• Samedi 10 Février 2024

    Aucun rêve n'est trop grand !

    Hébreux 11.24 et 25 – C’est par la foi que Moïse, devenu grand, refusa d’être appelé fils de la fille de Pharaon, aimant mieux être maltraité avec le peuple de Dieu que d’avoir pour un temps la jouissance du péché.

    Moïse avait été sauvé des eaux et avait grandi à la cour du royaume le plus puissant de l’époque : l’Égypte. Une brillante carrière était ouverte devant lui et finalement, n’était-ce pas l’Éternel qui avait conduit son destin pour qu’il se retrouve là ? Pourtant, jour après jour, naissait dans son cœur une frustration, une insatisfaction, un désir profond d’autre chose...

    Dès sa naissance, Moïse avait un appel sur sa vie : celui d’être un libérateur pour les Hébreux ! Certains pourraient penser qu’étant à un poste clé, il aurait pu influencer le gouvernement égyptien pour qu’il donne plus de privilèges aux Israélites et quelquefois Dieu agit ainsi, mais pas dans ce cas. En fait, il y avait un fort « contentieux » entre Pharaon et Dieu et Celui-ci voulait montrer toute Sa grandeur et Sa puissance : une sorte de leçon à ce roi imbu de lui-même au point de défier le ciel.

    Dieu a préparé son serviteur au travers de difficiles épreuves et quand il fut prêt, à Ses yeux, Il l’envoya. Ma réflexion c’est : avons-nous déjà « médité » sur notre destinée, et si oui, y sommes-nous entrés ou vivons-nous une frustration dans notre être ? Je pense sincèrement que nous ne serons pas satisfaits tant que nous ne serons pas entrés dans le pourquoi Dieu nous a créés ! Nous sommes peut-être dans une situation très confortable mais le bonheur semble s’échapper tout le temps. Nous avons tout pour être heureux mais, au plus profond de nous-mêmes, nous ne le sommes pas !

    Mes bien-aimés, si c’est votre cas, n’attendez pas un jour de plus. Bien sûr que suivre votre destinée aura un prix, bien sûr que vous quitterez peut-être le confort d’un palais pour la vie rude d’un désert. Probablement que votre entourage dira que vous êtes fous mais... aucun rêve n’est trop grand s’il vient de Dieu, aucun rêveur n’est trop petit s’il est envoyé par Dieu ! Réfléchissons bien à ce verset : « Pourquoi pesez-vous de l’argent pour ce qui ne nourrit pas ? Pourquoi travaillez-vous pour ce qui ne rassasie pas ? Écoutez-moi donc, et vous mangerez ce qui est bon, et votre âme se délectera de mets succulents » (Ésaïe 55.2). Nous vous conseillons néanmoins la plus grande prudence ! Il est impératif que notre rêve vienne de Dieu et que nous soyons mandaté par Lui, et Lui seul !

    Bonne réflexion.

    Pasteur Claudy

    Source (Centre Apostolique EZ37M) https://wp.ez37m.com

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  • Vendredi 9 Février 2024

    Plus un enfant ?

    1 Corinthiens 13.11 – Lorsque j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; lorsque je suis devenu homme, j’ai fait disparaître ce qui était de l’enfant.

    Il existe des saisons dans notre vie où certains de nos comportements sont normaux, mais ils perdent cette normalité quand nous entrons dans une autre saison. C’est tout à fait normal qu’un enfant réagisse d’une certaine manière, mais si un adulte adopte les mêmes réactions, son entourage trouvera qu’il y a quelque chose de « pas normal ». Si c’est une vérité dans le monde physique, c’est aussi vrai dans le domaine de la croissance spirituelle.

    Quels sont ces comportements enfantins que nous pouvons retrouver chez l’adulte. Par exemple, réagir comme un enfant à qui l’on prend son jouet quand un automobiliste prend la place de parking que nous envisagions de prendre. Autre exemple : accuser les autres de méfaits parce que l’on nous reproche quelque chose. Un jour j’ai pris une « prune », j’étais adolescent, parce que je ne roulais pas sur la piste cyclable avec ma mobylette. J’ai essayé de convaincre le policier qui verbalisait que le samedi soir, c’était impossible de rouler sur la piste cyclable tellement les voitures se garaient n’importe où, mais nous n’étions pas samedi soir, et j’ai eu ma « prune » ! Je n’avais aucune excuse de ne pas avoir emprunté la piste cyclable. Autre exemple : être pris sur le fait en train de faire une bêtise et dire : « Ce n’est pas moi, ce n’est pas ma faute... ».

    La liste pourrait être longue mais je pense que vous voyez ce que je veux dire. Dans le domaine de la vie chrétienne, c’est malheureusement ce qui arrive trop souvent. Nous ne parlons pas ici de nouveaux convertis, mais de chrétiens qui ont déjà quelques années de conversion et qui se comportent comme des enfants « gâtés ». Je hais le frère untel parce qu’il s’assoit sur MA chaise. J’utilise ma langue pour médire mais la sœur unetelle c’est pire, elle dit des gros mots. Un « petit » dans la foi est blessé par ces bavardages mais ce n’est pas moi, je n’ai dit que la vérité.

    Pas besoin d’en dire plus. Mes bien-aimés, analysons nos comportements pour voir s’ils sont imprégnés de maturité. L’enfantillage fait beaucoup de dégâts dans les communautés et plus d’un leader est au bord du « burnout » à cause de ce phénomène. Tendons toujours plus vers le haut, ayons un désir sincère de grandir dans la foi. Quand le Seigneur reviendra, trouvera-t-Il en nous un père spirituel ou un enfant ?

    Bonne réflexion.

    Pasteur Claudy

    Source (Centre Apostolique EZ37M) https://wp.ez37m.com

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  • Jeudi 8 Février 2024

    Diabolos !

    2 Timothée 3.2 et 3 – Car les hommes seront... calomniateurs.

    Tout est dit au travers du mot grec qui est traduit par calomniateurs, c’est le mot « diabolos » ! Il n’y a pas de plus grande évidence : celui qui calomnie est un « diable » ! Alors pourquoi les enfants de Dieu prêtent leur bouche à la calomnie ? C’est un mystère et j’avoue franchement que je ne comprends pas.

    Ma réflexion me pousse qu’à une seule réponse : ces chrétiens sont trompés ! Ils s’autorisent le droit de calomnier car ils sont persuadés que « la vérité doit éclater » ou « que ce n’est pas si grave ». Pas si grave ? Et si le sort éternel des calomniateurs était celui du grand « diabolos » ?

    Où commence la calomnie ? Quand je propage des « informations » plus ou moins justes sur quelqu’un dans le but de nuire à sa réputation ! Je ne suis peut-être qu’un colporteur, parce que j’aime ça, c’est croustillant, il faut bien meubler la conversation... Que nous soyons l’initiateur ou l’oreille-bouche appropriée, c’est du pareil au même : diabolos.

    La première bonne décision que nous pourrions prendre, c’est de réfléchir au pourquoi nous parlons de cette manière de telle ou telle personne. Quelle est ma motivation ? Quels sont mes sentiments ? Franchement, si le Seigneur apparaissait pendant que je parle, serai-je confus(e) ?

    La seconde décision serait de ne plus jamais parler négativement sur qui que ce soit et si je suis dans le trouble par rapport à untel, de l’exposer au Seigneur dans une prière d’intercession.

    Mes bien-aimés, il y a des vérités intrinsèques : si quelqu’un calomnie « Marcel » devant vous, il vous calomniera devant « Marcel ». Si le peuple de Dieu ne calomniait plus, il serait beaucoup plus puissant qu’il ne l’est. Une louange que Dieu agrée ne peut pas sortir par une bouche qui se livre au diable. Ce qu’un homme sème, il le moissonnera aussi et la récolte sera abondante...

    Bonne réflexion.

    Pasteur Claudy

    Source (Centre Apostolique EZ37M) https://wp.ez37m.com

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  • Mercredi 7 Février 2024

    Á propos d'humilité !

    Éphésiens 4.2 – en toute humilité et douceur...

    Je trouve qu’il y a beaucoup de confusion en ce qui concerne l’humilité. Nous avons tendance à croire qu’elle se manifeste en gestes extérieurs pourtant, j’ai pu constater des comportements « lèche-botte » ou des « simulacres » qui étaient enracinés dans un orgueil démesuré.

    L’humilité n’est pas non plus un sentiment d’infériorité, de subordination aveugle ou de soumission accablante. En fait l’humilité, c’est savoir qui nous sommes en Dieu et quelle est notre sphère d’autorité et notre sphère de soumission, car mes bien-aimés, nous sommes tous confrontés à exercer l’autorité à certains moments et l’obéissance à d’autres. L’un ne va pas sans l’autre et en Dieu, au plus nous serons obéissants, au plus Il nous revêtira d’autorité et soyons bien conscients qu’exercer l’autorité que Dieu nous a donné n’est pas un manque d’humilité.

    Je prends un exemple : si vous n’êtes pas bricoleur et que vous ayez une fuite d’eau, vous allez faire appel à un plombier. Vous allez vous soumettre à ses compétences et même le payer pour cela. Imaginez que quand celui-ci arrive, vous lui dites : « J’ai une fuite d’eau, donc vous allez effectuer la réparation de telle et telle manière... ». Un jour j’ai reçu une Parole très forte sur mon cœur : « Ce n’est pas le menuisier qui doit dire à l’ébéniste comment faire son meuble ! ». Pourtant tous les deux travaillent le bois ! Dans la maisonnée et dans la communauté, c’est la même chose. L’humilité m’apprendra à connaître mes propres compétences mais aussi mes propres limites, de qui je suis le prolongement et qui est mon prolongement.

    L’humilité m’apprendra aussi à faire confiance dans le potentiel de l’autre, elle fera tomber toute compétition, toute animosité et toute envie. Quand nous sommes conscients de notre identité en Christ, nous n’avons pas besoin de rivaliser ou de dominer, nous ne nous sentons pas non plus écrasés.

    Je vous laisse avec cette promesse : « L’humilité précède la gloire » (Proverbes 18.12).

    Bonne réflexion.

    Pasteur Claudy

    Source (Centre Apostolique EZ37M) https://wp.ez37m.com

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  • Mardi 6 Février 2024

    La vitrine

    Jean 7.24 – Ne jugez pas selon l’apparence, mais jugez selon la justice.

    Je suppose que vous vous êtes déjà promenés en ville afin de flâner, et simplement regarder les vitrines, juste pour le plaisir de faire une balade et de regarder un peu ce qui se fait. En fonction de notre âge, de la tendance actuelle, de notre milieu social... nous allons nous diriger vers telle ou telle vitrine qui est là juste pour frapper notre regard et bien évidemment, nous pousser à entrer dans le magasin pour consommer. Tout cela, jusqu’ici nous paraît normal !

    Pourtant, qu’elle ne fut pas ma surprise un jour d’entendre l’épouse d’un pasteur me dire que l’estrade et bien sûr, tout ce qui se faisait dessus, était la vitrine de l’église : chantres, prédicateurs... Cette remarque m’a laissée bouche bée ! Et oui, cela m’arrive !

    Si l’estrade est considérée comme une vitrine et malheureusement c’est souvent le cas, cela oblige ceux qui y fonctionnent à jouer un rôle. Récemment, nous entendions encore un pasteur dire que pour beaucoup de chrétiens, le pasteur doit toujours être souriant, en costume cravate, et bien sûr, tout doit aller nickel dans sa vie. Cette mentalité met un poids sur ceux qui servent Dieu et les pousse bien souvent dans une sorte de rôle, ce qui ne devrait pas être !

    Deuxièmement, à l’instar des vitrines des magasins, ce qui se passe derrière celles-ci est souvent loin d’être aussi glorieux.

    Enfin, cette optique occulte complètement tous ceux qui servent Dieu fidèlement mais qui n’ont pas leur place sur l’estrade. Ils sont pourtant la grosse partie de l’iceberg et ceux qui fonctionnent sur l’estrade doivent être bien conscients que si « ces autres » n’étaient pas là, ils ne seraient pas là non plus ! Si Dieu nous a placés sur l’estrade, n’oublions jamais qu’il ne faut pas avoir l’apparence de la piété et en renier ce qui en fait la force : l’humilité et la vérité. Nous serons complètement démunis si à côté de cela, nous n’avons pas une vie cachée en Dieu. N’oublions pas aussi que notre seule capacité vient du Saint-Esprit et que si nous avons reçu cinq talents, nous n’avons pas plus de mérite que celui qui en a reçu deux ou un. C’est à la fin des choses que nous saurons si nous avons été fidèles.

    D’autre part, si je trouve le mot vitrine inapproprié quant à l’exercice du ministère, le mot miroir me semble bien mieux correspondre. En effet, notre service pour Dieu ne doit être que le reflet de notre vie cachée en Dieu. Et n’oublions pas : « Tout ce qui brille n’est pas or ! ».

    Bonne réflexion.

    Pasteur Corinne

    Source (Centre Apostolique EZ37M) https://wp.ez37m.com

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  • Monday 5 February 2024

    Ready for this ?

    Luke 15:4 – Which of you, if he has a hundred sheep and loses one, does not leave the other ninety and nine in the wilderness and go in search of the one that is lost until that he found her ?

    I would like us, servants of God, to take an example from the Lord’s way of doing things ! And to illustrate the approach of the Lord Jesus, we could reflect on the story of the Gerasene. Jesus was surrounded by a crowd who listened attentively to his preaching. However, He commands his disciples to cross to the other side of the lake. He himself is very tired since he will sleep deeply during this crossing while a storm rages. Arriving on the other side, He will free a man from his demons, a great miracle and yet, the inhabitants will beg him to leave. We can say with certainty that He only touched one person on this journey. When He crosses the lake again, He will find a crowd waiting impatiently for Him.

    This story is the most beautiful example of the Good Shepherd who goes looking for a single lost sheep in the night. My beloved, can we think further to examine our own behavior ? Who among us would leave a large crowd, which drinks in our words, to go after a single person ? If we had two invitations to minister at the same time, one 1,000 people in a large room and the other 5 people in a house, who would choose the house ? Or at least who would seek the face of the Lord to know where he should go ? Can we answer this question honestly ?

    Dear brothers and sisters in Christ, the importance is not the number, but the divine appointment! Despite a super busy schedule, the Lord knew how to make time for the individual. I would like to honor pastors who give their all for a very small community. Having attended pastoral services, I know that the question that often arises is : “How many members do you have in your community ?”. Frustration for those who announce a number below 3 digits. My brothers, you will be rewarded according to your faithfulness, not according to the number. Just one to rescue is worth traveling many kilometers despite fatigue and devoting yourself entirely to this task.

    Good reflection.

    Pastor Claudy

    Source (EZ37M Apostolic Center) https://wp.ez37m.com

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  • Lundi 5 Février 2024

    Prêts pour cela ?

    Luc 15.4 – Lequel d’entre vous, s’il a cent brebis et qu’il en perde une, ne laisse pas les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller à la recherche de celle qui est perdue jusqu’à ce qu’il l’ait retrouvée ?

    J’aimerais que nous, serviteurs de Dieu, nous tirions exemple de la façon de faire du Seigneur ! Et pour illustrer la démarche du Seigneur Jésus, nous pourrions réfléchir à l’histoire du Gérasénien. Jésus était entouré d’une foule qui écoutait attentivement sa prédication. Pourtant, Il commande à ses disciples de passer de l’autre côté du lac. Lui-même est très fatigué puisqu’Il va dormir profondément lors de cette traversée alors qu’une tempête fait rage. Arrivé de l’autre côté, Il va libérer un homme de ses démons, grand miracle et pourtant, les habitants vont le prier de s’en aller. Nous pouvons dire avec certitude qu’Il n’a touché qu’une seule personne lors de ce voyage. Quand Il retraversera le lac, Il retrouvera une foule qui L’attend avec impatience.

    Cette histoire est le plus bel exemple du Bon Berger qui va chercher une seule brebis perdue dans la nuit. Mes bien-aimés, pouvons-nous pousser la réflexion jusqu’à examiner notre propre comportement ? Qui d’entre nous laisserait une foule nombreuse, qui boit nos paroles, pour aller chercher une seule personne ? Si nous avions deux invitations à exercer le ministère qui tombent en même temps, d’un côté 1.000 personnes dans une grande salle et de l’autre 5 personnes dans une maison, qui choisirait la maison ? Ou du moins qui chercherait la face du Seigneur pour savoir où il doit aller ? Pouvons-nous répondre honnêtement à cette question ?

    Chers frères et sœurs en Christ, l’importance n’est pas le nombre, mais le rendez-vous divin ! Malgré un planning super chargé, le Seigneur a su prendre le temps pour l’individu. J’aimerais honorer les pasteurs qui se donnent à fond pour une très petite communauté. Pour avoir fréquenté les pastorales je sais que la question qui se pose souvent c’est : « Combien de membres as-tu dans ta communauté ? ». Frustration pour ceux qui annoncent un nombre en dessous des 3 chiffres. Mes frères, vous serez récompensés en fonction de votre fidélité, pas en fonction du nombre. Un seul à secourir vaut la peine de faire de nombreux kilomètres malgré la fatigue et de se consacrer entièrement à cette tâche.

    Bonne réflexion.

    Pasteur Claudy

    Source (Centre Apostolique EZ37M) https://wp.ez37m.com

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  • Dimanche 4 Février 2024

    Des cordes d'amour !

    Osée 11.4 (Semeur) – C’est par des liens d’une tendresse tout humaine et des cordes d’amour que je le conduisais...

    Ce verset exprime toute la « frustration » du Père Céleste. Il a fait sortir Israël d’Égypte par des miracles puissants, Il en a pris soin au désert, répondant à tous ses besoins essentiels, Il lui a donné un merveilleux pays et pourtant... Celui-ci est resté rebelle, provocateur et désobéissant. Il a littéralement piétiné tout l’amour que l’Éternel lui a manifesté.

    Savez-vous que le Seigneur veut nous conduire avec des « cordes d’amour » ? « Mon joug est doux et mon fardeau léger » nous a dit Jésus (Matthieu 11.30) ! Cependant, sommes-nous suffisamment soumis pour accepter ce joug et ce fardeau ? Le comportement de tant de chrétiens aujourd’hui nous laisse à penser qu’ils n’ont ni dieu ni maître et qu’ils ont pris une décision ferme de faire ce qu’ils veulent !

    Pourtant si nous prêtons attention, nous sentirons ces liens de tendresse qui nous attirent à Lui. Nous verrons que les sentiments qui L’animent sont paternels et maternels, cherchant le chemin de la sécurité pour nos vies. Ne doutons jamais que si Dieu nous freine, nous pousse vers la gauche ou vers la droite, c’est pour notre entier épanouissement et notre protection ! Quand nous Le laissons prendre les rênes de notre vie, Il nous conduit avec des cordes d’amour.

    Mes bien-aimés, nous sommes bienheureux si nous avons compris que toutes les directives de sa Parole ne sont que des liens de tendresse ! Nous avons tellement souvent une image déformée de qui est notre Dieu. Nous pensons trop souvent encore qu’Il est intransigeant et dur. Si seulement nous acceptions de nous laisser envahir par son affection pour nous. Oui Dieu t’aime d’un amour tout particulier et Il désire te conduire vers les verts pâturages.

    Bonne réflexion.

    Pasteur Claudy

    Source (Centre Apostolique EZ37M) https://wp.ez37m.com

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  • Samedi 3 Février 2024

    Le ciel sur la terre !

    Matthieu 6.10 – ... Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.

    Nous pourrions traduire ce verset comme ceci : « Que ta volonté qui est faite au ciel vienne à l’existence sur la terre ou surgisse dans notre histoire ! ». Savez-vous qu’il y a un monde parallèle ? Il y a le naturel mais aussi le surnaturel, le physique mais aussi le spirituel ! Le surnaturel de Dieu cherche un point de contact dans le naturel pour que le miraculeux vienne à l’existence dans le monde physique.

    Le Seigneur Jésus a été ce point de contact. N’a-t-Il pas dit : « En vérité, en vérité, vous verrez désormais le ciel ouvert et les anges de Dieu monter et descendre sur le Fils de l’homme » ? (Jean 1.51). L’échelle de Jacob est un autre exemple ou le spirituel fait une incursion dans le physique. Moïse, est entré dans le surnaturel pour voir l’existence du Tabernacle tel qu’il devait être sur terre (Hébreux 8.5). Dieu se cherche des hommes et des femmes qui vont être ce point de contact qui va amener la volonté parfaite de Dieu, sa volonté de guérir, de sauver, de délivrer l’humanité ; des hommes et des femmes qui vont amener sur terre ce qui se passe au ciel !

    Mes bien-aimés, nous pouvons être vous et moi ce point de contact ! Nous avons besoin pour cela d’ouvrir notre esprit au surnaturel de Dieu, d’avoir cette foi qui appelle à l’existence ce qui n’existe pas encore dans notre histoire. Nous pouvons, comme Moïse, faire une incursion dans le surnaturel pour « voir » la volonté de Dieu, pour « voir » le malade guéri, pour « voir » la vie abondante réservée aux enfants de Dieu... Non seulement pour voir, mais aussi pour amener à l’existence, à la réalisation, dans notre réalité physique.

    Puissions-nous être ce point de contact, cette échelle de bénédiction où les anges viennent apporter sur terre toutes les grâces qui sont devant le trône de Dieu. Oui Seigneur, fais de moi ce point de contact entre le ciel et la terre et que ta volonté soit « fête » !

    Bonne réflexion.

    Pasteur Corinne

    Source (Centre Apostolique EZ37M) https://wp.ez37m.com

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  • Vendredi 2 Février 2024

    L'humanité de Jésus !

    Philippiens 2.7 – (Il) s’est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes.

    Notre verset fait référence au Seigneur Jésus. J’aimerais que nous posions notre réflexion sur l’humanité de Jésus. Beaucoup d’enfants de Dieu ont encore du mal à discerner qui était Jésus quand Il était sur la terre. Ce qu’Il était à cette époque n’est plus ce qu’Il est aujourd’hui : Il est dans la gloire, Il a reçu le nom qui est au-dessus de tous les noms, Il est Seigneur des seigneurs, Roi des rois… Néanmoins, pour nous laisser pleinement pénétrer par l’exemple qu’Il a été, nous devons percevoir son humanité.

    En venant sur terre, le Seigneur Jésus n’a pas perdu sa divinité, mais Il s’en est volontairement dépouillé. Il a accepté, par humilité, d’être limité comme un être humain normal. La puissance qui accompagnait son ministère n’était pas le fait qu’Il est Dieu, mais le fait de sa consécration et de son intimité avec le Père. Ses victoires, Il les a remportées sur ses genoux, par le jeûne et la prière. Ce n’était certes pas plus facile pour Lui, au contraire, tout ce qu’Il a vécu : la souffrance et le rejet, l’opposition et la critique, l’abandon et la solitude... Il les a vécus dans la faiblesse de l’humanité, son seul secours venant de sa relation profonde avec son Père et la présence du Saint-Esprit.

    Mes bien-aimés, si nous comprenons cela, nous pourrons être pleinement encouragés par son exemple. Si Lui y est arrivé, malgré toutes ses limitations, cela veut dire que nous aussi nous pouvons y arriver ! La souffrance fait peut-être partie de notre vie mais convenons qu’elle n’est pas à la mesure de la souffrance que Christ a subie.

    Jésus Lui-même n’a-t-Il pas dit que nous ferions de plus grandes œuvres ? (Jean 14.12). Comment cet Homme a-t-Il été plus que vainqueur ? Par une dépendance totale à Dieu. En ne faisant rien, même en ne disant rien qui ne soit en plein accord avec l’œuvre et les Paroles de Dieu. En se réfugiant dans une présence intimiste avec Dieu, en utilisant la Parole comme une épée, en obéissant aux injonctions du Saint-Esprit. Que cet exemple exemplaire nous parle, nous encourage, nous console, nous donne de l’audace, nous fasse crier avec joie : « Quand je suis faible, je suis fort » ! (2 Corinthiens 12.10).

    Bonne réflexion.

    Pasteur Claudy

    Source (Centre Apostolique EZ37M) https://wp.ez37m.com

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