• Le chrétien sans crainte, le moment décisif

    Laissez-moi vous raconter l’histoire africaine de l’éléphant et de la fourmi. Un éléphant traversait un pont branlant et une petite fourmi était assise sur l’éléphant tout juste derrière l’énorme oreille. Le pont tremblait alors qu’il traversait, et quand ils furent en sécurité de l’autre côté, la fourmi dit à l’éléphant : « Dis-donc, nous avons bien fait bouger ce pont, n’est-ce pas ? ». Cette histoire représente la relation que nous avons avec Dieu quand nous nous reposons sur lui. Il nous porte (Ésaïe 46:4). Il fait bouger le pont. Il place... il édifie notre foyer, notre église, nos affaires. Le Seigneur nous conduit au succès. Par lui, nous réalisons que l’impossible devient possible.

    La foi fait la différence. C’est la distinction la plus élémentaire entre deux personnes. Le monde entier se tient soit d’un côté, soit de l’autre côté de la ligne de la foi. Il n’existe en fait que deux catégories de personnes, ce ne sont pas les riches et les pauvres, les blancs et les noirs, les savants et les ignorants, les juifs et les grecs, les hommes et les femmes. Aucune de ces distinctions n’existe réellement en Christ. Pour Dieu, il n’y a que les croyants et les incrédules. « Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui croira pas sera condamné » (Marc 16:16).

    La foi appartient à une nouvelle dimension. L’incrédulité appartient à la dimension qui est appelée à disparaître. La foi est la ligne de démarcation tracée parmi l’humanité. Avoir la foi ou non est l’alternative à notre manière d’appréhender la vie.

    La crainte voit uniquement ce que l’homme voit. La foi, elle voit ce que Dieu voit, et en reçoit l’accomplissement. La foi engendre l’action et des hommes et des femmes d’action, comme Caleb et Josué. L’incrédulité nous maintient dans un désert spirituel, comme Israël l’a été pendant tant d’années. La crainte et le doute amplifient les difficultés, nous faisant croire que personne ne peut être gagné pour Christ et que le monde est trop fort. Sans la foi, nous craignons l’échec et la moquerie. La foi dit que des hommes et des femmes peuvent être gagnés, et nous sommes remplis de joie. Par la foi, nous passons du minimum au maximum.

    Jérémy Sourdril

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