Mardi 16 Avril 2024

Ne vous inquiétez de rien, mais, en toutes choses, exposez vos requêtes à Dieu par des prières et des supplications avec des actions de grâces ; et la paix de Dieu... gardera vos coeurs et vos pensées en Jésus-Christ. Philippiens 4. 6, 7

Dieu nous écoute

Dieu aime que nous lui disions tout ce que nous avons sur le coeur : petits soucis ou grandes inquiétudes, peines d'un jour ou tristesses profondes, besoins quotidien ou grandes décisions. Apportons tout au Seigneur : une contrariété, une parole blessante, un problème d'argent, un chagrin. Ce que nous n'osons pas confier même à un ami, nous pouvons sans crainte en parler à notre Dieu. Il n'est pas trop grand pour nos petits problèmes, et n'est jamais dépassé par les plus grands.

Comment prier ? On peut prier seul ou avec d'autres, en silence ou à haute voix, à genoux ou au volant de sa voiture, ou encore cloué au lit... Pierre priait sur la toit en terrasse de la maison (Actes 10. 9), Jonas dans le ventre d'un poisson (Jonas 2. 2), Paul sur un navire en perdition dans la tempête (Actes 27. 35). Jésus priait sur la montagne (Matthieu 14. 23) ; il a prié dans un jardin la veille de sa crucifixion.. et sur la croix, dans de terribles souffrances (Luc 22. 41, 42 ; 23. 34).

Nous pouvons également prier pour les besoins des autres : pour les malades, ceux qui souffrent, ceux qui sont persécutés à cause de leur foi, pour tous ceux qui ne connaissent pas Jésus comme leur Sauveur, pour les autorités qui nous gouvernent, pour les serviteurs de Dieu qui annoncent l'évangile, pour nos familles, nos voisins, nos collègues... et même pour ceux qui nous font du tort (Luc 6. 28).

Soyons des hommes et des femmes qui combattent par la prière, car notre Dieu aime répondre aux siens qui s'adressent à lui.

Source (La Bonne Semence)

Lundi 15 Avril 2024

Qui est-ce qui dit une chose, et elle arrive, quand le Seigneur ne l'a pas commandée ? Lamentations de Jérémie 3. 37

Celui qui a tout bâti, c'est Dieu. Hébreux 3. 4

Dieu... seul est sage. Romains 16. 27

Toutes choses proviennent de Dieu

Dieu nous parle parfois par des événements qui nous amènent à nous interroger : un décès, une maladie, une souffrance physique ou morale... De telles circonstances n'arrivent pas par hasard, comme l'indique le verset du jour. Ainsi, les situations en apparence les plus défavorables peuvent devenir, entre les mains de Dieu, source de bénédiction.

La Bible nous en fournit une illustration par la vie de Joseph (Genèse chapitres 37 à 50). Vendu comme esclave, il se retrouve en Égypte au service d'une haute autorité, puis, au moment où ses conditions s'existence semblent plus favorables, il est accusé à tort de tentative de viol, et jeté en prison. Malgré tout, Joseph ne se plaint pas de sa situation et continue à se confier en Dieu, qui veille sur lui. Il sera effectivement libéré, et sera utilisé par Dieu pour gérer avec sagesse une période compliquée de famine dans cette région du monde.

Ainsi à travers les épreuves de notre vie, c'est bien Dieu qui agit. Il veut nous faire faire l'expérience de son amour et de sa puissance d'une manière toute particulière : soutien, consolation, tendresse, délivrance... Le chrétien peut ainsi expérimenter ces beaux textes de la Bible : "Nous savons que toutes choses travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein... Dans toutes ces choses, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés" (Romains 8. 28, 37).

Source (La Bonne Semence)

Dimanche 14 Avril 2024

Ayant... une pleine liberté pour entrer dans les lieux saints par le sang de Jésus,... approchons-nous avec un coeur vrai, en pleine assurance de foi. Hébreux 10. 19-22 Version Darby

Défense d'entrer

- Dès qu'Adam et Ève, nos premiers parents, ont péché, Dieu a dû les chasser du jardin d'Éden. Un ange en a gardé l'accès, sa présence signifiait : "Défense d'entrer" !

- Quand Moïse a conduit les Hébreux hors d'Égypte, Dieu les a accompagnés. Il habitait à l'intérieur d'une tente, dans une partie appelée "lieu très saint". Seul le grand sacrificateur Aaron pouvait y pénétrer, une fois par an. Pour les autres, c'était encore : "Défense d'entrer" !

- Quand Dieu a fait monter Moïse sur le mont Sinaï, en vue de lui donner sa Loi pour son peuple, il a ordonné qu'on mette des barrières en bas pour que personne n'approche sous peine de mort. C'était : "Défense d'approcher" !

- Dans le temple construit par Salomon, et reconstruit par Hérode du temps de Jésus, le "lieu très saint" était fermé par un voile de 5 m de hauteur. Là encore, sauf pour le grand sacrificateur une fois par an, pour les autres, c'était toujours : "Défense d'entrer" !

Le péché constitue un obstacle absolu entre le Dieu saint et l'homme pécheur... Voilà pourquoi l'homme ne pouvait pas accéder à Dieu.

Mais quand Jésus est mort, le voile qui barrait l'accès du lieu très saint s'est déchiré en deux, depuis le haut jusqu'en bas (Marc 15. 38). Ce n'est donc pas un homme qui l'a déchiré, c'est Dieu lui-même. Ce voile déchiré évoque le sacrifice de Christ, ses souffrances et sa mort. C'est à ce prix que l'accès à Dieu est ouvert désormais à l'homme pécheur, par le sang de Jésus !

Le croyant peut s'approcher de Dieu en paix et avec confiance, "en pleine assurance de foi" (verset cité).

Source (La Bonne Semence)

Samedi 13 Avril 2024

Je vous donnerai un cœur nouveau, et je mettrai en vous un esprit nouveau ; j’ôterai de votre corps le cœur de pierre, et je vous donnerai un cœur de chair. Ézéchiel 36. 26

Un coeur de pierre

Dans les rues d'une grande ville, une chrétienne distribuait régulièrement, de la main à la main, des feuillets sur divers sujets bibliques. Sur la place devant la gare, un chauffeur avait souvent accepté ces feuillets. Pourtant, un jour, il les refusa par un vigoureux merci !

- Oh ! le dernier ne vous a pas plu ? demanda-t-elle.

- Si, mais si je continu à les lire, il faudra que la vie change... Impossible !

Attitude compréhensible si on ne connaît pas la puissance de Jésus-Christ le Sauveur, qui délivre des addictions. Et Dieu ne s'attend pas à ce que quelqu'un, par sa propre force, change sa manière de vivre sans Dieu. L'homme est incapable de transformer son ancien "coeur de pierre". Dieu attend que cette vie sans lui nous apparaisse comme un échec, que nous lui confessions nos péchés et que nous croyions qu'il peut et veut nous délivrer.

Dieu nous accorde alors sa paix, il nous donne une vie nouvelle, un coeur nouveau qui aime le bien. Il nous donne aussi la force de faire le bien, et de fuir le mal, de le rejeter. Dieu lui-même opère ce changement radical : de nouveaux motifs et de nouveaux buts, conformes à la volonté de Dieu, animent la vie du croyant.

Cet homme aura-t-il fait le choix de se confier en Dieu, de renoncer à ses habitudes qu'il aimait et qu'il savait ne pas être approuvées par Dieu ? Ne craignons pas un tel changement, utile pour notre vie sur la terre, et capital pour l'au-delà. "Je qui avec toi pour te sauver et pour te délivrer, dit l'Éternel" (Jérémie 15. 20).

Source (La Bonne Semence)

Vendredi 12 Avril 2024

Le cœur est trompeur par-dessus tout, et incurable ; qui le connaît ? Moi, l’Éternel, je sonde le cœur. Jérémie 17. 9, 10

(Jésus dit ) : Il vous faut être nés de nouveau. Jean 3. 7

Nécessité d'un changement radical

L’humanité s’améliore-t-elle ? La Bible nous dit que notre cœur est incorrigible, et Jésus ajoute : “C’est du dedans, du cœur des hommes”, que sortent toutes les mauvaises pensées... (Marc 7. 21). Un bref regard intérieur permet à chacun d’en faire le constat.

L’évangile nous apprend alors que nous ne pouvons pas nous améliorer pour être justes devant Dieu. Il nous propose un renouvellement complet : “Il vous faut être nés de nouveau”, dit Jésus à Nicodème (verset cité). Mais comment recevoir cette vie nouvelle ? Jésus répond : “Si quelqu’un n’est pas né d’eau et de l’Esprit, il ne peut pas entrer dans le royaume de Dieu” (Jean 3. 5).

Oui, c’est Dieu qui fait naître cette vie, si je lui ouvre mon cœur et si je crois sa Parole, figurée par l’eau. Elle est puissante par l’Esprit Saint, elle me lave l’être intérieur, elle implante la vie de Dieu en moi, et me fait entrer dans son royaume, où règnent “justice, paix et joie dans l’Esprit Saint” (Romains 14. 17). Jésus dit : “En vérité, en vérité, je vous dis : Celui qui entend ma parole, et qui croit celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient pas en jugement ; mais il est passé de la mort à la vie” (Jean 5. 24). C’est un changement radical qui s’opère dans le croyant : il passe des ténèbres à la lumière. Cette Parole vivante, comme une lampe, vient éclairer toute la noirceur de notre ancienne vie, que nous reconnaissons devant Dieu. En même temps elle nous assure de sa grâce, sur la base du sacrifice de Christ, mort pour nous et ressuscité. Celui qui croit est né de nouveau.

Source (La Bonne Semence)

Jeudi 11 Avril 2024

Garde-moi, ô Dieu ! car je me réfugie en toi. Psaume 16. 1 Version Nouvelle Segond Révisée

Il se lève... un grand tourbillon de vent, et les vagues le jetaient dans la barque, au point qu'elle se remplissait déjà. [Jésus], à la poupe, dormait sur un oreiller. Marc 4. 37, 38

Un bon oreiller - Lire Marc 4. 35-41

La tempête fait rage, la barque se remplit déjà, et va couler d'un instant à l'autre. Les disciples de Jésus sont complètement affolés. Mais lui dort paisiblement à l'arrière de la barque, la tête posée sur un oreiller. Comment peut-il dormir ?

Le secret de sa paix, et "l'oreiller" sur lequel il repose, c'est sa confiance en son Dieu. Sa vie n'est pas menacée par les éléments déchaînés, elle est dans la main de Dieu qui veille sur lui et ne sommeille jamais (Psaume 121. 3). Jésus connaît Dieu, il se repose sur son amour, sa puissance et sa sagesse envers ceux qui lui font confiance. Voilà ce qui compose cet "oreiller" sur lequel repose la tête de Jésus, alors que la barque est sur le point de couler. Il dort, et il est bien le seul !

Mais les disciples le réveillent et lui reprochent son apparente indifférence. Ils doutent de lui : les -t-il oubliés ? Réveillé, Jésus impose silence au vent et à la mer qui lui obéissent instantanément.

Peut-être direz-vous que Jésus pouvait dormir parce qu'il savait qu'il avait la puissance de calmer la tempête ? Mais ce sont ses disciples qui, par leur incrédulités, l'amènent à faire usage de sa puissance de Fils de Dieu, et de Créateur. Délivrés de leurs angoisses, ils l'entendent dire : "Pourquoi êtes-vous craintifs, comment n'avez-vous pas de foi ?"

Pour Jésus, c'était bien sa confiance absolue en son Dieu qui lui permettait de rester paisible dans une telle situation.

Source (La Bonne Semence)

Mercredi 10 Avril 2024

Éternel... tu domines sur toutes choses ; la puissance et la force sont en ta main. 1 Chroniques 29. 12

Que le méchant abandonne sa voie, et l'homme inique, ses pensées ; qu'il retourne à l'Éternel, et il aura compassion de lui,... car il pardonne abondamment. Ésaïe 55. 7

Le "Titanic" : une dure leçon d'humilité (2)

Le capitaine du "Titanic" ordonne le rassemblement des passagers sur le pont. 0h45 : on met à l'eau la première chaloupe, à moitié remplie seulement, car les passagers ne croient pas encore au naufrage. Mais le drame se précise et les scènes se séparation sont indescriptibles ! 2h10 : l'orchestre joue ce cantique : "Mon Dieu, plus près de toi..." Déjà, le "Titanic" dresse sa proue en l'air. Puis il se brise par le milieu. Dix minutes après, il disparaît et les cris de 1500 personnes s'éteignent ! Leur détresse nous bouleverse encore aujourd'hui.

L'épopée du "Titanic" est emblématique de l'orgueil humain. L'homme, intelligent, sage, fort, pense tout maîtriser grâce à ses capacités. Ne saura-ils pas résoudre lui-même ses difficultés. C'est comme des défis qu'il lance à Dieu, encore plus qu'à la nature.

Alors Dieu rappelle qu'il est Dieu, le Créateur, vivant, puissant (texte du jour). Dans les circonstances, des humains, il n'y à ni chance, ni fatalité. Dieu, souverain, contrôle tout. Quelquefois il permet des événements tragique, pour que nous revenions à lui, car il est amour, et "veut que tous les hommes soient sauvés" (1 Timothée 2. 4). Il offre à tous le salut et le pardon en Jésus-Christ.

Restons donc humbles devant notre Créateur. Écoutons sa voix, et prenons garde à ses avertissements. Il n'accorde pas toujours un délai de deux heures et demie. Dieu dit : "Veillez donc ; car vous ne savez ni le jour ni l'heure" (Matthieu 25. 13).

(fin)

Source (La Bonne Semence)

Mardi 9 Avril 2024

L'orgueil va devant la ruine, et l'esprit hautain devant la chute. Proverbes 16. 18 Version Darby

Dieu parle une fois, et deux fois - et l'on n'y prend pas garde. Job 33. 14 Version Darby

Le "Titanic" : l'homme et ses limites (1)

Le "Titanic", prestigieux paquebot, était réputée insubmersible, au point qu'un nombre insuffisant de canots de sauvetages avait été prévu et que des diamantaires lui avaient confié le transport de fabuleux trésors. Ses puissantes chaudières lui permettaient de battre des records de vitesse. Sécurités, mais aussi confort : luxueux appartements privés, salons, salles de concert, un vrai palais flottant !

La première traversée de l'Atlantique s'annonce triomphale. Le départ reste fixé au 10 avril 1912, malgré une mise en garde contre le danger d'icebergs. 2200 personnes se trouvent à bord, parmi lesquelles de nombreuses célébrités. La compagnie s'attache à en faire une fête continuelle.

La soirée du 14 s'achève dans l'euphorie. Les moteurs sont poussés à fond, malgré la présence de glaces. La mer est calme, glaciale, à -1°C. Á 23h40, la vigie somme trois fois de la cloche d'alarme et hurle : "Iceberg droit devant !" On tente une manoeuvre désespérée. Trop tard ! Le navire est légèrement secouée, "comme si un doigt géant avait frotté la coque tout du long", dira un rescapé. Après quelques instants de surprise, le navire continue de filer majestueusement, la fête reprend, tandis que l'eau s'engouffre dans la bateau à la cadence de cinq tonnes par seconde.

Minuit cinq : le capitaine Edward Smith se rend à l'évidence : l'impossible s'est produit, le "Titanic" sombre !

(à suivre)

Source (La Bonne Semence)

Lundi 8 Avril 2024

Après avoir autrefois, à de nombreuses reprises et de bien des manières, parlé à nos ancêtres par les prophètes, Dieu, dans ces jours qui sont les derniers, nous a parlé par le Fils. Hébreux 1. 1, 2 Version Segond 21

Il avait encore un fils bien-aimé ; il l'envoya vers eux en dernier. Marc 12. 6 Version Segond 21

Bien plus qu'un prophète - Lecture proposée : Matthieu 17. 1-8

Peu avant sa mort, Jésus monte sur une montagne avec trois disciples. Là, il change d'apparence. Son visage brille comme le soleil, ses vêtements sont blancs comme la lumière. Moïse et Élie apparaissent, et parlent avec lui de sa mort prochaine (Luc 9. 31). Pierre, ébloui par cette gloire, propose de faire trois tentes, une pour Jésus, une pour Moïse et une pour Élie. Il met Jésus au même rang que ces deux prophètes d'autrefois. Mais Dieu le Père intervient aussitôt. Il déclare : "Celui-ci est mon Fils bien-aimé, qui a toute mon approbation : écoutez-le !". Il ne peut accepter qu'on mette son Fils au même rang que Moïse et Élie, si éminents soient-ils !

Certaines religions accordent à Jésus beaucoup de respect, elles le considèrent comme un prophète remarquable. Mais elles rabaissent ainsi sa gloire personnelle, celle du Fils de Dieu lui-même. La lettre aux Hébreux (texte du jour), affirment que le temps où Dieu parlait à son peuple par des prophètes était terminé. En Jésus, son Fils, Dieu parle maintenant à tous les hommes d'une manière directe.

Jésus dit de Jean-Baptiste, son précurseur, qu'il est "plus qu'un prophète" (Matthieu 11. 9). Si celui qui prépare le chemin du Seigneur est qualifié ainsi, qu'en est-il du Messie qu'il annonce ? Une parabole confirme que Jésus est le dernier message de Dieu aux hommes (texte du jour). Par conséquent, ceux qui prétendent  apporter une révélation complémentaire, ou contradictoire, au message de Jésus, ne viennent pas de Dieu.

Source (La Bonne Semence)

Dimanche 7 Avril 2024

Il est écrit que le Christ souffrirait, et qu'il ressusciterai des morts le troisième jour, et que la repentance et le pardon des péchés seraient prêcher en son nom à toutes les nations, à commencer par Jérusalem. Luc 24. 46, 47

Un jour pas comme les autres

Les évangiles indiquent que Jésus-Christ est ressuscité le "premier jour de la semaine". Ce jour merveilleux, premier dimanche, inaugure une ère nouvelle, la période chrétienne. Jésus ne sera plus celui qui marche vers la croix, mais celui qui a vaincu la mort, l'Homme ressuscité.

Ce même jour, près du tombeau, il rencontre une femme qui pleure. Il l'appelle par son nom, la console et lui confie un message bouleversant d'espoir : "Je monte vers mon Père, et votre Père, vers mon Dieu, et votre Dieu" (Jean 20. 17).

Plus tard dans la journée, deux disciples quittent Jérusalem, le coeur triste. Jésus s'approche et leur parle. Ils diront plus tard : "Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous, lorsqu'il nous parlait en chemin, et qu'il nous expliquait les Écritures ?" (Luc 24. 32).

Le soir même, les disciples s'étaient rassemblés dans une maison dont ils avaient prudemment verrouillés les portes. "Jésus vint et se tint au milieu d'eux. Il leur dit : "La paix soit avec vous ! Et quand il eut dit cela, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent dans la joie en voyant le Seigneur" (Jean 20. 19, 20). Jésus leur apporte la paix, paix qu'il a faite par le sang de sa croix (Colossiens 1. 20), et qui s'accompagne d'une joie sans mélange.

C'est encore ce jour-là que le Seigneur rencontre Pierre (Luc 24. 34), entrevue restée secrète entre le Maître et son disciple qui l'avait renié. Oui, Jésus est vivant, proche des siens. Il est au milieu de ceux qui sont assemblés "à son nom" (Matthieu 18. 20 ; Actes 20. 7). En faisons-nous l'expérience ?

Source (La Bonne Semence)