabilité, trouver le pardon, la joie... être sauvé.

    Aurélien Bloch

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    Lecture proposée : Lettre aux Romains, chapitre 4, versets 3 à 25.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • Lundi 1 Janvier 2024

    Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ qui nous a bénis, en Christ, de toute bénédiction... Éphésiens 1.3

    Souhaitons-nous être bénis ?

    À deux reprises, Paul exprime aux Éphésiens le contenu de ses prières en leur faveur. Mais dès après la salutation, il commence par une longue prière de louange de dix versets qui énumèrent tout ce que Dieu, en son incarnation, a accompli en notre faveur. C’est peut-être la première leçon que nous avons à apprendre dans le domaine de la prière. Avant d’énumérer les besoins à lui présenter, bénissons Dieu et prenons le temps de reconnaître et d’énumérer les innombrables raisons qui l’en rendent digne. Paul a, pour cela, utilisé dix verbes. Et quand il en viendra aux bénédictions qu’il réclame pour ses destinataires, il affirmera d’abord qu’il ne cesse de rendre grâces à leur sujet.

    En quelques mots, sa prière de louange se résume ainsi : Qu’il soit béni, lui qui nous a bénis…

    Nous voulons être bénis ? Paul dit : « Il l’a fait ! » Et il ne parle pas de quelques bénédictions occasionnelles variées, mais bien de toute bénédiction ! Toute ! La totalité !

    L’Évangile est bien plus que l’assurance du salut éternel, c’est la proclamation de la volonté divine de nous bénir de toute bénédiction imaginable. Il est vrai que nous est donné d’abord le pardon de nos fautes. Mais ce n’est qu’un commencement ! Que Christ vive en nous et nous en lui pour jouir de tout ce qu’il a prévu pour nous !

    Richard Doulière

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    Lecture proposée : Lettre aux Éphésiens, chapitre 1, versets 1 à 3.

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  • Dimanche 31 Décembre 2023

    Enseigne-nous à bien compter nos jours, afin que nous appliquions notre cœur à la sagesse. Psaume 90.12

    Bien compter ?

    Si mille ans sont un jour aux yeux de Dieu, comme l’indique le verset 4 du psaume 90, et si la vie d’un homme s’élève à 70 ans ou 80 ans pour les plus robustes, comme le rapporte le verset 10, j’en ai déduit que 70 années représentent 1 heure et 40 minutes et 80 font 1 heure et 55 minutes ! Et en continuant ainsi dans ce rapport de calcul, une année pour Dieu correspondrait à un sablier d’une minute et 26 secondes...

    Bien compter ? Bien-sûr, ce psaume ne nous demande pas de faire ce genre de calcul purement mathématique, mais il nous incite à comparer, à peser, à considérer nos jours. Il nous enseigne que le temps appartient à Dieu et que nous devons, dans celui qu’il nous accorde, prendre garde à lui. Prendre garde à sa justice, à la crainte que nous lui devons... (Psaume 90.11)

    Voilà ce que veut dire : compter nos jours ! Ne vivons pas dans l’inconscience et l’insouciance de son autorité. Le contraste entre la puissance de Dieu et notre fragilité, le contraste entre l’éternité de Dieu et notre passage éclair dans ce monde, doivent nous conduire à la sagesse et à l’humilité. Or, le commencement de la sagesse, c’est la crainte de l’Éternel. (Proverbes 9.10)

    Qu’il en soit ainsi dans nos vies. Que Dieu nous enseigne à bien compter...

    Dominique Moreau

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    Lecture proposée : Psaume 90.

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  • Samedi 30 Décembre 2023

    Amen ! Matthieu 6.13

    « Oui », vraiment ?

    Que faisons-nous lorsque nous prononçons ce petit mot à la suite de notre prière ? Amen se traduit par : « Oui, en vérité » ou encore par : « Qu’il en soit ainsi. » Le prononcer, ce n’est pas seulement reconnaître que c’est vrai ou que nous approuvons, c’est encore nous engager pour qu’il en soit ainsi !

    C’est d’abord un acquiescement : « Ce que j’ai dit, je le désire réellement et je veux le traduire dans les actes pour autant que cela dépende de moi. »

    C’est aussi une parole d’alliance, un peu comme le « oui » d’engagement des nouveaux mariés. Amen, viens, Seigneur Jésus doit vraiment signifier : « Je t’attends, Seigneur ; je me prépare à t’accueillir. »

    Et c’est une parole de communion. Par l’amen, les chrétiens réunis font de l’adoration ou de la prière une démarche communautaire.

    Et si, parfois, les amen semblent trop nombreux ou systématiques pour être réellement pensés, que dire de tant de nos milieux où ils sont quasiment absents ?

    Disons-le, mais pas à la légère. Soyons conscients qu’il est engagement. Ne le disons donc pas pour le démentir tôt après par notre manière de vivre. C’est cette dernière qui constitue l’amen véritable si nous en avons banni toute tiédeur, si nous vivons dans la droiture, la limpidité et la lumière que Dieu nous propose.

    Richard Doulière

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    Lecture proposée : 1ère lettre aux Thessaloniciens, chapitre 5, versets 16 à 24.

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  • Vendredi 29 Décembre 2023

    Ouvre mes yeux pour que je contemple les merveilles de ta loi ! Psaume 119.18 Version Segond 21

    Des instruments hors pairs

    Avez-vous jamais rendu grâces à Dieu pour vos yeux qui vous permettent de voir et de vous diriger ? Je ne l’avais jamais fait avec autant d’ardeur que depuis qu’une hémorragie s’est produite dans l’un de mes yeux, réduisant considérablement ma vision. Depuis, je n’ai cessé de lui rendre grâces pour mon autre œil qui me permet encore de voir, et surtout de lire sa Parole.

    L’œil est un prodige de technologie qu’aucun appareil photo n’a pu vraiment égaler. Sa conception et sa réalisation, à partir d’une seule cellule microscopique fécondée, ne peut provenir que d’une intelligence incomparable. La Bible affirme : L’oreille et l’œil, c’est l’Éternel qui les a faits l’un et l’autre (Proverbes 20.12).

    Jésus a dit : L’œil est la lampe du corps. Si ton œil est en bon état, tout ton corps sera éclairé ; mais si ton œil est en mauvais état, tout ton corps sera dans les ténèbres (Matthieu 6.22-23). Par cette comparaison, Jésus précise que notre conscience est comme un œil. Il convient qu’elle soit en bon état pour mener une vie morale et spirituelle qui le glorifie. Or, elle ne peut l’être que si Dieu nous purifie de tout péché. Il le fera si nous acceptons le Christ. À la croix, Jésus a offert sa vie en sacrifice pour expier nos péchés et nous sauver. Que [Dieu] illumine les yeux de votre cœur, pour que vous sachiez quelle est l’espérance qui s’attache à son appel (Éphésiens 1.18).

    Yves Perrier

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    Lecture proposée : Lettre aux Éphésiens, chapitre 1, versets 15 à 21.

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