• Vendredi 12 Avril 2024

    Échangez vos filets !

    “Suivez-moi et Je ferai de vous des pêcheurs d’hommes.” Matthieu 4. 19 Version Segond 21

    Si vous choisissez de suivre Jésus vous recevrez toujours davantage que ce que vous aurez abandonné. Lorsque Jésus demanda à ces pêcheurs de Lui prêter leur bateau, ils n’hésitèrent pas à le mettre à Sa disposition. Après tout, ils avaient passé la nuit à jeter leurs filets sans rien prendre. Ils n’avaient même pas besoin de les réparer, seulement de les nettoyer. Si Jésus tenait à emprunter leur bateau, c’était pour que Ses paroles, qui étaient source de vie, puissent atteindre sans problème la foule amassée sur la berge du lac. Les pêcheurs, assis au fond de leur barque, écoutaient aussi les paroles de Jésus, tout en laissant leurs doigts glisser sur les mailles des filets. Puis la foule commença à se disperser et soudain la Maître s’adressa à eux pour leur dire : “Prenez le large et jetez vos filets.” Ils ne s’attendaient certes pas à ce qui allait arriver ensuite : leurs filets s’emplirent soudain de tant de poissons qu’ils commencèrent à rompre. Ils appelèrent d’autres patrons pêcheurs à la rescousse et grâce à leur aide parvinrent à ramener leur prise jusqu’au rivage. Mais leurs filets avaient beaucoup souffert : ils n’étaient même plus réparables. Comment allaient-ils reprendre la mer le lendemain, avec leurs filets déchirés ? Et que pouvaient-ils faire d’autre ? Ils ne connaissaient que cette activité. Désemparés, ils gardaient les yeux fixés sur leurs filets, quand soudain le Maître leur murmura : “Suivez-Moi !” Aujourd’hui, Il vous dit la même chose. Ces hommes abandonnèrent les lambeaux pitoyables de leur vie passée et s’engagèrent dans une nouvelle vie aux côtés de Jésus. Et Dieu se servit d’eux pour changer le monde dans lequel ils vivaient. Qu’ont-ils échangé contre le destin excitant qu’ils allaient connaître ? Juste les mornes souvenirs d’un mode de vie qui ne les menait nulle part. Et vous, qu’est-ce qui vous retient encore, qu’est-ce qui vous empêche de suivre Jésus ? Réfléchissez-y avec sincérité et honnêteté. Si vous décidez d’abandonner votre mode de vie pour devenir un disciple de Jésus, sachez que vous ne le regretterez jamais.

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • Jeudi 11 Avril 2024

    N'écoutez pas les amis de Job !

    “Job répondit : j’ai entendu beaucoup de choses semblables ; vous êtes tous de pénibles consolateurs.” Job 16. 1-2 Version Nouvelle Bible Segond

    Ne vous êtes-vous jamais trouvé dans une situation difficile et, en guise de consolation entendu des paroles comme : “en tant que chrétien vous ne devriez pas vous sentir si déprimé. Il vous faut faire davantage confiance à Dieu. Pour cela vous devez faire preuve de davantage de foi et de prière...” avec comme résultat que vous vous sentiez soit plus déprimé qu’avant, soit coupable de ne pas vous appuyer sur Dieu. Les amis de Job étaient “de pénibles consolateurs”, car ils ne cessaient de répéter les mêmes choses, sans apporter la moindre consolation valable à Job. Ils parlaient beaucoup, mais écoutaient peu les arguments de Job. Si vous vous sentez accablé par des émotions contradictoires, que devez-vous faire ?

    1- Vous souvenir que les émotions ne sont ni justes ni fausses. Elles n’affectent pas votre foi. Douter, se faire du souci, être effrayé sont des émotions humaines et ne vous éloignent pas de Dieu. Pensez à Jésus à Gethsémané : “Il commença alors à éprouver l’effroi et l’angoisse. Il leur dit : Je suis triste à mourir…” (Marc 14. 33-34). Par deux fois Il demanda à Son Père s’il était possible d’éviter les heures de souffrance qui L’attendaient à la Croix. Il ne chercha pas à cacher à Dieu Ses émotions, et le Père ne Lui fit pas de remontrances pour les avoir exprimées ouvertement. Faites de même, déversez vos sentiments et vos émotions les plus profondes devant Dieu.

    2- Reconnaître que vos émotions n’ont pas le pouvoir de vous dicter vos choix. Vous pouvez vous sentir ébranlé, effrayé, désespéré et pourtant faire de bons choix. Pensez à nouveau à Jésus qui malgré le poids de Ses émotions décida de suivre la voie que Son Père voulait qu’Il emprunte : “Toutefois, non pas ce que, Moi, Je veux, mais ce que, Toi, Tu veux” (Marc 14. 36). Malgré les émotions qui peuvent vous submerger parfois, choisissez de faire Sa volonté et dans Sa grâce Il vous aidera à surmonter les moments difficiles.

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • Mercredi 10 Avril 2024

    Dieu n'a pas de favoris

    “Il avait pour l’accompagner Sopater, fils de Pyrrhos, de Bérée, Aristarque et Secundus de Thessalonique...” Actes 20 . 4 Version Nouvelle Bible Segond

    Paul avait collecté une somme importante dans les églises de Grèce et de Macédoine (Romains 15. 25-29), destinée à aider les pauvres de l’Église de Jérusalem où la persécution était rude et aussi parce qu’une famine avait été prédite par le prophète Agabus. Il se rendait donc vers Jérusalem accompagné par plusieurs assistants, dont Sopater, Aristarque et Secundus. Le premier venait de Bérée, et faisait partie de cette assemblée qui aimait vérifier dans les Écritures chacune des affirmations de Paul (Actes 17. 10-15). Le nom des deux autres est intéressant car il montre que ces deux hommes venaient de milieux très différents, bien que tous deux natifs de Thessalonique. Aristarque portait un nom qui faisait référence à l’aristocratie de la ville. C’était probablement un homme issu de la classe dirigeante et peut-être fortuné et influent. Par contre Secundus, qui signifie tout simplement Second, n’est pas véritablement un nom propre, mais indiquait plutôt le rang de cet homme parmi les esclaves d’une maison. L’habitude était de nommer les esclaves en leur donnant un numéro : le premier, le second, le troisième en fonction de leur importance dans la propriété. Secundus était donc probablement un esclave affranchi, mais d’un rang bien différent de celui d’Aristarque. Néanmoins les deux hommes épaulaient conjointement l’apôtre dans sa mission et l’accompagnaient dans ce voyage vers Jérusalem. Une leçon importante pour nous aujourd’hui : Dieu n’a pas de favori et peut se servir autant d’un Aristarque que d’un Secundus. Non seulement individuellement mais aussi pour une mission commune. Á nous de nous en souvenir le moment venu !

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • Mardi 9 Avril 2024

    Comment pourrait-Il vous rejeter ?

    “Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu ! Et nous le sommes !” 1 Jean 3.1 Version Segond 21

    Ne vous êtes-vous jamais demandé si vous méritez vraiment d’être aimé ? Pour beaucoup d’entre nous, une telle question est la preuve que nous nous considérons comme sans grande valeur ! La peur d’être rejeté par les autres est si intense que :

    1- soit nous décidons de toujours garder nos distances vis-à-vis des autres, pour éviter toute souffrance future. Le problème, c’est qu’en nous renfermant sur nous-mêmes, nous perdons toute chance de tisser de vraies relations humaines.

    2- soit nous nous inventons une carapace de “dur à cuire” donnant à tous l’impression que nous n’avons besoin de personne pour nous débrouiller. Mais personne ne se rendra compte de rien le jour où nous souffrirons vraiment.

    3- soit nous rejetons ouvertement tous ceux qui cherchent à s’approcher de nous. Nous enfilons nos gants de boxe et lançons des uppercuts à la figure du premier qui s’aventure près de nous !

    4- soit nous tentons d’acheter une protection contre le rejet de la part des autres à coup de flatteries et de faveurs envers tout le monde ou en acceptant de passer sous la coupe de n’importe qui, sous prétexte que nous ne méritons pas mieux ou que c’est notre seule façon d’être aimé.

    5- soit enfin nous nous réfugions dans le perfectionnisme pour mériter le soutien divin. Mais Dieu a choisi de nous aimer sans poser la moindre condition. Quant à l’approbation des hommes, puisque les opinions humaines changent si facilement, comment pourrons-nous jamais faire plaisir à tout le monde ? Réfléchissez à ces paroles : “Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu ! Et nous le sommes !” Et ce n’est pas fini ! “Lorsque Christ apparaîtra, nous serons semblables à Lui...” (1 Jean 3. 1-2). Si l’opinion que vous avez de vous-même n’est pas basée sur l’opinion de Dieu, vous demeurerez vulnérable à la critique et l’amertume. Pire, vous ne découvrirez jamais la personne unique et irremplaçable que Dieu aurait voulu que vous deveniez !

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • Lundi 8 Avril 2024

    De vrais disciples

    “Je sais que vous êtes la postérité d’Abraham ; mais vous cherchez à Me faire mourir, parce que Ma parole ne pénètre pas en vous.” Jean 8. 37

    Enfant de Dieu, quelle place occupe Jésus dans votre marche journalière ? Les leaders spirituels de l’époque de Jésus croyaient être des enfants légitimes de Dieu, libres et non assujettis à l’esclavage. Cependant Jésus ne les ménage pas. Il était conscient qu’ils essayaient de Le faire taire en Le discréditant dans l’espoir de s’en débarrasser pour de bon. Ils ne voulaient pas Le reconnaître et Lui laisser la place. En tant que chrétien nous pouvons faire la même erreur ! Jésus reprocha aux juifs le fait que Sa parole ne pénétrait pas en eux. Est-ce que la Parole de Dieu pénètre en vous ? Aux juifs qui commençaient à croire en Lui Jésus dit : “Si vous demeurez dans Ma parole, vous êtes vraiment Mes disciples; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira” (Jean 8. 31-33) Le salut authentique est un véritable engagement en tant que disciple en faveur de la vérité, ce qui procure une liberté authentique. “Demeurer” veut dire rester en permanence. Être disciple c’est être un apprenti et un partisan fidèle de Jésus. Comme les Hébreux au sortir de l’Égypte, beaucoup de chrétiens veulent être libérés pour atteindre un objectif : leur épanouissement personnel, leur réussite personnelle. Ils vivent leur vie pour eux-mêmes plutôt que pour Jésus alors ils se retrouvent dans une autre prison appelée “égoïsme”. Cependant pour le chrétien engagé l’objectif doit être que “Jésus ait davantage de moi !” L’engagement dans une église locale est important pour demeurer dans Sa parole. Par exemple si nous sommes libérés d’une addiction particulière, le temps que nous gagnons en ne plus pratiquant cette addiction doit être bien occupé. L’argent gaspillé dans une addiction doit être utilisé sainement au service de Dieu. La délivrance ne me donne pas plus de Dieu. La délivrance donne à Dieu plus de moi. Dieu a plus de “moi” maintenant qu’Il peut utiliser et plus de “moi” pour Le servir, L’aimer et Lui être disponible. La nouvelle vie en Christ est une question d’abnégation. Si vous voulez expérimenter tout ce que Jésus a en réserve pour vous, vous ne pouvez le faire qu’en vous donnant à 100 % pour Lui. Voulez-vous être un vrai disciple ?

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • Mardi 2 Avril 2024

    L'amour est le résultat d'une décision

    “Tu dois aimer le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de tout ton être et de toute ton intelligence.” Matthieu 22. 37 Version Parole de Vie

    Pour essayer de tendre un piège à Jésus un spécialiste de la loi lui demanda quel était le plus important des commandements, connaissant bien entendu la réponse adéquate. Si Jésus avait cité un autre commandement les Pharisiens auraient dansé de joie. Jésus ajouta qu’il fallait aussi aimer son prochain de la même manière. L’accent était sur la nature même de l’amour, qui n’est pas une émotion passagère, mais le résultat d’une décision. Dieu nous aime alors que nous ne méritons pas Son amour, car tout dans notre nature pécheresse fait mal au cœur de Dieu. Pourtant Il a choisi de nous aimer et nous devons faire de même. Les émotions viennent après, conséquences de notre choix. Nous mesurons ainsi combien l’expression “tomber amoureux” de quelqu’un ne signifie pas grand chose pour Dieu ou pour Ses disciples. Que signifie alors aimer ?

    1- aimer de tout ton cœur. Louer Dieu pour ce qu’Il représente pour nous, et pour toutes Ses bénédictions, même quand les difficultés s’amoncellent exige du courage. Or le mot “cor”, qui en latin veut dire “cœur” est aussi la source du mot “courage” !

    2- de tout ton être, signifie qu’au fond de nous se cache la certitude que Dieu existe et qu’Il nous a créés, même si certains refusent l’évidence. Dans les “Pensées”, Blaise Pascal a démontré ce point quand il écrit : “Qu’est-ce donc que nous crie cette avidité et cette impuissance, sinon qu’il y a eu autrefois dans l’homme un véritable bonheur, dont il ne lui reste maintenant que la marque et la trace, toute sa vie, et qu’il essaie inutilement de remplir de tout ce qui l’environne, recherchant des choses absentes, le secours qu’il n’obtient pas des présentes, mais qui en sont toutes incapables, parce que ce gouffre infini ne peut être rempli que par un objet infini et immuable, c’est-à-dire que par Dieu même.”

    3- de toute ton intelligence, c’est-à-dire, en abandonnant nos pensées entre Ses mains, sachant que là seulement nous serons gardés dans la vérité. Et la meilleure façon de prouver notre amour pour Lui est d’agir de même avec nos proches, même si nos émotions ne s’accordent pas encore avec notre décision !

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • Dimanche 31 Mars 2024

    La tombe vide

    “Simon Pierre, qui le suivait, arrive. Entrant dans le tombeau...” Jean 20. 6 Version Nouvelle Bible Segond

    Selon une étude universitaire, l’émotion la plus commune parmi les humains de toutes races, après l’amour est le regret. Henry David Thoreau a écrit : “la majorité des humains vit une vie de tranquille désespoir”. Les effets du regret sur notre corps, esprit et émotions sont les phobies, la violence conjugale, la colère, l’anxiété, l’abus de drogues ou d’alcool parmi tant d’autres. Si vous vivez sous le poids du regret, vous serez peu enclin à crier à Dieu. Pierre était sans doute accablé de regrets après la mort de Jésus. Non seulement ce dernier était mort, mais en plus il L’avait trahi. Il n’avait pas eu l’occasion de Lui demander pardon. Rien ne pouvait soulager le poids du regret sur son cœur. Mais le jour de la résurrection de Jésus, Pierre courut jusqu’à la tombe avec “l’autre disciple”, probablement Jean. Il entra dans le tombeau et le trouva vide. Jésus n’était plus là. Imaginez ce qui a dû lui traverser l’esprit : où se trouvait Jésus maintenant ? Qui aurait pu l’emmener et où ? Allait-il avoir une chance de Lui demander pardon pour sa trahison ? Pierre ne se rendit pas compte à ce moment-là que le poids de ses regrets allait bientôt disparaître de ses épaules. Comme si ses regrets avaient été enterrés avec le corps de Jésus, le jour de Sa crucifixion, et s’étaient volatilisés avec Sa résurrection. Parce que la tombe était vide Pierre a pu rencontrer Jésus plus tard sur les bords du lac après avoir sauté par dessus bord pour s’approcher de Lui plus vite. Parce que la tombe était vide, vous pouvez aussi être libéré de vos regrets. Ils se volatiliseront dès que vous vous approcherez de Jésus ressuscité. Si Jésus n’était pas ressuscité, Pierre aurait porté le poids de ses regrets le reste de sa vie. Son espoir serait mort avec Jésus. Mais la tombe était vide ! Ne faites pas un pas de plus avec le fardeau de vos regrets. Jetez-les dans la tombe vide et dirigez-vous, le cœur libéré vers Jésus ressuscité.

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • Samedi 30 Mars 2024

    Le risque de l'entre-deux

    “Parce que tu es tiède...” Apocalypse 3. 16

    L’erreur de Pilate est d’avoir voulu éviter trop de confrontations, et d’avoir cherché une solution médiane dans “l’Affaire Jésus”. Le Sanhédrin qui a condamné le Seigneur à mort, ne peut appliquer la sentence ; c’est du ressort de l’occupant que d’exécuter un condamné. C’est pourquoi les religieux sont obligés de demander à Pilate de crucifier Jésus. Le gouverneur romain tergiverse et, parce qu’il pense calmer le jeu, accepte de faire fouetter l’accusé. Il imagine qu’en voyant Jésus meurtri et pitoyable, les accusateurs se satisferont de cette punition. Il espère dégoupiller la haine qu’il perçoit comme injuste à l’encontre de l’homme de Galilée. Il ne prend pas vraiment position et cherche une sortie honorable au problème : satisfaire la hargne des religieux et épargner la mort à celui qu’il juge innocent. La politique du moindre mal ne passe pas et finalement, Pilate doit se résoudre à la condamnation à mort, même s’il s’en lave les mains. Quelques trois ans plus tôt, Hérode s’est trouvé dans une situation identique à l’égard de Jean-Baptiste. Pressé par sa femme qui ne supportait pas le prophète, il l’a mis en prison pensant calmer la fureur de son épouse. Mais l’épouse a manigancé pour avoir la tête de Jean et finalement, Hérode s’est trouvé dans l’obligation d’exécuter l’homme pourtant innocent. Le manque de décision forte et claire entraîne toujours un flou qui n’a rien d’artistique et celui qui pensait trouver une solution alternative, conciliante, se fait finalement piéger. Quand on croit trouver un équilibre entre le bien et le mal, on ne devrait pas ignorer que c’est toujours le mal qui finit par l’emporter. Si on pense plaire à tout le monde, on ne plait à personne ; mais il y a toujours un parti qui en est victime. Leçon à ne pas oublier.

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • Vendredi 29 Mars 2024

    Pilate trop lâche

    “Pour les lâches, les incrédules, les meurtriers... leur part sera dans l’étang ardent de feu et de souffre.” Apocalypse 21.8

    Lorsque Jésus est présenté à Pilate, on mesure l’embarras de ce responsable politique face à un problème religieux qu’il ne peut comprendre puisque d’une autre culture et d’une autre conviction. Son dieu à lui, c’est l’empereur qui lui donne toute autorité. Le gouverneur romain sent bien qu’il est manipulé par les responsables religieux, et les politiques ont horreur de cela, surtout si la manipulation vient d’une corporation qui, par ailleurs, les déteste. Il sait que pour les prêtres du temple, il n’est qu’un païen impur, et ces derniers prennent bien soin de ne pas trop s’approcher de lui, ni même d’entrer là où il exerce le pouvoir ; Pilate doit sortir pour leur parler ! Il mesure le problème qui surgit et tente de s’en extraire en renvoyant les accusateurs et l’accusé devant Hérode avec la bonne excuse que Nazareth et la Galilée sont sous la juridiction de son homologue juif. Mais l’affaire lui revient en pleine figure et il doit prendre position ; il doit décider et trancher. Il le fera non avec le souci de la justice, mais pour être débarrassé du problème dont il se lave les mains, donnant ainsi à ce type de comportement une expression imagée qui fera date : s’en laver les mains ! Décliner toute responsabilité, refuser d’intervenir et renvoyer le problème chez ceux qui le présentent, c’est une façon très politique de se désolidariser et de ne pas prendre en compte la réalité. Certes, Pilate était dans une situation difficile, sous pression, mais son hésitation dans l’affaire entraîna tout de même la mort d’un innocent. La chose est d’autant plus grave qu’à la lecture de l’Évangile, on perçoit bien que Pilate ne croit pas les prêtres et sait Jésus non coupable. Son indécision va le conduire à se sauver, lui, d’une situation délicate. Veillons à ne pas tergiverser face aux mensonges, aux manipulations et aux pressions, au risque de frapper l’innocent pour nous préserver.

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • Mercredi 27 Mars 2024

    Affaire de choix

    “Écoutez : aujourd’hui, je vous donne le choix entre la bénédiction et la malédiction...” Deutéronome 11. 26 Version Parole de Vie

    Avant de monter sur le sommet du mont Nebo d’où il verra, avant sa mort le pays de Canaan dans lequel il sait qu’il n’entrera pas, Moïse livre un long sermon au peuple d’Israël dans les plaines de Transjordanie. Après lui avoir rappelé les différentes étapes du voyage du peuple de la sortie d’Égypte jusqu’à ce jour, Dieu a prouvé combien Il avait de patience envers les Israélites, et combien Il aimait à les bénir, mais aussi qu’Il n’hésiterait pas à les discipliner s’ils s’éloignaient de Lui et cherchaient à suivre d’autres dieux, comme ceux des nations environnantes, Moïse leur livre un message simple : faites le bon choix. Nous avons la capacité de choisir, ce qu’on appelle “le libre arbitre”. Dieu ne nous impose pas de Lui obéir, mais tout choix porte ses conséquences. Parfois les décisions que nous prenons nous semblent anodines. Mais réfléchissez-y à deux fois : chaque jour vous prenez des décisions concernant vos activités de la journées ou les relations que vous entretenez. Et ces décisions sont le résultat de choix, plus ou moins bien pensés et analysés. Certaines de ces décisions semblent peu importantes aussi sommes-nous surpris lorsque l’une d’elles débouche sur des conséquences que nous n’avions pas prévues. Pour Moïse le plus grand souci était que le peuple oublie Dieu et Ses bénédictions et se laisse aller à vivre selon ses désirs du moment. Il leur rappelle tout ce que Dieu a accompli pour eux. Il est bon parfois de faire une pause dans notre vie pour réfléchir sur le passé, non pas pour pleurer sur nos fautes et péchés passés, dont nous nous sommes repentis et qui ont été pardonnés, mais sur la bonté de Dieu et Sa bienveillance à notre égard. Cela nous aidera à faire de bons choix, afin de plaire à Dieu. David disait : “Fais de l’Éternel tes délices, et Il te donnera ce que ton cœur désire.” (Psaume 37. 4). Nous vivons dans une société où abondent les faux dieux, trop souvent déguisés en plaisirs “acceptables”. Dieu nous met devant le même dilemme que Moïse avec le peuple d’Israël : “aujourd’hui, Je vous donne le choix entre la bénédiction et la malédiction...”

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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