• “Jésus le Nazaréen… était un prophète puissant en œuvre et en parole devant Dieu et devant tout le peuple.” Luc 24. 19

    “J’ai composé le premier récit, Théophile, sur tout ce que Jésus commença de faire et d’enseigner jusqu’au jour où il fut élevé au ciel.” Actes 1. 1

     

    Nos actes sont aussi nécessaires que nos paroles. Ils devraient même les précéder afin de leur donner du poids. Il en était ainsi du Seigneur sur la terre : ses paroles n’allaient pas sans ses actes.
    Maintenant qu’il est au ciel, sa voix nous parvient encore à travers la Bible et le Saint Esprit nous la rend audible. Mais comment le Seigneur agit-il ?
    Nous trouvons l’exemple de sa démarche « pédagogique » dans la première multiplication des pains. Ce miracle précède son enseignement sur “le véritable pain qui vient du ciel”, “celui qui donne la vie au monde” (Jean 6. 32, 33). Le Seigneur a nourri concrètement les foules pour leur permettre de recevoir une nourriture spirituelle pour leurs âmes.
    Les disciples ont fait asseoir les gens, puis “Jésus prit les pains ; puis, après avoir rendu grâces, il les distribua à ceux qui étaient assis ; de même aussi les poissons, autant qu’ils en voulaient” (Jean 6. 11). Matthieu précise : “puis il rompit les pains, les donna aux disciples, et les disciples aux foules. Ils mangèrent tous et furent rassasiés” (Matt. 14. 19, 20). Les mains des disciples étaient les mains du Seigneur ; nos mains sont les siennes.
    On l’a dit : « Ce miracle est une leçon spirituelle pour les disciples de tous les temps. Il y a toujours des foules affamées. Il y a toujours des disciples aux ressources apparemment misérables. Et il y a toujours un Sauveur compatissant. Chaque fois que les disciples sont prêts à lui donner le peu qu’ils possèdent, il le multiplie pour nourrir des milliers d’hommes. » Ceci est vrai spirituellement, mais nous pouvons l’expérimenter aussi physiquement. Donner le peu que nous possédons, c’est nous mettre à sa disposition pour Lui permettre d’agir par notre moyen, c’est présenter à Dieu nos “corps en sacrifice vivant” (Rom. 12. 1).
    Soyons prêts à être les mains du Seigneur. Nous pensons peut-être ne pas être aptes, mais personne ne l’est par lui-même. Si nous sommes prêts à mettre nos mains à la disposition du Seigneur, il saura les utiliser selon les besoins.
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • "When he saw many Pharisees and Sadducees coming to his baptism, [John the Baptist] said to them : A race of vipers, who has warned you to flee from the anger that comes ? So produce fruit that is suitable for repentance." Matthew 3: 7-9

     
    John the Baptist does not preach a theoretical message. He does not speak in vague terms to avoid scandalizing his audience, he preaches with conviction and severity.
    The prophet speaks to everyone, without distinction of rank or class: to crowds, tax collectors for the Romans, soldiers, Pharisees, Sadducees, King Herod.
    John the Baptist denounces sins and speaks of judgment in very strong terms, but at the same time he indicates the remedy. To prepare the people for the coming of the Messiah, he goes to the source of evils : the human heart, his pride and his evil thoughts, for "it is from the heart that bad thoughts, murders, adulteries, fornications, thefts, Testimonies, insults "(Matthew 15:19).
    The heart of man can not be improved, despite all the attempts of reforms proposed by men. The prophet Jeremiah says : "The heart is deceitful above all things, and incurable: who knows it ?" (Jer 17:9). Man must be born again and begin an entirely new life. This new birth, of divine origin, is carried out by God, and the means is His Word and the Holy Spirit.
    John the Baptist was only a man. He could not communicate the divine life, nor could he exercise judgment. It does not require its listeners to respect rules or privations. He simply tells them the first step to make : to repent by showing their sincerity by fruits.
    The prophet baptized water as a sign of repentance, that is, of returning to God. He denounced vigorously what was false, but he indicated at the same time the solution and directed the eyes towards the Messiah : the one who would come after him would baptize of the Holy Spirit, the one who would introduce a life power into a new state of things.
    The prophet speaks to the conscience of his hearers ; He takes them back, exhorts them, evangelizes them. In this, he is a model for every preacher.
     
    Source (Please the Lord)

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  • “En voyant beaucoup de pharisiens et de sadducéens venir à son baptême, [Jean-Baptiste] leur dit : Race de vipères, qui vous a avertis de fuir la colère qui vient ? Produisez donc du fruit qui convienne à la repentance.” Matthieu 3. 7-9

     

    Jean-Baptiste ne prêche pas un message théorique. Il ne parle pas en termes vagues pour éviter de scandaliser son auditoire, il prêche avec conviction et sévérité.
    Le prophète s’adresse à chacun, sans distinction de rang ou de classe : aux foules, aux percepteurs des impôts pour les Romains, aux soldats, aux pharisiens, aux sadducéens, au roi Hérode.
    Jean-Baptiste dénonce les péchés et parle de jugement en termes très forts, mais il indique en même temps le remède. Pour préparer le peuple à la venue du Messie, il va à la source des maux : le cœur humain, son orgueil et ses mauvaises pensées, car “c’est du cœur que viennent mauvaises pensées, meurtres, adultères, fornications, vols, faux témoignages, injures” (Matt. 15. 19).
    Le cœur de l’homme ne peut pas être amélioré, malgré toutes les tentatives de réformes proposées par les hommes. Le prophète Jérémie constate : “Le cœur est trompeur par-dessus tout, et incurable : qui le connaît ?” (Jér. 17. 9). L’homme doit naître de nouveau et commencer une vie entièrement nouvelle. Cette nouvelle naissance, d’origine divine, est opérée par Dieu, et le moyen est sa Parole et l’Esprit Saint.
    Jean-Baptiste n’était qu’un homme. Il ne pouvait pas communiquer la vie divine, pas plus qu’il ne pouvait exercer le jugement. Il n’exige pas de ses auditeurs le respect de règles, ni des privations. Il leur indique simplement le premier pas à faire : se repentir en manifestant leur sincérité par des fruits.
    Le prophète baptisait d’eau en signe de repentance, c’est-à-dire de retour vers Dieu. Il dénonçait vigoureusement ce qui était faux, mais il indiquait en même temps la solution et dirigeait les regards vers le Messie : celui qui viendrait après lui baptiserait de l’Esprit Saint, celui qui introduirait une puissance de vie dans un nouvel état de choses.
    Le prophète parle à la conscience de ses auditeurs ; il les reprend, les exhorte, les évangélise. En cela, il est un modèle pour chaque prédicateur.
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • "All Scripture is inspired by God, and useful to teach, to convince, to correct, to instruct in righteousness, that the man of God may be accomplished and perfectly prepared for all good works." 2 Timothy 3:16, 17

     
    Yesterday we saw that wanting to establish a creed never leads to a satisfactory result. This does not mean that everyone is free to believe what he wants !
    Among the fundamental points of "the truth of the gospel" (Galatians 2: 5, 14) made known to us by Jesus, the Son of God, we can quote incompletely :
    - The eternal power and divinity of God (see Rom. 1:20), creator of the heavens and the earth, and of all that exists.
    - God is one, revealed in three persons : Father, Son, Holy Spirit.
    - Jesus Christ is the Son of God, God blessed eternally, incarnated in a man born without sin of the virgin Mary by the power of the Holy Spirit.
    - The perfect life of Jesus Christ, his death on the cross to atone for our sins, his resurrection from the dead, his elevation to heaven. - The responsibility of every man before God : all have sinned and deserve condemnation. - The love of God to all men and the gift of his Son, the Lord Jesus Christ, to be their Savior.
    - The forgiveness of sins and eternal life offered gratuitously to one who believes in the Lord Jesus ; The eternal condemnation of the one who does not believe.
    - The new birth and everyday life by faith.
    - The descent of the Holy Spirit on earth after the ascension of Christ, to form the Church.
    - The Church (or the Assembly) is composed of all born-again Christians. They are united to Jesus Christ in one body by the Holy Spirit, as members of the body at the head.
    - Locally, Christians gather in the name of the Lord Jesus, acknowledge His authority and submit to the guidance of the Holy Spirit and not to that of one man only.
    - The gifts of the Holy Spirit and his action for the edification, growth of the body of Christ.
    - The expectation of the Lord Jesus who will come to resurrect the believers already dead, change the body of living believers and take them together in heaven with him.
    - The coming reign of Christ on earth and the final judgment of the living and the dead who have not believed.
     
    Source (Please the Lord)

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  • “Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l’homme de Dieu soit accompli et parfaitement préparé pour toute bonne œuvre.” 2 Timothée 3. 16, 17

     

    Hier, nous avons vu que vouloir établir un credo n’aboutit jamais à un résultat satisfaisant. Cela ne signifie pas que chacun est libre de croire ce qu’il veut !
    Parmi les points fondamentaux de “la vérité de l’évangile” (Gal. 2. 5, 14) que nous a fait connaître Jésus, le Fils de Dieu, on peut citer bien incomplètement :
    – La puissance éternelle et la divinité de Dieu (voir Rom. 1. 20), créateur des cieux et de la terre, et de tout ce qui existe.
    – Dieu est un, révélé en trois personnes : Père, Fils, Saint Esprit.
    – Jésus Christ est le Fils de Dieu, Dieu béni éternellement, incarné dans un homme né sans péché de la vierge Marie par la puissance du Saint Esprit.
    – La vie parfaite de Jésus Christ, sa mort sur la croix pour expier nos péchés, sa résurrection d’entre les morts, son élévation au ciel. – La responsabilité de tout homme devant Dieu : tous ont péché et méritent la condamnation. – L’amour de Dieu envers tous les hommes et le don de son Fils, le Seigneur Jésus Christ, pour qu’il soit leur Sauveur.
    – Le pardon des péchés et la vie éternelle offerts gratuitement à celui qui croit au Seigneur Jésus ; la condamnation éternelle de celui qui ne croit pas.
    – La nouvelle naissance et la vie quotidienne par la foi.
    – La descente de l’Esprit Saint sur la terre après l’ascension du Christ, pour former l’Église.
    – L’Église (ou l’Assemblée) est composée de tous les chrétiens nés de nouveau. Ils sont unis à Jésus Christ en un seul corps par l’Esprit Saint, comme les membres du corps à la tête.
    – Localement, les chrétiens se rassemblent au nom du Seigneur Jésus, reconnaissent son autorité et se soumettent à la direction du Saint Esprit et non à celle d’un homme uniquement.
    – Les dons de l’Esprit Saint et son action pour l’édification, la croissance du corps de Christ.
    – L’attente du Seigneur Jésus qui va venir ressusciter les croyants déjà morts, changer le corps des croyants vivants et les enlever ensemble au ciel avec lui.
    – Le règne à venir de Christ sur la terre et le jugement final des vivants et des morts qui n’auront pas cru.
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • "Undoubtedly, the mystery of godliness is great: God was manifested in the flesh, was justified in the Spirit, was seen from the angels, was preached among the nations, was believed in the world, Glory. "1 Timothy 3. 16

     
    During the history of Christianity, several creeds (from the Latin "I believe") have been affirmed, often over several centuries, to respond to various heresies or to deal with situations that disturbed Christians. Many believers refuse to establish a creed, not because everyone is free to believe what he wants, but because that approach never leads to a satisfactory result.
    The creeds, even drafted by spiritual believers, remain human compositions, so often tainted with errors and all incomplete. Indeed, how to summarize the Christian faith in some lapidary formulas ? The Spirit of God gave us four gospels to introduce Jesus Christ, many epistles to establish the Christian doctrine, and all the Old Testament to prepare for the coming of Christ and bring us to Him. The truth can not be summarized in a single document, let alone in a few lines.
    The Bible contains no creed but affirmations of faith to illustrate the truth in a living way :
    - Realizing that the Lord knew all things about him, Nathanael exclaimed : "Rabbi, you are the Son of God ; You are the king of Israel "(John 1:50).
    To the Lord's question : "Who am I to say of men, I, the Son of man ?" Peter answers : "You are the Christ, the Son of the living God" (Matthew 16: 16).
    - When eight days after his resurrection, Jesus meets Thomas who had doubted, this disciple exclaims : "My Lord and my God" (John 20:28).
    In these examples the affirmation of faith is spontaneous ; It is the expression of a conviction born of personal experience, a work of God in the soul, not adherence to a formula.
    Question : What do we believe about the Bible, God (Father, Son and Holy Spirit), man and his nature, present and eternal salvation, perdition, church, Return of Christ to seek us ... ? By specifying what we believe, we will have a greater desire to live our faith saying, "I know who I believed" (2 Tim 1: 12).
     
    Source (Please the Lord)

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  • “Sans conteste, le mystère de la piété est grand : Dieu a été manifesté en chair, a été justifié en Esprit, a été vu des anges, a été prêché parmi les nations, a été cru dans le monde, a été élevé dans la gloire.” 1 Timothée 3. 16

     

    Au cours de l’histoire du christianisme, plusieurs credo (du latin « je crois ») ont été affirmés, souvent sur plusieurs siècles, pour répondre à diverses hérésies ou faire face à des situations qui troublaient les chrétiens. Beaucoup de croyants refusent d’établir un credo, non parce que chacun est libre de croire ce qu’il veut, mais parce que cette démarche n’aboutit jamais à un résultat satisfaisant.
    Les credo, même rédigés par des croyants spirituels, restent des compositions humaines, donc souvent entachés d’erreurs et tous incomplets. En effet, comment résumer la foi chrétienne dans quelques formules lapidaires ? L’Esprit de Dieu nous a donné quatre évangiles pour présenter Jésus Christ, de nombreuses épîtres pour établir la doctrine chrétienne, et tout l’Ancien Testament pour préparer la venue de Christ et nous amener à lui. La vérité ne se laisse pas résumer dans un seul document, encore moins en quelques lignes.
    La Bible ne contient pas de credo, mais des affirmations de foi pour illustrer la vérité d’une manière vivante :
    – Réalisant que le Seigneur connaissait toutes choses à son sujet, Nathanaël s’exclame : “Rabbi, tu es le Fils de Dieu ; tu es le roi d’Israël” (Jean 1. 50).
    – À la question du Seigneur : “Qui suis-je au dire des hommes, moi, le Fils de l’homme ?”, Pierre répond : “Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant” (Matt. 16. 13, 16).
    – Quand huit jours après sa résurrection, Jésus rencontre Thomas qui avait douté, ce disciple s’exclame : “Mon Seigneur et mon Dieu” (Jean 20. 28).
    Dans ces exemples, l’affirmation de la foi est spontanée ; c’est l’expression d’une conviction née d’une expérience personnelle, œuvre de Dieu dans l’âme, non l’adhésion à une formule.
    Interrogeons-nous : Que croyons-nous au sujet de la Bible, de Dieu (Père, Fils et Saint Esprit), de l’homme et de sa nature, du salut présent et éternel, de la perdition, de l’Église, du retour de Christ pour nous chercher… ? En précisant ce que nous croyons, nous aurons davantage le désir de vivre notre foi disant : “Je sais qui j’ai cru” (2 Tim. 1. 12).
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • "When Jesus saw her weeping, and the Jews who had come with her weeping, he trembled in her spirit and became troubled ; He said : "Where did you put it ?" They said to him, Lord, come and see. Jesus wept. The Jews then said, "See how he loved him !" John 11: 33-36

     
    Jesus came to take his place among humans, to live like them, to suffer their sufferings. From the time of his birth he truly shared their condition with all the pains and limitations of human life (see Heb. 2:14). Jesus knew the deep sufferings that caused tears to burst forth. The prophet Isaiah had already spoken of the divine sympathy in the face of the misery of his people : "In all their distress he was distressed ... in his love and in his mercy he redeemed them" (Isa. ).
    The Gospels tell us three circumstances in which Jesus wept :
    - At the tomb of Lazarus. His perfect compassion, at the sight of the human suffering engendered by death, the salary of sin, causes him to shed tears (John 11: 33-35). His power could have acted immediately to resuscitate Lazarus, but Jesus enters into the grief of men. It leaves emotion invading it. His example gives full meaning to this verse : "Weep with those who mourn" (Rom 12: 15). His tears also express, no doubt, his sympathy for a hospitable family.
    - On the road from Bethphage to Jerusalem. Seeing the beloved city, Jesus is filled with pain at the thought of the evils that are going to reach him. He weeps over the city and says : "If you had known, at least on this day - yours - what would bring you peace ! But now it is hidden from thy sight "(Luke 19: 41-44).
    - In the garden of Gethsemane. There, before the hour of the cross and divine judgment, he expresses "with great cries and tears" his suffering before the evil which has invaded the world and which horrifies him (Hebrews 5: 7). He begs his Father who can save him from death, while declaring himself ready to take upon himself the judgment which the sin of mankind deserves.
    Jesus, a perfect man, shows us how far love goes. He did not escape from any of the sufferings placed on his path.
     
    Source (Please the Lord)

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  • “Quand Jésus la vit pleurer, et les Juifs qui étaient venus avec elle pleurer, il frémit en son esprit et se troubla ; il dit : Où l’avez-vous mis ? Ils lui disent : Seigneur, viens et vois. Jésus pleura. Les Juifs dirent alors : Voyez comme il l’aimait !” Jean 11. 33-36

     

    Jésus est venu prendre place parmi les humains, vivre comme eux, souffrir leurs souffrances. Dès sa naissance, il a vraiment partagé leur condition avec toutes les peines et les limitations de la vie humaine (voir Héb. 2. 14). Jésus a connu les profondes souffrances qui font jaillir des larmes. Le prophète Ésaïe avait déjà parlé de la sympathie divine en face de la misère de son peuple : “Dans toutes leurs détresses, il a été en détresse… dans son amour et dans sa miséricorde, il les a rachetés” (Es. 63. 9).
    Les évangiles nous racontent trois circonstances où Jésus a pleuré :
    – Au tombeau de Lazare. Sa parfaite compassion, à la vue de la souffrance humaine engendrée par la mort, salaire du péché, lui fait verser des larmes (Jean 11. 33-35). Sa puissance aurait pu agir tout de suite pour ressusciter Lazare, mais Jésus entre dans la douleur des hommes. Il laisse l’émotion l’envahir. Son exemple donne tout son sens à ce verset : “Pleurez avec ceux qui pleurent” (Rom. 12. 15). Ses larmes expriment aussi, sans doute, sa sympathie envers une famille hospitalière.
    – Sur la route allant de Bethphagé à Jérusalem. En voyant la ville bien-aimée, Jésus est rempli de douleur à la pensée des maux qui vont l’atteindre. Il pleure sur la ville en disant : “Si tu avais connu, toi aussi, au moins en cette journée — la tienne — ce qui t’apporterait la paix ! mais maintenant, cela est resté caché à tes yeux” (Luc 19. 41-44).
    – Dans le jardin de Gethsémané. Là, avant l’heure de la croix et du jugement divin, il exprime “avec de grands cris et avec larmes”, sa souffrance devant le mal qui a envahi le monde et qui lui fait horreur (Héb. 5. 7). Il supplie son Père qui peut le sauver de la mort, tout en se déclarant prêt à prendre sur lui le jugement que mérite le péché de l’humanité.
    Jésus, homme parfait, nous montre jusqu’où va l’amour. Il ne s’est soustrait à aucune des souffrances placées sur son chemin.
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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    "I know who I believed." 2 Timothy 1. 12

     
    When the apostle Paul wrote to Timothy, he was in prison in Rome. He knows that death is approaching, for, says he : "the time of my departure has come" (2 Tim. 4: 6). He feels alone. Demas, one of his collaborators, "loved the present century" (v. 10), he abandoned it and went to Thessalonica. He let himself be tempted by the world, perhaps out of fear of dangers and renunciations. Crescens left for Galatia, Titus for Dalmatia. Luke, "the beloved physician" (Col. 4:14), is the only one who maintains contact with Paul in Rome, for the apostle has just delegated Tychicus, "the beloved brother, faithful servant and companion of Slavery in the Lord "at Ephesus, in order to replace Timothy, who is to come to Rome with him (Col. 4: 7). The destitution of the apostle is so complete that he must ask Timothy to bring him a cloak left at Carpus's house in Troade, more than a thousand miles from Rome.
    All these changes could have destabilized the strongest. In addition, a certain Alexander had shown much wickedness towards Paul by opposing his words with fierceness. Perhaps he had calumniated the apostle by false declarations. But the most painful of the trials was that no one had come to assist him the first time he had had to present his defense. Among the Romans, it was customary for friends or relatives to attend an accused in court. All had abandoned him. He had remained alone before his accusers (2 Timothy 4: 9-18).
    What is Paul's attitude in these overwhelming circumstances where everything seems to have failed ? He remains firm and confident, for he knows who he believed. He is convinced that his situation is in the best possible hands, those of Jesus Christ.
    He trusts his Savior and Lord who delivered him "from the lion's mouth" and will deliver him "from every evil work and keep him for his heavenly kingdom." (2 Tim. ). No one can shake his faith. Even in the face of death, he is without fear, for his salvation is a certainty. The Apostle is ready to leave this world as the victor.
    That is why Paul can finish his letter on a note of praise : "To him glory for ever and ever. Amen "(v.18).
     
    Source (Please the Lord)

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