• Samedi 19 Février 2022

    Affabulation ou réalité ?

    Jésus a fait encore beaucoup d’autres choses. Jean 21.25

    L’Évangile selon Jean se termine par ces mots qui semblent exagérés : Jésus a fait encore beaucoup d’autres choses ; si on les écrivait en détail, je ne pense pas que le monde même pût contenir les livres qu’on écrirait. Mais c’est méconnaître celui que la Bible affirme être Dieu, le Créateur de tout ce qui existe. L’apôtre Jean n’a donc pas affabulé ! Car c’est lui, le Christ, qui par sa puissance infinie, a créé l’univers et tout ce qu’il contient.

    Dieu a créé le monde par son Fils… Toi Seigneur, tu as au commencement fondé la terre et les cieux sont l’ouvrage de tes mains (Hébreux 1.2, 10). Toutes choses ont été faites par la Parole (Christ) et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle (Jean 1.3). Car en Christ ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles... Tout a été créé par lui et pour lui. (Colossiens 1.16)

    Alors, combien de millions et de millions de livres devrait-on écrire pour raconter tout ce que Christ a fait, depuis la création de l’univers, comme aussi tout ce qu’il a accompli pour les humains sur la terre ? Et il faudrait y ajouter tout ce qu’il fait et fera encore jusqu’à la fin des temps ! Vraiment, le monde ne saurait contenir tous les livres qu’on pourrait écrire à son sujet !

    Yves Perrier

    __________________

    Lecture proposée : Lettre aux Colossiens, chapitre 1, versets 12 à 23.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • Friday February 18, 2022

    Read ! Open !

    Behold, I stand at the door and knock. If anyone hears my voice and opens the door, I will enter his house, I will sup with him and he with me. Revelation 3.20

    A group of Bible storytellers compared this book to... "a hiking trail, a maze, a reliable friend, a trampoline that you bounce on higher and higher, the wind that goes where it will (we smells or not), an unknown and delicious musical instrument, a succession of adventures, a soft, strong, mind-blowing breath..."

    Or even to... "a media library of humanity with a free and perpetual subscription card, a fire in the desert around which we come to dance, a seed in the process of germinating, a whisper... and we have to stretch the ear to hear it, a tree that bears fruit according to the season, a leaf of wild sorrel picked on the way when you are thirsty, a place of renewal, a friend who holds out his arms to you, a flower garden, a refuge, someone who knocks on our shoulder until we turn around...”

    What make you want to read it, right ? I hope that for you today, this leaflet will encourage you to do just that and even more : to open your door and your heart to God.

    Sylvie Dugand

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    Proposed reading : Book of Revelation, chapter 3, verses 14 to 22.

    Source (Live Today)

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  • Vendredi 18 Février 2022

    Lisez ! Ouvrez !

    Voici, je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec et lui avec moi. Apocalypse 3.20

    Un groupe de conteurs de la Bible a comparé ce livre à... « un chemin de randonnée, un labyrinthe, une amie fiable, un trampoline sur lequel on rebondit de plus en plus haut, le vent qui va où il veut (on le sent ou pas), un instrument de musique inconnu et délicieux, une succession d’aventures, un souffle doux, fort, décoiffant... »

    Ou encore à... « une médiathèque de l’humanité avec carte d’abonnement gratuite et perpétuelle, un feu dans le désert autour duquel on vient danser, une graine en train de germer, un chuchotement... et il faut tendre l’oreille pour l’entendre, un arbre qui porte du fruit selon la saison, une feuille d’oseille sauvage cueillie sur le chemin quand on a soif, un lieu de ressourcement, un ami qui vous tend les bras, un jardin fleuri, un refuge, quelqu’un qui toque sur notre épaule jusqu’à ce qu’on se retourne... »

    De quoi vous donner envie de la lire, non ? Je souhaite que pour vous, aujourd’hui, ce feuillet vous incite à le faire et même plus : à ouvrir votre porte et votre cœur à Dieu.

    Sylvie Dugand

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    Lecture proposée : Livre de l’Apocalypse, chapitre 3, versets 14 à 22.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • Thursday February 17, 2022

    The “rest benches”

    “Come to me, all you who are weary and bent down with a burden, and I will give you rest." Matthew 11.28

    We find in the Bas-Rhin, along certain country roads, benches with a characteristic silhouette: the "rest benches". These are sandstone benches whose vertical uprights are extended and support at head height a second horizontal bench intended to receive the baskets that the peasant women carried on their heads when they went to the market or from one village to another. The first were installed on the initiative of the prefect Adrien de Lezay Marnésia on the occasion of the baptism of the "King of Rome", the son of Napoleon 1st, in 1811. The peasant women could thus unload their burden without having to bend down .

    We too can carry heavy burdens : family worries, health problems, professional tensions, various addictions, guilt... Jesus invites us to come to him and unburden ourselves of our burdens. He who is gentle and humble of heart wants to free us from all that oppresses us and especially from our sin. But it is up to us to come to him, to recognize that we need to be released, and to place all our trust in his love. On the Cross he took on all our faults and all our sufferings in order to expiate them. By realizing it, we can find true rest in it.

    Bernard Grebille

    __________________

    Proposed reading : Psalm 62, verses 1 to 9.

    62.1 To the conductor, according to Jeduthun. Psalm of David.

    62.2 Yes, it is in God that my soul trusts ; from him comes my salvation.

    62.3 Yes, he is my rock and my salvation, my fortress : I will hardly be shaken.

    62.4 How long will you throw yourself on a man to try to knock him down like a leaning wall, like a falling fence ?

    62.5 They conspire to bring him down from his high post; they delight in lying. They bless with their mouth, and they curse in their heart. - Pause

    62.6 Yes, my soul, rely on God, for it is from him that my hope comes.

    62.7 Yes, he is my rock and my salvation, my fortress : I will not be shaken.

    62.8 On God rest my salvation and my glory ; the rock of my strength, my refuge, is in God.

    62.9 At all times, peoples, trust in him, pour out your heart before him ! God is our refuge.

    Source (Live Today)

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  • Jeudi 17 Février 2022

    Les « bancs-reposoirs »

    « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et courbés sous un fardeau, et je vous donnerai du repos. » Matthieu 11.28

    On trouve dans le Bas-Rhin, le long de certaines routes de campagne, des bancs à la silhouette caractéristique : les « bancs-reposoirs ». Ce sont des bancs en grès dont les montants verticaux sont prolongés et supportent à hauteur de tête une seconde banquette horizontale destinée à recevoir les paniers que les paysannes portaient sur la tête lorsqu’elles allaient au marché ou d’un village à l’autre. Les premiers furent installés à l’initiative du préfet Adrien de Lezay Marnésia à l’occasion du baptême du « Roi de Rome », le fils de Napoléon 1er, en 1811. Les paysannes pouvaient ainsi se décharger de leur fardeau sans avoir à se baisser.

    Nous pouvons nous aussi porter de lourds fardeaux : soucis familiaux, problèmes de santé, tensions professionnelles, addictions diverses, culpabilité... Jésus nous invite à venir à lui et à nous décharger de nos fardeaux. Lui qui est doux et humble de cœur veut nous libérer de tout ce qui nous oppresse et particulièrement de notre péché. Mais il nous revient de venir à lui, de reconnaître que nous avons besoin d’être libérés et de placer toute notre confiance dans son amour. Sur la Croix il s’est chargé de toutes nos fautes et de toutes nos souffrances pour les expier. En le réalisant, nous pouvons trouver en lui un repos véritable.

    Bernard Grebille

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    Lecture proposée : Psaume 62, versets 1 à 9.

    62.1 Au chef de choeur, d'après Jeduthun. Psaume de David.

    62.2 Oui, c'est en Dieu que mon âme se confie ; de lui vient mon salut.

    62.3 Oui, c'est lui mon rocher et mon salut, ma forteresse : je ne serai guère ébranlé.

    62.4 Jusqu'à quand vous jetterez-vous sur un homme pour chercher tous à l'abattre comme un mur qui penche, comme une cloture qui s'écroule ?

    62.5 Ils conspirent pour le faire tomber de son post élevé ; ils prennent plaisir au mensonge. Ils bénissent de leur bouche, et ils maudissent dans leur coeur. - Pause

    62.6 Oui, mon âme, repose-toi sur Dieu, car c'est de lui que vient mon espérance.

    62.7 Oui, c'est lui mon rocher et mon salut, ma forteresse : je ne serai pas ébranlé.

    62.8 Sur Dieu reposent mon salut et ma gloire ; le rocher de ma force, mon refuge, est en Dieu.

    62.9 En tout temps, peuples, confiez-vous en lui, épanchez votre coeur devant lui ! Dieu est notre refuge.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • Wednesday February 16, 2022

    Is this the right question ?

    The disciples... greatly astonished... said : "Who then can be saved ?" Matthew 19.25

    We are not always willing to pray for the salvation of this or that ; that such and such a person can agree to turn to God and welcome him seems impossible to us ! Maybe we are the one for whom we can't believe it.

    Mark relates the story of a man who hesitated to believe that Jesus could intervene on his behalf (Mark 9:14-24). In today's text, it is the disciples who doubt human abilities. Well Named. Is there a man capable of abandoning his privileges, of renouncing all that he has ? or believe to have ? and find yourself completely helpless to follow the Master ?

    Jesus does not contradict them. It is indeed impossible. As we are born, with the heritage of our first parents, moreover victims of the media hype of a materialistic civilization, we can only, like the young man of the Gospel, leave very sad but without answering the expectation of God.

    Only, the Lord shifts the question. It is not a question of what a human can, but what God cannot. Faced with the doubts of Abraham's wife, the angel of the Lord asked as if before the evidence : Is there anything impossible for the Lord ? (Genesis 18.14)

    Yes, Jesus said in a way to the disciples, you are right, it is impossible for men, but here is what you are forgetting : with God, everything is possible.

    Richard Douliere

    __________________

    Proposed reading : Gospel according to Matthew, chapter 19, verses 16 to 26.

    Source (Live Today)

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  • Mercredi 16 Février 2022

    Est-ce la bonne question ?

    Les disciples... très étonnés... dirent : « Qui peut donc être sauvé ? » Matthieu 19.25

    Nous ne sommes pas toujours disposés à prier pour le salut de tel ou tel ; qu’un tel puisse accepter de se tourner vers Dieu et de l’accueillir nous paraît impossible ! Peut-être sommes-nous celui pour qui nous ne pouvons le croire.

    Marc rapporte l’histoire d’un homme qui hésitait à croire Jésus capable d’intervenir en sa faveur (Marc 9.14-24). Dans le texte d’aujourd’hui, ce sont les disciples qui doutent des capacités humaines. À juste titre. Y a-t-il homme capable d’abandonner ses privilèges, de renoncer à tout ce qu’il a ? ou croit avoir ? et de se retrouver entièrement démuni pour suivre le Maître ?

    Jésus ne les contredit pas. C’est impossible, en effet. Tels que nous naissons, avec l’héritage de nos premiers parents, par surcroît victimes du matraquage médiatique d’une civilisation matérialiste, nous ne pouvons, comme le jeune homme de l’évangile, que partir tout tristes mais sans répondre à l’attente de Dieu.

    Seulement, le Seigneur déplace la question. Il ne s’agit pas de se demander ce que peut un humain, mais ce que Dieu ne peut pas. Devant les doutes de la femme d’Abraham, l’ange de l’Éternel demandait comme devant une évidence : Est-ce qu’il y a quelque chose d’impossible pour le Seigneur ? (Genèse 18.14)

    Oui, disait en quelque sorte Jésus aux disciples, vous avez raison, c’est impossible aux hommes, mais voici ce que vous oubliez : à Dieu, tout est possible.

    Richard Doulière

    __________________

    Lecture proposée : Évangile selon Matthieu, chapitre 19, versets 16 à 26.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • Tuesday February 15, 2022

    What kind of joy ?

    Behold your god (the golden calf), who brought you out of the land of Egypt... The people sat down to eat and to drink ; then they got up to amuse themselves. Exodus 32.4, 6

    In the opera Faust, it is sung : "The golden calf is still standing", and concerning what follows : "And Satan leads the bal...".

    As with the golden calf of the time, we always seek to replace God. The creator has done beautiful things, from our mind and our body, marvels of ingenuity to enjoy life, to adapt, to defend ourselves, to the splendid spectacles of what surrounds us : landscapes, fauna, flora...

    But we put God aside. No one to answer to, no more dignity – that which comes from being creatures of such a great God. We must enjoy, have fun : Let's eat and drink because tomorrow we will die (Isaiah 22.13).

    Wanting to free oneself from the only true God that the Bible presents goes back to antiquity, to the threshold of humanity. It is sin. Where is the world going after millennia of this spirit of independence ? The news reports the grave dangers that lie in wait, and the sad litany of crimes that take place there. Does Satan run all the bal ?

    No ! God has acted, in the end his plans will come true. He gave us Jesus Christ who defeated Satan. He saves, raises hope, and restores the dignity of children of God to those who come to him. Do you want the pseudo fleeting joy of a bal without God, or the real, eternal joy coming from his love ?

    Francis River

    __________________

    Proposed reading : 1st Letter of Peter, chapter 1 verses 14 to 21.

    Source (Live Today)

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  • Mardi 15 Février 2022

    Quel genre de joie ?

    Voici ton dieu (le veau d’or), qui t’a fait sortir du pays d’Égypte [...] Le peuple s’assit pour manger et pour boire ; puis ils se levèrent pour se divertir. Exode 32.4, 6

    Dans l’opéra Faust, il est chanté : « Le veau d’or est toujours debout », et concernant ce qui s’en suivit : « Et Satan mène le bal... ».

    Comme par le veau d’or de l’époque, on cherche toujours à remplacer Dieu. Le créateur a fait de belles choses, depuis notre esprit et notre corps, merveilles d’ingéniosité pour jouir de la vie, s’adapter, se défendre, jusqu’aux splendides spectacles de ce qui nous entoure : paysages, faune, flore...

    Mais on met Dieu de côté. Plus personne à qui rendre des comptes, plus de dignité – celle que confère le fait d’être créatures d’un Dieu si grand. Il faut profiter, s’amuser : Mangeons et buvons car demain nous mourrons (Ésaïe 22.13).

    Vouloir s’affranchir du seul Dieu vrai que la Bible présente, remonte à l’antiquité, au seuil de l’humanité. C’est le péché. Où va le monde après des millénaires de cet esprit d’indépendance ? Les informations relatent les graves dangers qui le guettent, et la triste litanie des crimes qui s’y déroulent. Satan mène-t-il tous les bals ?

    Non ! Dieu a agi, au final ses plans se réaliseront. Il nous a donné Jésus-Christ qui a vaincu Satan. Il sauve, fait lever l’espérance, et redonne la dignité d’enfant de Dieu à ceux qui viennent à lui. Voulez-vous la pseudo joie éphémère d’un bal sans Dieu, ou la vraie joie, éternelle, venant de son amour ?

    Francis Rivère

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    Lecture proposée : 1ère Lettre de Pierre, chapitre 1 versets 14 à 21.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • Monday February 14, 2022

    From curse to blessing

    Just as you were a curse among the nations, community of Judah and community of Israel, so I will save you and you will be a blessing. Do not be afraid and strengthen your hands ! Zechariah 8.13

    I have been a source of curse for my neighbour. An accident revealed to me my dangerousness. The victim of my drunk driving had every reason to curse me. I was broken and guilt-ridden.

    Curiously, this accident led me to the God of Israel of whom the Bible speaks. My remorse and my anguish weighed so much on me that, at the end of my resources, I cried out to God. He responded to me. He did not minimize the seriousness of my fault, he revealed to me that my drunkenness was a sin.

    Yes, let's call a spade a spade ! For medicine, I was an alcoholic patient. But, let's be honest, it was my repeated abuse that turned my sin into disease. Medicine helped me but God saved me. He didn't make me feel any more guilty than I already was, but out of love he transformed my life. I drank to give me courage, but God led me to the true source of courage, his Word. By reading the Bible I discovered Jesus Christ who came to live in my life. He has forgiven and healed me, the culprit, so that I may become by his grace a possible source of blessing for my neighbour.

    May God protect you from all evil and bless you.

    Alain Monclair

    __________________

    Proposed reading : Book of the Prophet Zechariah, Chapter 8, Verses 13-23.

    Source (Live Today)

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